Pacte de stabilité et de croissance

inflationniste liée à la hausse des prix du pétrole et des produits alimentaires conjuguée à la crise financière des subprimes expose les autorités monétaires à des choix de politique économique contradictoires (lutte contre l'inflation ou relance de la croissance). Le retour de l'inflation est-il à craindre ? L'inflation est définie comme étant le résultat d'un déséquilibre sur le marché des biens et des services, entre l'offre et la demande, qui se manifeste par une hausse durable du niveau général des

politique conjoncturelle signifie la politique menée par l’état en fonction de la situation économie du pays. Cette politique est gênée par la politique monétaire de la Banque centrale européenne, la politique budgétaire qui est limitée par le pacte de stabilité et la faiblesse du budget européen. La BCE est chargée de définir les grandes orientations de politique monétaire de la zone euro et de prendre les décisions nécessaires à sa mise en œuvre. La politique budgétaire correspond à l'ensemble des

Rapport au Premier ministre 5 novembre 2012 PACTE POUR LA COMPÉTITIVITÉ DE L’INDUSTRIE FRANÇAISE Louis Gallois Commmissaire Général à l’Investissement Rapporteurs adjoints : Clément Lubin, Pierre-Emmanuel Thiard Commissariat Général à l’Investissement Sommaire INTRODUCTION : UN PACTE DE CONFIANCE ................................................................................3 1re PARTIE – LA COTE D’ALERTE EST ATTEINTE.....................................................

distances plus importantes, mauvais état des routes, rackets… Comme le camionnage coûte cher, on surcharge les poids lourds, ce qui dégrade les infrastructures. Selon la banque Mondiale (2009), le mauvais état des infrastructures coûte 2% de croissance par an à l’Afrique subsaharienne ; la productivité des entreprises est affaiblie de 40%. 12% des ménages africains ont accès à l’électricité, 12% à l’eau courante, 6% auX sanitaires. Si l’Europe, le Moyen-Orient et l’Asie du sud-Est sont profondément

voulant entrer dans l’UEM, le renoncement à l’arme du taux de change, qui peut influer sur les relations commerciales extérieures, est un coût assez lourd et donc à ne pas sous-estimer. 5) Les critères de convergence de Maastricht repris dans le Pacte de stabilité sont de ne laisser entrer dans la monnaie unique que les pays à même d’en supporter les coûts et donc aptes à en retirer avantage. 6) L’indépendance de la BCE est une nécessité car si un pays était responsable de la gestion de cette banque

stimuler la demande, préserver l’emploi et contribuer à rétablir la confiance, et de mesures à plus long terme pour réaliser des «investissements intelligents », notamment en matière de recherche et l’innovation. Il s’agit  par là de favoriser la croissance et d’assurer une prospérité durable. Voici quelques exemples des principales mesures : 1. Une réduction temporaire des taux de la TVA (taxe sur la valeur ajoutée) pour soutenir la consommation. Les Etats ont dû appliquer la directive sur la

remplirait son rôle de banque qui consiste à financer l’activité économique –au minimum celui des Etats-puisque son rôle actuel consiste simplement à orienter l’activité(fixation d’un taux directeur, respect des critères de Maastricht et autre pacte de stabilité).L’Europe (les Etats # marchés) serait dès lors maitresse du financement des budgets des Etats membres et sortirait de la spirale mortifère du recours aux financements privés. Il est certain que la solution passera un jour ou l’autre par une

l’économie italienne, donc milanaise. Pourtant, la situation semble s’améliorer (+7% dans l’industrie au mois de juillet 2009), même si il vaut mieux ne pas espérer une croissance plus rapide que celle qui a précédé la décennie d’avant crise. En effet, le pouvoir d’achat des italiens est stagnant, et un Pacte de stabilité et de croissance a été mis en place face à la hausse des déficits budgétaires en 2005 (le taux d’inflation en 2011 a été de +2.7%). L’Italie a du mal à se développer du fait de l’inégalité

jouer différents rôles. Pour Keynes, il peut stimuler la croissance et l’emploi dans une économie en récession. En revanche, les libéraux insistent sur les effets néfastes de l’accroissement de la dette publique. La participation de la France à la monnaie unique européenne lui impose le respect d’une discipline économique et budgétaire. Les termes en ont été fixés par le traité de Maastricht en 1992 et le pacte de stabilité et de croissance, conclu à Amsterdam en 1997 et assoupli en 2005 à Bruxelles

 I. La croissance éco est marquée par des fluctuations A) La croissance n’est pas linéaire - Fluctuations  Fluctuations: évolution de CT de variables macro éco, le plus souvent le PIB, autour d’une tendance de LT. - La croissance éco est cyclique Cycle: mvmts de l’activité éco, alternés, récurrents, d’amplitude et de périodicité régulière. Cyle de Jugler : 7-11ans/ cycle de Kuznets : 20-25ans Les phases du cycle: crise éco : point de retournement du cycle, période de récession ou de dépression