Paludisme Drépanocytose

pathogène ou non. Les récepteurs sont tous les mêmes au sein d'une même espèce mais sont exprimés au niveau des cellules différentes : macrophage, cellules NK (Natural killer) ou encore des cellules musculaires. 2) L’immunité innée : cas du paludisme. a) Immunité transmise maternellement. Un enfant né de mère immune sera protégé pendant les premiers mois de sa vie, on parle alors de transfert passif de l’immunité maternelle. L’enfant qui sera exposé a une infection, commencera a développer

REPUBLIQUE DU CAMEROUN Paix – Travail – Patrie UNIVERSITE DE YAOUNDE I UNIVERSITY OF YAOUNDE I FACULTE DES SCIENCES FACULTY OF SCIENCE DEPARTEMENT DE MATHEMATHIQUES DEPARTMENT OF MATHEMATICS ANALYSE STATISTIQUE DES CAS DE PALUDISME ET DE VIH/SIDA ENREGISTRES AU SERVICE DES URGENCES DE L’HÔPITAL CENTRAL DE YAOUNDE Mémoire présenté et soutenu publiquement en vue de l’obtention du Master de Statistique Appliquée Par : BOGNI TSANE Francis Maître ès Mathématiques Option : Analyse Matricule

| | | |Un allèle défavorable peut être maintenu dans une population : | | | |Paludisme et fréquence de l’allèle HbS de la globine | | | |- Le document 1 page 138 montre la distribution géographique de l’allèle HbS, codant pour la chaîne

qui le portent. Ex : la drépanocytose Dans ce cas un allèle peut être soumis à plusieurs contraintes sélectives simultanées ; l’allèle βS est désavantageux à l’état homozygote ; il est avantageux pour les hétérozygotes dans les régions ou sévit le paludisme. Un allèle défavorable dans certaines conditions peut devenir favorable si les conditions du milieu changent, la fréquence de l’allèle βS diminue rapidement dans les populations déplacées dans un pays où le paludisme est inconnu. Cls : La sélection

biologique vs culturelle : – européen, eskimos, touaregs – maintien du microclimat propice, inter-fécondité – Myxomatose des lapins – poliomyélite chez l’homme POLYMORPHISME GENETIQUE ET MALADIES INFECTIEUSES • Mutations adaptatives et résistance au paludisme : – Plasmodium falciparum (fièvre tierce maligne) – Transmission par les anophèles femelles hématophages – Développement en Afrique à l’époque néolithique • Défrichage des forêts / savanes : agriculture – essor démographique (concentration) • Flaques

24h/24 Le service grands enfants et adolescents accueille les enfants âgés de 6 à 18 ans pour des durées d’hospitalisations variables. Les enfants et les jeunes du service sont accueillis en général pour: □ Des pathologies médicales: Asthme, drépanocytose, pathologies cardiaques et rénales, mucoviscidose. □ Chez les adolescents on retrouve des hospitalisations pour des problèmes psychosociaux et/ ou des pathologies médicales. □ Problèmes sociaux : c’est l’assistante sociale ou l’éducateur

des fréquences réelles :  Dans 2 populations touchées par la drépanocytose (Afrique équatoriale et USA) montrent qu’elles sont proches pour la population aux USA alors qu’un écart existe pour la population d’Afrique équatoriale, en particulier concernant les individus hétérozygotes. Cet écart à l’équilibre d’H-W s’explique par un avantage sélectif (sélection naturelle) des hétérozygotes qui sont davantage protégés du paludisme.  Dans 2 populations présentant les groupes sanguins M et N (allemande

donneur sont analysés selon deux axes : l’immunohématologie, qui consiste à caractériser le sang et à déterminer, notamment le groupe sanguin et la recherche de maladies ou agents transmissibles (VIH-SIDA, hépatite B, syphilis, hépatite C, HTLV, paludisme…)  Le produit sanguin, préparé est distribué aux hôpitaux et cliniques qui en font la demande. Avant de transfuser le malade, un dernier test de contrôle permet d'éviter tout risque d’incompatibilité entre le donneur et le receveur.

touchant les hématies peuvent résulter de déficits, nutritionnels ou par malabsorption, principalement en fer (anémie ferriprive), acide folique (anémie mégaloblastique) et vitamine B12 (maladie de Biermer), ou d'anomalies génétiques (thalassémie et drépanocytose, par exemple), qui peuvent être dominantes (il suffit que le gène déficient soit reçu de l'un des parents pour que l'enfant développe la maladie) ou récessives (ne se développant que si le gène responsable est reçu du père et de la mère), ou encore

trouble) b) pour chaque individu : un sujet possédant deux allèles différents d’un gène (« un métis ») est souvent plus résistant : par exemple, des individus porteurs « à moitié » d’une anomalie concernant l’hémoglobine : la drépanocytose, résistent mieux au paludisme que les sujets « totalement normaux » c) moralité du polymorphisme génétique : à l’intérieur d’une espèce (= population naturelle formée d’individus capables de former une descendance), il est stupide et même aberrant de prétendre