Pantin

scène. - C’est lui qui parle le plus dans ce passage. - Met en scène, organise la rencontre entre Christian et Roxane. • Christian : personnage qui se définit par sa beauté. Cf. « Et tu es /Beau comme lui ! ». Mais semble être surtout un pantin. On ne le voit agir qu’à la fin. Est poussé, est dirigé par Cyrano. Cf. la didascalie « poussant Christian vers le balcon » > geste d’autorité de Cyrano + ses « Monte ! ». • Roxane : femme aimée. Se laisse courtisée. Badine. Répète certaines

évolue trop vite. En vieillissant, il est devenu fragile et influençable, donc une cible parfaite pour Tartuffe. Il se retrouve en adoration devant ce dernier au point d’en oublier les membres de sa famille et de les tyranniser. Orgon devient ainsi le pantin de Tartuffe qui l’utilise pour arriver à ses fins, c’est-à-dire vivre à ses crochets. Quand la véritable nature de son mentor lui sera enfin dévoilée, il rejettera d’un bloc les hommes de foi pour finir misanthrope. Madame Pernelle : Cette vieille

Le sol est marron et l’ombre des chaises se reflètent dessus. L’arrière plan est noir et un rideau vient «fermer» la scène à gauche. Il y a un décalage entre le «banal» de la situation (une partie de carte) et des joueurs représen- tés comme des pantins ridicules. Technique : En «mélangeant» peinture et collage (d’images de journaux ou de revues), Otto DIX renforce l’aspect fragmentaire des corps : les prothèses sont faites de «bric et de broc». Les prothèses remplaçant les jambes du personnage

diviser ce tableau en deux plans 1er plan : on voit un ancien combattant (symbole sur sa veste ) qui à perdu ses jambes, obliger de ce déplacer en chariot, au même niveau que le chien, il tient dans ses mains des baguettes qui le font ressembler a un pantin désarticuler, sous son chariot on voit journal. On voit aussi une main qui tiens ce qui ressemble a une faux comme si c'était la mort qui a à ses pieds un chien qui a l'air hargneux. 2ème plan : on voit un mendiant qui a une prothèse pour remplacer

exceptionnels (Julien Sorel dans Le Rouge et le Noir de Stendhal). « Fatalement, écrit Zola, le romancier tue les héros, s'il n'accepte que le train ordinaire de l'existence commune. Par héros, j'entends les personnages grandis outre mesure, les pantins changés en colosses. » (Le Messager de l'Europe, novembre 1875). de personnalités hors du commun (Mme de Merteuil dans Les Liaisons dangereuses de Laclos) de passions absolues (Des Grieux dans Manon Lescaut de Prévost) le rythme romanesque et la

l’homme d’avoir sa propre opinion et le prive même de toute réflexion. La liberté d’opinion et la liberté d’expression sont des droits qui lui deviennent difficiles de mettre en pratique. Les différentes acrobaties de ce spectacle et notamment l’homme pantin montre bien que l’homme devient une marionnette facile à manipuler. Les manipulations judiciaires, politiques et les malversations financières que connaît le monde d’aujourd’hui sont représentées par le tour de magie qui insinue les détournements

sur un arbre, mon ultime point noir. « C'est qu'il y a un désespoir presque macabre « Que de voir une fleur mourir au pied d'un arbre. » Écrire, c'est enfermer des sentiments dans des mots. Lire, c'est libérer les sentiments des mots. [Pantin de Coton]

péjorative, insultante, qui apparaît comme un emblème : « une de ces pauvres choses, enfin, dont la laideur muette a des profondeurs d'expression comme le visage d'un imbécile ». Maladresse terrifiée du personnage : - Le nouveau ressemble à un pantin désarticulé : immobile pendant le cours, « n'osant même croiser les cuisses, ni s'appuyer sur le coude », il ne s'anime qu'au son de la voix du maître d'études qui « fut obligé de l'avertir, pour qu'il se mit avec nous dans les rangs ». Il semble

Susan est une femme n'osant pas s'exprimer et donner son avis. Mais elle montre tout de même une opposition lors de la scène de la piscine durant laquelle elle crie sur le professeur de sport pour ainsi lui démontrer qu'elle n'accepte plus d'être un pantin et qu'elle existe par elle même. Ce qui l'oppose avec le fait qu'elle souhaite parfois être une enfant et quitter le monde des adultes qui l'a détruite puisqu'elle s'est soumise pour s'y faire accepter. L'argent occupe une place dominante dans

que le fils reste la même silhouette sans relief tout au long du spectacle « Que t’importe ce qui se passe et ce qui s’est passé pourvu qu’il y ait toujours des hommes pour la guerre et des femmes pour le plaisir … ». De plus ce personnage est un pantin désarticulé que le metteur en scène utilise avec la nudité pour évoquer l’inceste, l’orgie, l’adultère et la mort. Des décors impersonnels En effet ces murs blancs amovibles permettent de faire ressortir les couleurs comme le rouge représentant