Pantin

les grands où l'appelle son âge ». On sent donc que c'est un personnage qui n'est pas réellement à sa place. Du plus son nom suscite au sourir car son nom " Bovary" veut dire en latin "boeuf". Le nouveau nous apparait également comme un vulgaire pantin immobile pendant le cours, « n'osant même croiser les cuisses, ni s'appuyer sur le coude ». C'est un personnage qui en fait est terrifié et fait preuve de maladresse comme nous allons le voir dans le second axe qui porte sur la descritption de sa

certe ! Mais si on part du principe « d'échange », on nous demande plus de travail, il est normal que nos exigence à nous changent ! Ce que nous voulons c'est qu'il y ai plus d'égalité ! Plus de libertés ! Nous sommes dépendant des patrons, tels des pantins ! Cette situation nous a convenu mais aujourd'hui elle ne nous convient plus ! Ce n'est pas une petite passade ! C'est le début d'une grande révolte je peux vous l'assurer. Nous sommes déterminés et prêts à tout pour obtenir ce que nous désirons

chapitre 2, que "le roi des Bulgares livra bataille au roi des Abares". Il évoque "les deux armées" (l.2), les deux villages sans préférence ni distinction. Soldats et civils abares et bulgares sont unis dans un destin identique, manipulés comme des pantins avant d'être détruits. Dans ce passage, Voltaire joue beaucoup sur les parallélismes : les soldats des deux camps tombent au même moment et de la même façon ; le premier village, abare, est réduit en cendres ; le second, bulgare est "traité de même"

par le biais d’une intrigue et d’une communication par un dialogue souvent difficile. Disparition de l’intrigue : les situations n’évoluent pas, pas d’intrigue. - Crise du personnage (présenté comme un pantin qui perd parfois son identité). Souvent sans personnalités marquées. Lieu et temps imprécis ou incohérents Absence de communication entre les personnages : le langage mis en scène n’est plus un moyen de communication mais exprime le vide, l’incohérence

mépris du narrateur envers les soldats. Il souligne aussi le nombre imposant de soldats avec un hyperbole « interminablement » (l.42). Le narrateur, pour continuer à disqualifier les Prussiens, emploie une métaphore « tous pareils avec ce mouvement de pantins ». Il les faits ressembler à des être sans esprits et sans âme, dont l'obéissance est aveugle et les gestes mécaniques. On peut donc remarquer une grande différence dans le traitement des personnages. Elle amorce le rapport de force à venir.

clairement le manque d’éducation du peuple en utilisant intelligemment des animaux de la fable. La satire est illustré dans le commentaire du poète «Peuple caméléon, peuple signe du maître,» (v.21) alors qu’il représente les courtisans par des animaux pantins pour le Roi, avec qui il peut jouer comme il lui semble et qui s’adaptent à l’humeur du Monarque. Le chiasme «prêts à tout, à tout indifférents,» (v. 18) représentent d’autant plus que le peuple ferait tout pour le Roi, pourvu qu’ils puissent dormir

sont «enfermés ». Etre mineur est finalement très facile pour peu que l’on ne réfléchisse pas, qu’on ne pense pas car les autres s’occupent de nous, du « travail ennuyeux ». Mineur est définit dans le texte comme étant une sorte de marionnette, de pantin qui paye pour qu’on lui fasse tout. Le tuteur dirige tous les hommes, ils les façonnent de manière spécifique à ce qu’ils n’osent pas affronter le monde seul. Ils sont « confinés » dans un endroit, ici définit comme un « parc » et les tuteurs les

oublier les années passées sur leur champ de bataille (Le fait qu’un autre porte fièrement la croix de fer à sa veste est sans doute une critique du peintre à l’égard d’un nationalisme excessif). Otto Dix choisit alors de montrer les soldats comme des pantins ridicules. Dans "Les joueurs de cartes", le décalage entre la banalité de la situation (le jeu) et l’aspect monstrueux des joueurs est frappant (un joueur tient la carte avec son pied). Otto Dix dénonce en effet ce comportement de certains anciens

du verbe : Présent à valeur atemporelle dans tout le poème. Et aussi un présent d'habitude qui montre que cette scène se répète . Apparence froideur du texte / aucune émotion, texte impassible, pas d'émotion de l'auteur ni des personnages = pantins qui ne pensent pas Poème bizarre, crée un malaise Poème oxymore Il y a des mots répétitif comme mère, fils, père, affaire, guerre... Et expressions : la mère fait du tricot, le fils fait la guerre... => aucun terme unique ce qui renforce

public. Le plus souventn, les peuples acceuillent cet étalage morbide avec respect. Le propos de Dix se situe à rebours de cette récupération dramatique et patriotique des traces de la souffrance militaire. Dix choisit de montrer les soldats comme des pantins ridicules. Dans Les joueurs de cartes, le décalage entre la banalité de la situation (le jeu) et l’aspect monstrueux des joueurs est frappant (un joueur tient la carte avec son pied). Le fait qu’un autre porte fièrement la croix de fer à sa veste