Palais des Ducs de Lorraine

de ses fidèles, il en garde la jouissance temporaire lors de ses déplacements, une sorte de droit de gîte. D’où que le plus grand propriétaire est le roi. Le Roi circule de villas en villas, car n'a pas de capital fixe et consomme sur place : son palais est itinérant. Le Roi donne des domaines sous réserve de du droit de jouissance >droit de gîte. 2. Les domaines ecclésiastiques Les évêques et les abbayes possèdent des domaines très importants et dynamiques. Ces derniers étaient accrus par les

l’œuvre de leur père et élimine la royauté Burgonde, et occupent la Province. Dès lors la gaulle est presque unifié. Et ce sont les descendants de Clovis qui vont continuer à régner. Childéric 3, dernier roi mérovingien. Après ça, c’est un maire du palais qui monte sur le trône. Pépin le bref, père de charlemagne. Sa mère c’est Berthe aux grands pieds. Au cours de la dynastie mérovingienne se développent les institutions qui seront fondamentales pour la suite de l’avenir de l’occident. Même si l’histoire

siècle, certaines familles sont plus riches que les souverains. De plus, bien des rois en bas âge accèdent au trône et passent vite sous la domination des maires du palais : ces grands aristocrates favorisent les débauches de leurs jeunes maîtres, les “rois fainéants” pour mieux contrôler leur pouvoir... Le maire du palais (major domus) occupe une place prépondérante. Il surveille l’ensemble des serviteurs, jouit de la confiance particulière du roi, si bien que ses attributions très étendues

III. Paris a été devancé par les villes de provinces (en matière de révolution), cela montre l'ampleur de cette opposition républicaine. Le 4 septembre 1870, il y a formation de 3 gouvernements avec des tendances bien différentes : -Siège au Palais Bourbon : majorité conservatrice -Préfecture : députés républicains (Gambetta) -l'Hôtel de Ville : quelques socialistes (Blanqui, Deleschuze) et extrême gauche Sur l'idée de Jules Favre, qui est de rassembler ces trois tendances, ces trois tendances

Élisabeth Ire d'Angleterre, tandis que ses troupes refluent partout. Cependant, Henri IV est victorieux de Charles de Lorraine, duc de Mayenne le 29 septembre 1589 lors de la bataille d'Arques. Au soutien des nobles, huguenots et politiques rassurés par ce chef de guerre solide et humain, s’ajoutent ceux de Conti et Montpensier (princes du sang), Longueville, Luxembourg et Rohan-Montbazon, ducs et pairs, des maréchaux Biron et d’Aumont, et d’assez nombreux nobles (Champagne, Picardie, Ile-de-France)22. Il

Ire d'Angleterre, tandis que ses troupes refluent partout. Cependant, Henri IV est victorieux de Charles de Lorraine, duc de Mayenne le 29 septembre 1589 lors de la bataille d'Arques. Au soutien des nobles, huguenots et politiques rassurés par ce chef de guerre solide et humain, s’ajoutent ceux de Conti et Montpensier (princes du sang), Longueville, Luxembourg et Rohan-Montbazon, ducs et pairs, des maréchaux Biron et d’Aumont, et d’assez nombreux nobles (Champagne, Picardie, Ile-de-France)[20]

jalonne les cinq départements aquitains. Les bastides, ces villes nouvelles des XIIIe et XIVe siècles, ont forgé l’identité de certains territoires, en particulier le Lot-et-Garonne.   Parmi les monuments d’importance nationale, le château de Pau, palais royal qui vit naître Henri IV, a conservé de superbes intérieurs et collections d’arts décoratifs. Le Phare de Cordouan, le plus vieux de France, domine en majesté l’estuaire de la Gironde.   Bordeaux, seconde ville après Paris en nombre de Monuments

officiers On entre ici dans l’un des nouveaux modes de relations entre les princes et les artistes. 1. L’appel à des séjours temporaires Les artistes sont souvent recommandés par les princes : Claus Sluter travaillait à la fois pour les ducs de Bourgogne à la chartreuse de Champmol et au château de Jean de Berry. 2. Artiste ou serviteur ? Les artistes invités à de longs séjours dans les cours profitaient de conditions de travail et de rémunération en rupture avec le système

empire carolingiens. L’impulsion revient toujours à la capacité de chefs de guerre des maires du palais (ministres) qui, au début du VIIIe siècle, s’imposent auprès du roi mérovingien (trop jeune, et non « fainéant »), les Pépinides. Le point de départ véritable de la puissance de ceux que l’on appellera les carolingiens est le haut fait militaire par excellence remporté par Charles Martel, maire du Palais : la victoire de Poitiers (fin de l’été 732) qui porte un coup d’arrêt définitif au déferlement

grande puissance en Occident. Avec la génération du petit-fils de Clovis, vont se multiplier les guerres fratricides. Au 7ème siècle, la dynastie mérovingienne (descendants de Clovis) entre en décadance. Le pouvoir passe entre les mains du maire du Palais. Conséquences ethniques et culturelles. Les invasions mettent en contact des groupes à l'origine très différents. Les vainqueurs ne se mélangent pas. Finalement, uniformisation des langues, cultures, etc. Une seule religion, langue... Au 6ème siècle