Palais des Ducs de Lorraine

Reims qui continue les annales d’Hincmar. Sa chronique couvre la période 882-998. De moribus et actis primorum Normanniae ducum de Dudon entre 1015 et 1026 : chanoine de Saint-Quentin et chapelain du duc Richard II de Normandie. Ce récit favorable aux ducs rapporte des légendes issues de la tradition orale. Chronique d’Adémar de Chabannes au début du XIe siècle : moine à Saint-Cybard d’Angoulême qui écrit une histoire des Francs à partir de leur prétendue fuite de Troie jusqu’en 1029. Elle est particulièrement

est réuni au Palais a) Le palais - Dès le 5ème siècle : entourage du roi : palacium - Dignitaires et conseillers suivent le roi dans ses déplacements - Garde personnelle Truste : confiance du roi - Elle est composée d’anstrustions qui sont rattachés au roi par un serment de fidélité - Les dignitaires du trésor se déplacent avec le roi => Palais : ensemble d’agents au service du roi le suivant dans tous ses déplacements b) Les agents du palais - A la tête du palais : ▪

fidèle. 1. Les fidèles du roi. Le roi s’entourait d’un grand nombre de fidèles formant ce que l’on appelle le palais. Le palais n’était pas un bâtiment ou un établissement permanent sachant que les rois se déplaçaient fréquemment. Le palais c’est l’ensemble des familiers que ce soient la garde armée personnelle et les conseillers qui suivaient le roi dans ses déplacements. Le palais comprenait donc deux catégories de familiers du roi : les militaires et les civils. *Dans ce sens que l’une des

Gesta abbatum. Les Gesta = volonté des institutions religieuses de se donner un passé ordonné pour mieux légitimer leur place dans la société. - LES HISTOIRES DUDON DE SAINT-QUENTIN, Au sujet des mœurs et des actes des premiers ducs de Normandie. ( Né vers 960-965. Mort vers 1043. ( Fréquente les écoles de Laon et de Reims. ( 994, envoyé par le comte de Vermandois auprès du duc RICHARD Ier (942-996) qui lui commande une Histoire des Normands. ( Chanoine et doyen

le peuple prend conscience de l'idée d'une identité nationale française. La frontières de la France moderne correspondent à celle de la France Contemporaine auxquels se substitut différentes provinces: Savoie, Bresse, Bugey, Nice, Franche-Comté, Lorraine, Alsace, Flandre, Artois et Hainaut. Ces différents aspects rendent cette période fascinante. La formule le « Le Beau XVIè siècle » renvoi à l'équilibre et à la prospérité de la première moitié de ce siècle. Elle contraste

confusion. §2 : L’organisation du royaume A_ Les institutions séculières : Il y avait une fusion entre les institutions romaines et franques. 1. Les organes de l’administration royale : a. L’administration centrale, le palais Ce terme de palatum = palais faite référence au résidence des empereurs du second empire. Sous les rois mérovingiens il désigne un ensemble de services et de charges. Le roi mérovingien était itinérant donc son entourage le suit. Il y avait donc plusieurs fonctions

connaissances en logique, Gerbert rejoint Reims, un des plus grands centres d’études d’Occident, où siège, depuis 969, l’archevêque Adalbéron. Ce dernier est lui aussi un fidèle des Ottoniens : il est issu d’une grande famille de Lotharingie (future Lorraine), le berceau du pouvoir carolingien, le c½ur de l’empire de Charlemagne. Adalbéron ne tarde pas à confier au brillant mathématicien la direction de l’école cathédrale, qui va devenir l’un des centres de la culture de la fin du xe siècle. Mais Reims

dans les domaines politique, administratif et juridique. Ils concernent autant les institutions laïques qu’ecclésiastiques. A – L’évolution des institutions laïques 1) Le gouvernement central : le palais et ses agents a) Le palais Aux origines de la royauté franque, le palais n’est pas forcément un bâtiment. C’est un « palacium » qui est l’ensemble des familiers du roi : hauts dignitaires, conseillers du roi et la garde personnelle du roi. Ces familiers sont appelés des « antrustions »

le khalife al-Hâkim. Le pape écrivit lui-même aux Bolonais et aux Flamands pour les inviter à se joindre à l'expédition, dont le départ fut fixé au 15 août 1096. Les quatre principales armées partirent, l'une de la France du Nord et de la Basse-Lorraine, sous les ordres de Godefroi de Bouillon ; la deuxième, de la France du Midi, sous la direction du comte de Toulouse, Raymond de Saint-Gilles, et du légat du pape, Adhémar de Monteil ; la troisième, d'Italie méridionale, sous le commandement du prince

Il règne de 752 à 768. Il est le fils d’un maire du Palais, Charles Martel qui arrête les arabes à Poitiers en 762. Martel apparaît comme le sauveur du royaume et il efface de son autorité le roi Mérovingien. A sa mort, Martel partage le royaume franc entre ses deux fils, Carloman qui se fait moine (abandonne sa part) et Pépin qui est riche et maire du Palais et il s’attache les grands par les liens de vassalité. Il sera le dernier maire du Palais et il épouse Berthe au grand pied. 1. Alliance avec