Papa longues jambes

Seine-Saint-Denis. En 1997, alors qu’il n’a que 20 ans, il heurte le fond d’une piscine suite à un mauvais plongeon. On lui annonce alors une probable paralysie à vie suite à des vertèbres déplacées, pourtant deux ans plus tard il retrouve l’usage de ses jambes. En 2006 il se lance dans la musique sous le pseudonyme de Grand Corps Malade, en référence à son accident et à sa grande taille Descripteurs : santé physique, psychologie, pratique médicale, histoire de vie, soins, thérapeutiques Résumé

o Est-ce qu’il est là ? ▪ Pour : « Est-il là ? » • Un vocabulaire familier, parfois chargé de nuances affectives ou sociales diverses: o Les guibolles / la frimousse / les quenottes… ▪ Pour : « Les jambes / le visage / les dents… » • La suppression de ne dans la négation : o J’ai pas bien dormi cette nuit. ▪ Pour : « Je n’ai pas bien dormi cette nuit. » • Le pronom sujet on à la place de nous : o Nous,

Fiche de lecture n°2 : Le papa de Simon et autres nouvelles de Guy Maupassant 1_Auteur Guy Maupassant (Henry-René-Albert-Guy de Maupassant) est né le 5 août 1850 et est mort le 6 juillet 1893. Il est écrivain et écrit toute son œuvre littéraire en 10 ans (entre 1880 et 1890), environ 300 contes et 6 romans, dont les plus célèbres sont : Une vie (1883) Bel-Ami (1885) Pierre et Jean (1888) Maupassant est de plus en plus malade. Son frère Hervé, atteint de la même maladie que lui, meurt

indirect libre et donne une raison au discours direct (ligne 17) : « Dans notre métier, il faut des jambes solides ». Les personnages parlent de leurs antécédents familiaux. Les personnages parlent de leur passé familial, Gervaise nous raconte « qu’elle avait failli en mourir un jour, et ça l’avait dégoûtée, elle ne pouvait plus voir les liqueurs », Coupeau lui, disait qu’il ne pouvait plus boire car « Papa Coupeau, qui était zingueur, s’était écrabouillé la tête sur le pavé de la Rue Coquenard, en tombant

comme ça tu ne t'assommeras pas. » Et il lui fit de la main le geste de se taire parce qu'il voulait écouter la radio. Au cours des derniers mois, les rues de Santiago s'étaient remplies de militaires. Pedro avait remarqué que tous les soirs son papa s'asseyait dans son fauteuil favori, sortait l'antenne de son appareil vert et écoutait attentivement des nouvelles qui arrivaient de très loin. Parfois venaient des amis de son père qui fumaient comme des cheminées et qui, après, s'étendaient sur

clientèle. Elles servaient, avec l’aide du garçon, nommé Frédéric, un petit blond imberbe et fort comme un bœuf, les chopines de vin et les canettes sur les tables de marbre branlantes, et, les bras jetés au cou des buveurs, assises en travers de leurs jambes, elles poussaient à la consommation. Les trois autres dames (elles n’étaient que cinq) formaient une sorte d’aristocratie et demeuraient réservées à la compagnie du premier, à moins pourtant qu’on eût besoin d’elles en bas et que le premier fût vide

mere veillant sur sa couvrée. La porte de notre matiti a cédé sous son poids. Elle frappe à notre porte comme le christ à la porte du coeur. Ma mere a pour profession « pondeuse de mioches ». a la maison, nous vivons l'indifférence de papa. Sa devise se résume en peu de choses : serrage de la ceinture-pingerie-débrouillardise. L'argent de la popote suffit rarement à maman qui se debrouille pour que nous mangions. Nous sommes de vraies poules à ne picorer que du riz. Parfois accompagné

Elles servaient, avec l’aide du garçon, nommé Frédéric, un petit blond 9 imberbe et fort comme un bœuf, les chopines de vin et les canettes sur les tables de marbre branlantes, et, les bras jetés au cou des buveurs, assises en travers de leurs jambes, elles poussaient à la consommation. Les trois autres dames (elles n’étaient que cinq) formaient une sorte d’aristocratie, et demeuraient réservées à la compagnie du premier, à moins pourtant qu’on n’eût besoin d’elles en bas et que le premier fût

guettant la suite. Enfin prête, Commère Gredin gagna son lit et éteignit la lumière. Dans le noir, elle se gratta l’estomac, comme le font souvent les vieilles sorcières. Soudain, elle sentit quelque chose de froid et de visqueux ramper le long de ses jambes. Elle poussa un grand cri d’effroi. « Que se passe-t-il ? demanda hypocritement Compère Gredin. - 14 - — A moi ! glapit Commère Gredin en gigotant comme un vermisseau. Il y a une bête dégoûtante dans mon lit ! — Je parie qu’il s’agit du Grand Ver

dans un film policier que j’avais vu jeudi dernier. Après le petit pain, que Rex a mangé presque aussi vite que l’aurait fait Alceste, un copain qui mange tout le temps, Rex m’a suivi tout content. J’ai pensé que ce serait une bonne surprise pour papa et pour maman quand j’arriverais avec Rex à la maison. Et puis, j’apprendrais à Rex à faire des tours, il garderait la maison, et aussi, il m’aiderait à retrouver des bandits, comme dans le film de jeudi dernier. Eh bien, je suis sûr que vous ne me