Pantin

capacité de créer du Droit ce qui est un réel pouvoir. Selon le Petit Robert de la langue française édition 2008, le Juge est un « magistrat chargé d’appliquer les lois et de rendre la justice. » Mais la réalité montre que le Juge n’est pas seulement le pantin de la Loi, son indépendance garantie la justesse de sa décision qui entraîne parfois la jurisprudence, créatrice de Droit. On parle aujourd’hui – et depuis les années 1990 – d’une montée en puissance du Juge qui illustrerait justement – comme l’explique

sur cette moitié de crâne une silhouette de femme. II. Message L’accent est mis non pas sur les soldats mais sur leurs mutilations et leurs prothèses qui montre la violence de la guerre. Les corps sont désarticulé ce qui fait penser à des pantin. Otto Dix accentue se déséquilibre entre les partie du corps a l’aide de la technique du collage. Les corps sont comme des puzzle il utilise la technique du clair et obscure en utilisant surtout des couleurs sombre sauf pour représenté les chaires

absurdes. Il n'y a pas de fond à leur réflexion Déstructuration du langage qui montre l'absurdité de l'homme III Une réflexion sur l'homme et la société Personnages sans identité : jamais de nom « chérie », « votre femme », « mon mari » comme des pantins, des fantoches. Raisonnement par l'absurde «  l'expérience nous apprend que lorsqu'on entend sonner à la porte, c'est qu'il n'y a jamais personne. » qui aboutit à un débat stérile et provoque une vive polémique Une scène sans intrigue ni logique

combattants de leurs propres mutilations, dans le fait qu’ils trouvent dans leurs blessures une fierté, une forme de valorisation voire d'héroïsme. Le joueur de droite porte d’ailleurs sa Croix de Fer. Les corps ressemblent à des marionnettes, à des pantins mécaniques, il ne s’agit plus que de reliquats de corps, conséquence de la folie guerrière. Le jeu de cartes cimente la sociabilité des anciens combattants en Allemagne. Le Skat rassemble trois joueurs, telle une association macabre comme celle d’une

hasard arbitraire et tragique. Au début des années 20, les Etats et les anciens combattants montrent par fierté et par devoir de mémoire les gueules cassées. Otto DIX dénonce cette récupération. Il transforme les trois anciens combattants en pantins. REACTION : Mauvaise réception de l’œuvre, la société allemande a été choquée de la critique de ses soldats. Plus tard les nazis vont considérer l’œuvre de DIX comme un art « dégénéré ».

le blanc. On dirait que dans le vieux nègre et la médaille, Ferdinand OYONO oubliant les malheurs et les péripéties par lesquels sont passés son héros s’ingénie à rassembler les scènes qui nous montrent sous tous les aspects les caractères de son pantin, le vieux nègre Meka. Les blancs sont versatiles mais le dissimulent. Ils ne sont pas prêts à partager leur manière de vivre avec les nègres et pourtant ces derniers pensent que le contraire est réalisable. Le personnage principal du roman se voit

En quoi cette fable est-elle une vive critique des mœurs de la cour ? I- Une galerie des vanités a) Critique des courtisans * Frontale, directe par le fabuliste lui-même qui sort de sa réserve aux vers 17 à 23 : * Automates (pantins articulés) : métaphores mécaniques (v.22-23). * Animaux : métaphores animalières du caméléon (v.21) et du singe (v.21). * Alexandrin (v.18) : chiasme qui reproduit le conformisme. * Faux-dévots : champ lexical du paraître (antithèse « être »

public. Le plus souvent, les peuples accueillent cet étalage morbide avec respect. Le propos de Dix se situe à rebours de cette récupération dramatique et patriotique des traces de la souffrance militaire. Dix choisit de montrer les soldats comme des pantins ridicules. Dans Les joueurs de cartes, le décalage entre la banalité de la situation (le jeu) et l’aspect monstrueux des joueurs est frappant (un joueur tient la carte avec son pied). Le fait qu’un autre porte fièrement la croix de fer à sa veste

péjorative, insultante, qui apparaît comme un emblème : « une de ces pauvres choses, enfin, dont la laideur muette a des profondeurs d'expression comme le visage d'un imbécile ». Maladresse terrifiée du personnage : - Le nouveau ressemble à un pantin désarticulé : immobile pendant le cours, « n'osant même croiser les cuisses, ni s'appuyer sur le coude », il ne s'anime qu'au son de la voix du maître d'études qui « fut obligé de l'avertir, pour qu'il se mit avec nous dans les rangs ». Il semble

journal moins cher et verse plus dans le sensationnel => Gazette des tribunaux : raconte ensemble des procès. Garde du corps pour les plus riches Volonté d'avoir les tenants et aboutissants des affaires policières Jean Baptiste Rothman, massacre de Pantin: on donne des surnoms Jack l'Eventreur en 1888 : soupcons même vers les memnbres de la famille royale - psychose "Psychologie des foules"-associée à la notion de fureur- fuite facilitée. En politique, ville=conséquence du danger révolutionnaire