Paléolithique

lAquelle comprend égAlement le loup gris, Ancêtre sAuvAge du chien, et le dingo, chien domestique redevenu sAuvAge. Le chien est lA première espèce AnimAle à Avoir été domestiquée pAr l'Homme pour l'usAge de lA chAsse dAns une société humAine pAléolithique qui ne mAîtrise Alors ni l'Agriculture ni l'élevAge. LA lignée du chien s'est différenciée génétiquement de celle du loup gris il y A environ 100 000 Ans, et les plus Anciens restes confirmés de chien domestique sont vieux, selon les sources, de

Même si nous consommons plus ou moins la même part de viande que nos ancêtres directs, celle-ci a complètement changé de nature. L'élevage intensif d'animaux, nourris avec des aliments riches donne une viande beaucoup plus grasse que celle du Paléolithique. La graisse est recherchée car elle est responsable du goût et de la tendreté. La promiscuité des villages et la proximité des animaux est très probablement à la base des maladies infectieuses graves comme la tuberculose. Homo sapiens consommait

formait une île de 10 à 12 km, avec des îlots satellites, au milieu d'une passe étroite s'ouvrant à l'ouest sur une mer intérieure ». L'histoire de l'Atlantide aurait été forgée de toutes pièces par Platon à partir d'une tradition orale de la fin du paléolithique. Celle-ci aurait transmis aux Égyptiens le souvenir de l'île qui se trouvait à la sortie du Détroit de Gibraltar à la fin de la dernière glaciation. En aucun cas cette hypothèse n'ajoute foi à la société décrite par Platon, présentée, par lui-même

entre évolution et progrès. C'est une erreur commise dans le domaine des sciences naturelles, mais aussi des sciences humaines. Ainsi, même les plus grands spécialistes de l'art pariétal (les dessins réalisés dans des grottes par nos ancêtres du paléolithique) se sont trompés à ce sujet, pensant que cet art s'était amélioré au cours du temps, les dessins les plus complexes et les plus réalistes étant les plus récents, pensaient-ils. p.173 « Les paléontologistes ne se distinguent probablement pas

l'environnement ? Et malheureusement on va voir que ce n'est pas franchemen favorable. La problématique de départ est : omo sapiens est apparu en Afrique à partir d'individus genre omo plus primitifs mais la première période connue de l'humanité est le paléolithique, c'est la pierre taillée, les individus sont les chasseurs cueilleurs, il y a peu d'individu sur terre, donc la biomasse humaine est faible donc l'impact environnemental va être faible. L'homme est capable de maitriser le feu (ca modifie un

cuisinier est 1-celui qui cuisine, 2-celui qui tire revenu de cette activité (Larousse). D’un point de vue économique, les périodes historiques sont marquées par la succession des principes organisateurs, d’abord la tradition pour les époques paléolithique et néolithique, puis le commandement de la fin du néolithique jusqu’au XVII e siècle et finalement le marché, de la révolution industrielle à l’époque contemporaine. Considérant que la quête alimentaire est, depuis deux ou trois millions d’années

polities. Est-ce qu’au paléolithique, avant l’invention de l’état, il y avait des systèmes internationaux ? Il y avait des polities et des morphologies sociales mais pas de système internationaux pour une raison que Levis Strauss avait bien comprise. Il dit que dans ces sociétés, qui sont migrantes et non stables, il n’y a pas de relations internationales car il n’y a pas de scène sur laquelle les polities peuvent se rencontrer. Dans ces sociétés paléolithiques, la stratégie est celle de

humain ne peut être exclu de l’art, puisque l’art n’existe que par des facultés que possède tout individu humain. En effet, l’existence de l’art est aussi ancienne que celle de l’homme. On peut prendre pour exemple les grottes de Lascaux datant du paléolithique (15000 avant J.C) : là où il y a des hommes, il y a de l’art. A partir de là, on peut penser que l’art est accessible à tous, du moins dans une certaine approche : l’œuvre interpelle et nous renvoie à nous-même, à notre humanité. Il y a donc possibilité

ancestrale02_onLa pratique évoque le geste de l’homme gravant une surface, en l’occurrence, la peau. Cette forme de marquage remonte à la nuit des temps. Des témoignages nous parviennent au gré des investigations des archéologues. Depuis l’homme du Paléolithique qui cherchait à élever son aspect vers une forme supérieure sacralisée, tous les peuples de la terre ont effectué des figures indélébiles sur leur peau. Le propre de l’homme a été de rechercher inlassablement à transformer des données immatérielles

L.S SENGHOR, Femme noire INTRODUCTION Des statuettes féminines ou Vénus paléolithiques retrouvées en Dordogne aux tableaux des peintres modernes, on retrouve la même fascination de l'homme pour la femme, la même célébration. De même L.S. Senghor dans "Femmes noires…", tiré du recueil Chants d'Ombre, 1945. (autre idée) Sculpture de J.B. Carpeaux au musée d'Orsay "Les quatre parties du monde soutenant la sphère céleste" réalisée pour les Jardins de l'Observatoire : quatre points cardinaux