Papa longues jambes

s'effondrer aussi misérablement ? WERLE. — Tu parles des Ekdal, je pense. GREGERS. — Oui, je parle des Ekdal. Il fut un temps où le lieutenant Ekdal était de tes intimes. WERLE. — Oui, malheureusement, trop intime. J'en ai assez souffert pendant de longues années. À cause de lui, mon nom a été sali. GREGERS, à voix basse. — Était-il vraiment le seul coupable ? WERLE. — Que veux-tu dire ? GREGERS. — Cette grande opération, cet achat de forêts, vous l'aviez pourtant faite ensemble. WERLE. — Mais c'est

d’université à l’instar de Tanella Boni, Véronique Tadjo, Monique Ilboudo, Khady Fall. 3 Voir Le Miroir de la vie (1985). 4 Voir C’est le soleil qui m’a brûlée (1987) et Tu t’appelleras Tanga (1988). 172 C’est la parution en 1980 d’Une si longue lettre de Mariama Bâ qui marque l’entrée des femmes francophones dans la littérature. Ce roman-lettre à la première personne témoignait de la vie de déceptions de deux amies, femmes modernes, urbaines, instruites, responsables, veillant aux besoins

Concarneau, quelque part en Bretagne en plein été. Un taxi arrivait devant une grande villa. Il s'arrêta et une jeune fille en descendit et se dirigea vers la porte de la maison. Elle paraissait plutôt grande, corpulence normale. Elle portait une longue tunique en laine beige avec un collant brun et des bottes assorties. Sa chevelure brune assez foncée et ondulée lui tombait délicatement sur les épaules et se prolongeait dans son dos. - Violette ! Attends avant d'entrer !! Une deuxième femme

- La semaine passée, nous avons marché longtemps, sous un soleil matinal, dans le bois. Au détour d'une allée déserte, nous nous arrêtâmes, nez à museau, devant une biche toute jeune qui s'arrête au lieu de s'enfuir. Elle haletait d'émotion et ses jambes fines tremblaient ; mais ses longs yeux exprimaient plus d'embarras que de peur. J'aurais voulu toucher ses oreilles pelucheuses et son doux museau de velours cotonneux. Quand j'étendis la main, elle tourna le front d'un mouvement sauvage et disparut

1819, en chiffres d’or. Puis, elle biffa à coups de crayon les quatre premières colonnes, rayant chaque nom de saint jusqu’au 2 mai, jour de sa sortie du couvent. Une voix, derrière la porte, appela : « Jeannette ! » Jeanne répondit : « Entre, papa. » Et son père parut. Le baron Simon-Jacques Le Perthuis des Vauds était un gentilhomme de l’autre siècle, maniaque et bon. Disciple enthousiaste de J.-J. Rousseau, il avait des tendresses d’amant pour la nature, les champs, les bois, les bêtes

1819 en chiffres d'or. Puis elle biffa à coups de crayon les quatre premières colonnes, rayant chaque nom de saint jusqu'au 2 mai, jour de sa sortie du couvent. Une voix, derrière la porte, appela : " Jeannette ! " Jeanne répondit : " Entre, papa. " Et son père parut. Le baron Simon-Jacques Le Perthuis des Vauds était un gentilhomme de l'autre siècle, maniaque et bon. Disciple enthousiaste de J.-J. Rousseau, il avait des tendresses d'amant pour la nature, les champs, les bois, les bêtes

Gump : l’histoire d’une vie très émouvante  A.Un garçon différent des autres  Forrest Gump est né dans une petite ville d’Alabama (Grimau), affligé de deux handicaps : un quotient intellectuel en dessous de la moyenne et une paralysie partielle des jambes qui l’oblige à porter des armatures en fer. En bref, il est, dès sa naissance, un garçon différent des autres.  Lors de l’inscription scolaire, la mère de Forrest voulait absolument que son fils entre au collège, comme tous les autres enfants de

font embarquer toujours trop tard. » Ses deux fils, Pierre et Jean, qui tenaient, l’un à bâbord, l’autre à tribord, chacun une ligne enroulée à l’index, se mirent à rire en même temps et Jean répondit : « Tu n’es pas galant pour notre invitée, papa. » M. Roland fut confus et s’excusa : « Je vous demande pardon, madame Rosémilly, je suis comme ça. J’invite les dames parce que j’aime me trouver avec elles, et puis, dès que je sens de l’eau sous moi, je ne pense plus qu’au poisson. » Mme Roland

femmes, l'amour et la sagesse du soufisme - la voie ésotérique de l'islam.  De son côté, le garçon donne un second souffle à l'existence engourdie du commerçant. Après le suicide de son père, Moïse se fait adopter par son nouveau mentor, au terme de longues démarches administratives.  Au début, Momo a du mal à comprendre l'enjeu, rétorquant sèchement que sourire "C'est un truc de riches, j'ai pas les moyens". Les apparences sont trompeuses : un homme pointe sous l’enfant et l’épicier se révèle être un

possède une marmitte pleine d’or enterré dans un endroit secret ? ( Une histoire d’amitié, d’aventure et de magie, inspirée du folklore irlandais. ) Ma chère momie de Jacqueline Wilson : Sofia a plein d’amis, des grands-parents tres gentils et un papa adorable. Elle a aussi Mabel, la vieille chatte tigrée qui appartenait autrefois à sa maman. Sofia lui confie ses secrets. Un jour, Mabel disparaît. Pleine d’appréhension, la petite fille part à sa recherche … ( Jacqueline Wilson nous entraîne entre