Pancake

- Non, je t’attendais. - Oh… d’accord. Quelle heure est-il ? - 10 h 15. Je n’ai pas eu le cœur de te réveiller avant. - Tu m’as dit que tu n’avais pas de cœur du tout. Il sourit tristement sans répondre. - Le petit déjeuner est servi. Des pancakes et du bacon pour toi. Viens, lève-toi. Je me sens tout seul. Avant de quitter le lit, il me gifle sur le derrière et je sursaute. Hum… Sa conception d’un geste affectueux. Alors que je m’étire, je me rends compte que je suis endolorie de partout…

just as I thought! That's the worst of all! Some stupid thing like that, some trivial detail, can ruin the whole scheme! Yes, the hat is too conspicuous...Ludicrous, and therefore conspicuous...My rags certainly call for a cap, even if it's some old pancake, not this monster. Nobody wears this kind, it can be noticed a mile away, and remembered...above all, it will be remembered later, so there's evidence for you. Here one must be as inconspicuous as possible...Details, details above all! ... It's these

résistai un moment à l'envie d'ouvrir les yeux pour prolonger ce sommeil amniotique dans mon cocon ouaté. Puis il me sembla entendre une chanson au loin : le refrain d'un tube reggae dont les notes se mêlaient à une odeur venue de l'enfance : celle des pancakes à la banane et des pommes caramélisées. Un soleil insolent déversait sa lumière dans toute la pièce. Ma migraine s'était évaporée. La main devant les yeux pour ne pas être ébloui, je tournai la tête vers la terrasse. La musique provenait de mon petit

douche ? — Non, je t'attendais. — Oh... d'accord. Quelle heure est-il ? — 10 h 15. Je n'ai pas eu le cœur de te réveiller avant. — Tu m'as dit que tu n'avais pas de cœur du tout. Il sourit tristement sans répondre. — Le petit déjeuner est servi. Des pancakes et du bacon pour toi. Viens, lève-toi. Je me sens tout seul. Avant de quitter le lit, il me gifle sur le derrière et je sursaute. Hum... Sa conception d'un geste affectueux. Alors que je m'étire, je me rends compte que je suis endolorie de partout

est en train de retourner des pancakes dans une poêle. Elle se tourne vers nous et nous interpelle : – Joyeux Noël ! – Ce n’est pas encore Noël. Je jette un regard noir à Hardin. Il soupire, mais envoie un petit sourire à sa mère. Je me verse une tasse de café, remerciant Trish d’avoir préparé le petit déjeuner. Nous nous asseyons à la table pendant que sa mère nous raconte que c’est sa grand-mère qui lui a appris cette recette de pancakes. Hardin écoute avec attention

dans un aéroport, venait souvent troubler ses nuits, même si rien dans le comportement de sa fille ne laissait présager qu'il faille tenir la promesse. Thomas arriva le dernier à la table du petit déjeuner. Lisa avait fini de manger ses pancakes et Mary dut ranger la cuisine en toute hâte. Philip lançait de brefs coups de klaxon pour que tout le monde le rejoigne dans la voiture. Le moteur ronronnait déjà quand la dernière ceinture fut bouclée. Il fallait à peine dix minutes pour arriver

état d’âme. Je ferais mieux de l’imiter avant que les plats ne refroidissent. Et je tombe presque de ma chaise. Le jus d’orange est si parfumé que je le déguste à petites gorgées ; l’omelette au bacon me donne un avant-goût du paradis ; quant aux pancakes, ils sont parfaits, ni trop épais, ni trop fins. Un régal. De nombreux soupirs de bonheur s’élèvent autour de moi, je ne suis pas la seule à me lécher les babines. À l’aide d’une pince (je n’ai pas oublié la leçon de Silvia), je pêche une tartelette

lança-t-il. Qu’est-ce que tu fous ? — Je réfléchissais. — Quelle occupation stupide ! Tu vas t’user les neurones. Mon père nous attend en bas. On va prendre le petit déjeuner chez IHOP. — Où ça ? — C’est un resto spécialisé dans les pancakes et les french-toasts. Je vais m’en envoyer une tonne, avec de la crème et de la confiture de fraises. Comme papa et George ont une réunion d’affaires, ils vont nous déposer au centre commercial. Tu verras, il est à peu près vingt fois plus

density with a new kind of self—evolving under the pressure of information overload and the technology of the ‘instantly available.’” As we are drained of our “inner repertory of dense cultural inheritance,” Foreman concluded, we risk turning into “pancake people—spread wide and thin as we connect with that vast network of information accessed by the mere touch of a button.”42 Culture is more than the aggregate of what Google describes as “the world’s information.” It’s more than what can be reduced

avant de détourner la tête. Puis les deux « couples » rentrent chacun dans une salle différente. Le temps des explications n'est pas encore venu. Mais, un jour, peut-être… 1991 Elliott et Angie se sont lancés dans une recette compliquée de pancakes. Un sourire éclatant illumine le visage de la petite fille. Elle a du sirop d'érable autour de la bouche. C'est le début de soirée, l'air est doux, une belle lumière orangée filtre à travers les vitres de la cuisine. Près du micro-ondes, la télé