Palais de la culture et de la science

les personnages n’ont pas de recul pour juger objectivement de la manière de respecter les convenances. Candide n’est pas assez mature pour juger ce qu’il voit : Il est plus étonné par les mots (encore ces mots cf. Pangloss) que par le Palais des Sciences. S’attache toujours à l’abstrait, comme le révèle la litote « ce n’est pas ce qui l’étonna le moins » [L113]. Transition : les voyageurs n’ont qu’une vue superficielle de l’Eldorado. Candeur au rôle révélateur afin de bien mettre en valeur

gouverné par un roi proche de ses sujets comme le montre l’usage de l’embrassade (l92). Il apparaît aimable et spirituel. Il reçoit les voyageurs « avec toute la grâce imaginable » (l93-94). Il n’exerce aucune tyrannie sur ses sujets car il n’y a ni palais de justice ni prison (l101-103). Cela suppose une absence totale de conflits sociaux. La société vit harmonieusement sous un régime de type libéral selon le modèle anglais qui impressionnait tant Voltaire (et non sous le régime français de la monarchie

décrit juste après. -Ils arrivent dans un monde parfait où tout est positif : *Richesse des habitants  « de l’or », « des émeraudes », « des rubis », « brocarts d’or », « comme un palais d’Europe », « vêtus de drap d’or » *Tous sont heureux  « jouaient au palet », « partout l’utile était agréable » (culture pour le plaisir), « en souriant », « éclatèrent de rire » *Générosité, sens de l’accueil, politesse : gratuité (repas payé par le gouvernement)  Le traitement du thème de la richesse

07/01/2010 08/01/2010 04/01/2010 Heure Durée Salle Localisation Salle n° 119 Palais  13:30 02:00 119 universitaire Salle n° 118 Palais  13:30 02:00 118 universitaire 18:30 02:00 A111 A111 PATIO Bâtiment 2 08:00 02:00 A111 A111 PATIO Bâtiment 2 18:30 02:00 A611 A611 PATIO Bâtiment 3 18:30 02:00 A411 A411 PATIO Bâtiment 3 Salle n° 019 Palais  08:00 02:00 19 universitaire Salle n° 019 Palais  10:00 02:00 19 universitaire Salle n° 115 Palais  08:00 02:00 115 universitaire 18:30 02:00 A611 A611 PATIO Bâtiment 3

gouverné par un roi proche de ses sujets comme le montre l’usage de l’embrassade (l92). Il apparaît aimable et spirituel. Il reçoit les voyageurs « avec toute la grâce imaginable » (l93-94). Il n’exerce aucune tyrannie sur ses sujets car il n’y a ni palais de justice ni prison (l101-103). Cela suppose une absence totale de conflits sociaux. La société vit harmonieusement sous un régime de type libéral selon le modèle anglais qui impressionnait tant Voltaire (et non sous le régime français de la

gouverné par un roi proche de ses sujets comme le montre l’usage de l’embrassade (l92). Il apparaît aimable et spirituel. Il reçoit les voyageurs « avec toute la grâce imaginable » (l93-94). Il n’exerce aucune tyrannie sur ses sujets car il n’y a ni palais de justice ni prison (l101-103). Cela suppose une absence totale de conflits sociaux. La société vit harmonieusement sous un régime de type libéral selon le modèle anglais qui impressionnait tant Voltaire (et non sous le régime français de la monarchie

(parlement, gouvernement, administration, écoles), l'aménagement du territoire et la protection de l'environnement, les chemins de fer et les routes, l'agriculture et l'exploitation forestière, la chasse et la pêche, le développement économique, la culture, l'enseignement et l'emploi des langues, la santé et l'assistance sociale, le tourisme et le loisir, la police. Les Communautés autonomes disposent ainsi de larges pouvoirs qui leur permettent de se gouverner localement, mais les municipalités ne

nues ». Rien que le portail du palais du roi est immense : « de deux cent vingt pieds de haut et de cent de large », à cette époque la hauteur maximum que pouvaient avoir les constructions était de seulement 55 pieds ce qui parait ridicule à côté du portail décrit. Le palais des sciences est aussi incroyablement grand avec « une galerie de deux mille pas », le lecteur a donc l’impression d’être comme un nain en imaginant cette contrée.Le pays d’Eldorado nous montre une culture très différente de la nôtre

gouverné par un roi proche de ses sujets comme le montre l’usage de l’embrassade (l92). Il apparaît aimable et spirituel. Il reçoit les voyageurs « avec toute la grâce imaginable » (l93-94). Il n’exerce aucune tyrannie sur ses sujets car il n’y a ni palais de justice ni prison (l101-103). Cela suppose une absence totale de conflits sociaux. La société vit harmonieusement sous un régime de type libéral selon le modèle anglais qui impressionnait tant Voltaire (et non sous le régime français de la monarchie

voir la cour de justice, le parlement ; on lui dit qu'il n'y en avait point, et qu'on ne plaidait jamais. Il s'informa s'il y avait des prisons, et on lui dit que non. Ce qui le surprit davantage, et qui lui fit le plus de plaisir, ce fut le palais des sciences, dans lequel il vit une galerie de deux mille pas, toute pleine d'instruments de mathématique et de physique. Extrait de Candide ou l'optimiste - Voltaire ANNONCE DES AXES ETUDE I. Une critique d’Eldorado 1. Un monde trop parfait