Pape

prophètes dont l'audience grandit à la fin du XVe siècle, la première réforme, réclamée depuis plus d'un siècle, est celle de la tête car il n'y a pas de fin possible du monde et de Parousie à Jérusalem sans un Empereur Charles fils de Charles et sans un pape angélique parfaits. Les réformes se bousculent donc dans l'Eglise. Mais de quoi s'agit-il ? De restaurer, de rénover, d'innover (cf. J.-M. Le Gall, dans BHR)? Nous l'observerons de trois points de vue : la tête, les religieux qui vivent sous une règle

déserte , il fait la rencontre de protestants en quête du Pape ,celui-ci peut donner la permission à l'Ingénu d'épouser sa marainne . Pour développer sur cet extrait nous nous demanderons , en quoi ce conte philosophique permet-il une réflexion sur la société française? Pour guider notre développement , nous le diviserons en une partie de trois paragraphe . Une réflexion philosophique , en première partie , La critique du roi et du pape ensuite , Une ruse pour éviter la censure et enfin Une manière

compte qu’il défend parfaitement les indiens grâce à des explications détaillés, parfois choquantes. - Juan Ginés de Sepúlveda : L’un des protagonistes de l’histoire, c’est un théologien espagnol apparemment réputé pour ses textes, selon le légat du pape. Dans le texte, Sepúlveda s’attache à démontrer que les indiens ne sont pas des êtres humains comme les autres, mais qu’ils sont fait pour être leurs esclaves. Il reste calme mais, de par ses paroles, énerve facilement Las Casas. Il est un protagoniste

l'Eglise menace particulièrement le Catharisme. Au début du XIIe siècle, les Cathares s'installent au sud du royaume de France et en Italie du nord. Le Catharisme n'accepte pas le pouvoir de l'Eglise et refuse le sacrement. A partir du XIIe siecle, le pape Innocent III lance des croisades pour éliminer les Cathares. Il fait également appel à des inquisiteurs pour enquêter et éliminer l'Héresie. Quel est le rapport entre l'Eglise et les Cathares ?

protestantes et enfin la troisième partie analysera la réforme catholique. Développement A) LES GUERRES DE RELIGION ET LE POUVOIR ROYAL Entre 1559 et 1589, alors que se succèdent en France trois rois faibles et indécis, les catholiques, partisans du Pape et les protestants partisans de la Réforme (appelés également «huguenots»), essayent d'imposer leurs idées dans une atroce guerre civile dont l'un des épisodes les plus affreux sera la nuit de la Saint-Barthélémy à Paris. a) La conjuration d'Amboise

répression. Comme si sûr de lui le pape a promulgué la brève de la suppression d'une manière inhabituelle qui a causé des difficultés canoniques embarrassantes. Alors, quand Catherine, impératrice de Russie, a rejeté la brève pure et simple et interdit sa promulgation, 200 jésuites ont continué à fonctionner en Russie. Que les jésuites prennent leur vœu spécial d'obéissance au pape très au sérieux est évident à partir de leur mise en conformité immédiate avec les édits du pape désagréables. La répression

Catherine. Le pape Clément VII refuse le divorce. Henri VIII décide alors de rompre avec le pape. En 1530, l'assemblée du clergé catholique anglais reconnaît le roi comme suprême protecteur, seigneur et chef de l'Église d'Angleterre. De ce fait, le pape n'a plus d'autorité sur les catholiques anglais. Mais la totalité des croyances catholiques sont maintenues. Profitant de cette rupture, le roi fait prononcer, en mai 1533, son divorce par l'Église d'Angleterre et se remarie. Le pape excommunie le

l’empoisonneur à brevet de Catherine de Médicis[4] ! On ne s’avise guère de douter que le pape Alexandre VI ne soit mort du poison qu’il avait préparé pour le cardinal Corneto, et pour quelques autres cardinaux dont il voulait, dit-on, être l’héritier. Guichardin, auteur contemporain, auteur respecté, dit qu’on imputait la mort de ce pontife à ce crime, et à ce châtiment du crime ; il ne dit pas que le pape fût un empoisonneur, il le laisse entendre, et l’Europe ne l’a que trop bien entendu. Et

La chrétienté médiévale du XIème et XIIème A partir du XIème siècle, la chrétienté se définit comme l'ensemble des royaumes d'Europe occidentale reconnaissant l'autorité du pape. L’Église de Rome entend diriger une communauté unie par la religion chrétienne et elle menace d'exclure tous ceux qui contestent sa doctrine. A l'apogée de son pouvoir au XIIIème siècle, l’Église est la colonne vertébrale d'une société totalement imprégnée par la religion. Comment l’Église affirme-t-elle son autorité

hiérarchisé à la tête de laquelle on trouve le Pape, qui, entre le 11ème et 13ème siècle, a réussi à s’imposer progressivement comme le chef de l’institution. L’autorité pontificale se renforce : - Sur le clergé : • Le clergé se divise en deux groupes : le clergé séculier (archevêque, évêques, prêtres) qui est au contact des fidèles et le clergé régulier qui vit dans les monastères et les abbayes (abbé, moines ; abbesses, moniales). Le pape Grégoire 7, qui a occupé le trône entre 1073