Palais impérial de Rome

La médecine romaine I. La médecine populaire Pendant tout la période républicaine et avant l’arrivée de grands médecins grecs en Rome, les Romains pratiquaient la médecine populaire. Il s’agit de méthodes de médecine basées sur des mythes, des mixtures ou des incantations qui doivent faire appel aux forces divines (comme Esculape le dieu romain de la médecine, Aesculapius le dieu de la guérison ou Salus celle de la santé même si presque tous les dieux romains auraient des vertus thérapeutiques)

Colisée Pays: Italie Ville : Rome Epoque: Antiquité Date: 72 après JC Histoire « Tant que le Colisée sera debout, Rome sera debout ; quand le Colisée s'écroulera, Rome s'écroulera ; quand Rome s'écroulera, le monde entier s'écroulera.» (Bède le Vénérable VIIIe siècle après. J.-C.) C’est en 72 après JC que l’empereur Vespasien en ordonna la construction du Colisée. Celle-ci dura 10 ans et fut terminée sous le règne de son fils, Titus. De grandes fêtes furent données pendant cent jours

économique, démographique, politique ainsi que militaire2. Plus rien n'allait. Une réforme était nécessaire et il faudra attendre jusqu'en 293 avant qu'elle ait lieu. Cette réforme a porté le nom de Tétrarchie, qui signifie la division du pouvoir Impérial sous quatre maîtres, sois deux augustes (Dioclétien et Maximien) et deux césars (Constance Chlore 1er et Galère)3. On assistait désormais à un partage des pouvoirs et des tâches entre différents gouvernants. Le seul problème, c'est qu'elle donnait

préoccupations des Européens. Istanbul est alors la plus grande ville d’Europe (environ 400 000 habitants) et différentes communautés religieuses y vivent côte à côte. Capitale d’un empire musulman, elle s’enorgueillit des prestigieux héritages de Rome et de Byzance. C’est à Istanbul et dans l’Empire ottoman qu’une partie des juifs chassés d’Espagne s’installent. La ville abrite aussi des chrétiens, orthodoxes et catholiques (Génois, Vénitiens, Florentins). À la richesse culturelle et humaine de

Bérénice – Acte 5- Analyse - Arsace informe Antiochus du départ de Bérénice, offensée par le silence de Titus. Le dépit a succédé en elle au désespoir et à la fureur destructrice. Elle a écrit à l’empereur. Titus, lui, est retenu par le peuple de Rome qui en l’acclamant le lie irrémédiablement. - Avec son habituelle naïveté inquiète, Antiochus aperçoit pour lui un espoir dans ce départ tout en sachant que le sort lui est si obstinément défavorable qu’il risque, une fois encore de subir une infortune

représentation obtenue par l’exagération et la déformation des traits caractéristiques du visage, des proportions du corps dans une intention de se moquer. Document 1 : C’est un graffiti d’Alexamenos, visible au palais impérial de Rome, de l’Antiquité, datant du Ier-IIIème siècle. Ici les Romains, polythéistes, critiquent un chrétien. Ce dernier est représenté crucifié avec une tête d’âne. La traduction indique : « Alexamenos adore son dieu »Document

Description peintre, dessinateur, décorateur et aquarelliste français Date de naissance/décès 15 juin 1594(1594-06-15) 19 novembre 1665(1665-11-19) Lieu de naissance/décès Les Andelys Rome Lieu de travail Les Andelys (1611-1612), Paris (1612-1621), Florence (1621-1622), Rome (1624-1640), Paris (1640-1642), Rome (1643-1665) Notice d’autorité VIAF: 24606800 | LCCN: n80028152 | WorldCat | WP-Person Titre English: The Rape of the Sabine Women Date entre 1637(1637) et 1638(1638) Technique/matériaux

CHAPITRE 1: LES FONDATIONS ROMAINES Au départ, Rome c’est une confédération de villages, unis sur base de liens religieux. Une cité c’est ensemble civil et politique de taille modeste (≈ 100 km2 cf Athènes) Mais Rome est ensuite devenue la tête d’un immense empire. SECTION 1: DE LA CITE À L’EMPIRE §1: REPÈRES CHRONOLOGIQUES A. LA ROYAUTÉ (735-509) 753 av JC: fondation légendaire de Rome par Romulus. Il est attesté que les 1ères installations dans cette partie remontent au 8è siècle

jusqu'à publier vingt édits par jour.Il étend la citoyenneté romaine à beaucoup de provinces, dont la Gaule où il était né. Sensible aux demandes des notables gaulois, il obtient en 48 du Sénat que ceux-ci puissent accéder aux magistratures publiques de Rome et donc au Sénat romain. Reconnaissants, les délégués des nations gauloises firent graver son discours sur les Tables Claudiennes, plaques de bronze placées dans le sanctuaire fédéral de Lugdunum, retrouvées et exposées au Musée gallo-romain de Fourvière

part, aimait à s’identifier à Démosthène. En 1924, P. Valery fait paraître dans la Revue universelle, un article intitulé Mais qui est européen ? Pour lui, les seuls pays européens sont ceux qui ont été soumis à la triple influence de la Grèce, de Rome et du christianisme. De fait, c’est une des civilisations, « auxquelles les hommes d’aujourd’hui se réfèrent le plus volontiers » (Cl. Mossé, Histoire d’une démocratie, Athènes, p. 5), alors qu’a priori rien ne pouvait laisser pense un tel destin,