Paradoxe d'Olbers

qu’on n’a pas faim devant un tel tableau… 1.2 Le tableau de l’horreur - Lexique de la vermine exagérément développé : « mouches, larves… » - Gaieté ironiquement associée à ce monde de la décomposition « en pétillant, vivait en se multipliant » (paradoxe de la vie qui naît de la mort, effet presque surnaturel, renforcé par « étrange musique ») + « vivants haillons » - Réorganisation de la vie à partir de la matière de la mort « noirs bataillons ». II – Comparaison de la femme et de la charogne

pas un héros = satire de la vanité. b- morale explicite . Présence dans les deux derniers vers “les gens sans bruits sont dangereux/Il n’en est pas ainsi des autres” (v.24-25) “gens sans bruits” = Rivière paradoxe ; dangereux” Les gens qui font du bruit = Torrent paradoxe, absence du danger . Sens de la morale ; ne pas se fiez aux apparences apparence X réalité Texte nº3 – Les Animaux Malades de la Peste de la FONTAINE Reprise d’une tragédie grecque “ Oedipe et Roi “ parodié

 « griffe », « monstrueux » à Aspect tyrannique : « opprimait » « dominé » (gradation « dos » et « tète ») à Cruelle et brutale : « écrasant », « agrafé » à Aspect irréel = caractères mythologique : « fantassin romain » 2) Les hommes à Anonymat à Paradoxe : - victime : article indéfini, utilisation du pluriel : « tous ces visages » (métonymie) à métamorphose en animal « monture » voc de la souffrance, négation, énumération, attitude - Absence total de « désespoir », tranquillité : « pas

« Les gens ont l’impression qu’ils ne peuvent pas changer le monde, alors ils choisissent de changer leurs canapé » Alain de Botton Thème : égoïsme, conformisme, consommation intensive Reformulation de la thèse de l’auteur : Dans cet énoncé, Alain de Botton nous explique que dans notre société actuelle, société dite de consommation, l’homme préfère acheter à foison des nouveaux objets plutôt que de faire bouger le monde. Il dénonce l’égoïsme, le conformisme mais aussi le manque d’idéaux. On peut

locuteur qui implique le destinataire avec "NOUS" ce qui engage tout le monde à se remettre en question. 3-Rhétorique troublante. Phrases vraies et logiques qui égaient alors qu'elles devraient aider la raison. (présent de vérité générale et paradoxes) Absence d'exemple concret. Le trouble de la logique s'explique par l'aspect vaniteux de l'Homme puisque ce texte est placé dans la liasse "Vanité" est l'esxpression d'une forme de vanitas. II) Vanité de l'Homme. 1-Incapacité de vivre

dans son rêve l'harmonie faite d'amour, de douceur et de compréhension : « et qui m'aime », « elle me comprend ». C'est un stéréotype de femme mère et de femme amante, soumise et pleine de compassion. . Sa charge de mystère : Par une espèce de paradoxe, le poète crée la figure qu'il évoque. La femme de Verlaine est chargée de mystère. D'une vision globale de la femme idéale amoureuse et soumise, on passe à des détails « son nom doux et sonore », son regard est « pareil à celui des statues », sa

mouvement de la femme. 3.Une femme troublante et paradoxale. -Une femme définit par le paradoxe : « douleur majestueuse », « La douceur qui fascine et le plaisir qui tue ». -Le poète focalise sur les détails du corps de la femme : « main fastueuse », « dans son œil », cependant on remarque des antithèses dans ses descriptions : « agile et noble avec sa jambe de statue ». -cela renforce le paradoxe Mouvement/Statue, et Vie /Mort … -Le décalage entre elle et lui est aussi souligné par

temps ne les a pas dépasser. De plus, pour préserver la mémoire d’Eepie il décide donc de reproduire la jeune fille s’évadant : « la jeune fille ne s’évadent pas. Elle ne se sauve pas en courant. Elle fait du surplace. Très vite. ». Il y a ici un paradoxe très fort qui nous fait comprendre que la mémoire d’une personne restera a jamais mais que le temps passe tellement vite qu’on ne réalise souvent pas que tous les moments passé avec celle-ci ne resteront que des souvenirs. Roy nous fait donc comprendre

ID_REVUE=LHOM&ID_NUMPUBLIE=LHOM_175&ID_ARTICLE=LHOM_175_0219 Ethnographie/Fiction. À propos de quelques confusions et faux paradoxes par Vincent DEBAENE | Éditions de l’EHESS | L’Homme 2005/3-4 - N° 175-176 ISSN 0439-4216 | ISBN 2-7132-2035-1 | pages 219 à 232 Pour citer cet article : — Debaene V., Ethnographie/Fiction. À propos de quelques confusions et faux paradoxes, L’Homme 2005/3-4, N° 175176, p. 219-232. Distribution électronique Cairn pour les Éditions de l’EHESS. © Éditions de l’EHESS

le fait d’interroger le fait minoritaire en ce début de XXIème siècle, c’est questionner la question de politique nationale et internationale qui fixe les antagonismes dans l’espace. La problématique des minorités nous semble être un des grands paradoxes de notre société contemporaine : la contradiction entre deux tendances opposées de l’organisation de l’espace : l’économie d’une part qui appelle à un rassemblement des terres et des hommes au sein de quelques grands groupes, les alliances politiques