Paradoxe temporel

c) Le comique de mots. Comique de mots irrigue toute la scène : « le dialogue sur l'emplacement de la chambre : « prouver que j'ai raison serait accorder que je puisse avoir tort » : opposition par l'absurde : un reversement de logique. Autre paradoxe : « Que les gens d'esprit son bêtes » : Figaro – personne d'esprit/bien bête. Traits d'esprit dont Suzanne fait preuve : « Tu croyais bon garçon … ». Sa participation au comique de mots. En conclusion disons que le fait de donner la parole aux

inné reçu dés la naissance sans qu'on l'ait choisi et sans que l'on puisse en changer. Un outil à l'inverse est un objet extérieur à moi, qui existe en dehors de moi et dont je peux librement me servir pour accomplir certaines tâches. Il y a là un paradoxe presqu'une contradiction il faut lui donner un sens. La main est la manifestation et la mise en oeuvre concréte pratique dans le corps biologique de l'homme, de son intelligence, de sa raison. Ainsi, il ne faut pas simplement la qualifier d'outil

phrase. (Il a l'air vivace et maladif). -Lorsque la symétrie est croisée, c’est un chiasme. (La vie ne vaut rien, mais rien ne vaut la vie). Antiphrase : Fait d’exprimer un mot en utilisant un mot contraire. Sorte d’ironie. (Quel courage !). Paradoxe : Enonciation d’une idée contraire à l’opinion commune afin de surprendre, de choquer ou d’inviter à la réflexion. (Le pénible fardeau de n’avoir rien à faire). Oxymore : Assemblage dans une phrase de deux termes contradictoires. (Cette obscure

Paris-Dauphine FICHE DE LECTURE Changements, Paradoxes et Psychothérapie de P. Watzlawick, J. Weakland , R. Fisch 1974 (1975 pour la traduction en français - Seuil) Sommaire 1. 2. 3. 4. 5. 6. L’auteur …………………………...……… 2 L’école de Palo alto……………………..…3 Postulats …………………..……………….4 Hypothèses ………………..………………4 Résumé de l’ouvrage ……………… .……5 Commentaire……………….…………….23 Philosophie, éthique, comptabilité, contrôle Fiche de lecture : Changements, Paradoxes et Psychothérapie . mars 2006 1 1

Quels paradoxes souligne la Boétie dans les premières pages de son discours ? • L’homme est par nature libre et attaché à cette liberté pourtant il accepte de la perdre. • L’homme fait son propre malheur. • P.8 : Double paradoxe : Le peuple est fasciné par le tyran qui les opprime/terrorise. Des millions d’hommes sont soumis à un seul homme (Distorsion). Quelle est la thèse de la Boétie sur la liberté ? Sur quels arguments s’appuie-t-il ? • Thèse : La liberté est naturelle. L’homme est né

I- LA THESE DE ROUSSEAU 1- Une thèse basée sur un paradoxe 2- Postulat initial = parfait harmonie .bonheur total .incertitude, imprécis (hypothèse ⋄ modalisation) .habilité de Rousseau : fait de son hypothèse une quasi-certitude .affirmation préamptoire (qu’on ne cherche pas à contredire car c’est vrai ou a cause du ton) (l.6, 8.12.14) 3- Construction du raisonnement .1er paragraphe il donne sa thèse (paradoxe/postulat) .2nd paragraphe en deux parties (périodes) : l’homme primitif puis l’homme

brûler » décrit lui aussi de nouveaux troubles physiques, on retrouve ici une seconde antithèse avec « transir » et « brûler ». La passion fait ressentir à Phèdre des sensations extrêmes. On remarque aussi une répétition du « et » qui insiste sur ce paradoxe. Ensuite, la passion amoureuse de Phèdre entraîne chez elle d’importants troubles moraux, celle-ci perd le contrôle d’elle-même. En effet, au vers 6 les expressions « trouble » et « mon âme éperdue » révèlent l’égarement dans l’esprit de Phèdre

vallons ». Il utilise également une antithèse entre « monts » et « vallons » avec deux adjectifs « âpres » et « insidieux » qui sont péjoratifs. Il est seul mais fier d’aller vers l’inconnu, il ressent des contradictions intérieures quand il utilise le paradoxe entre « attendu » et « nulle part ». En général, on est attendu quelque part, mais lui est fier d’oser défier l’inconnu. Le champ lexical de l’inconnu « sans but-inconnu-nouveau-nulle part-noirs-brouillard » prouve bien qu’il n’a pas de but. Quand

contexte. Dans ce cas, il est capital de ne pas confondre un élément du contexte et un élément du système. Cette distinction est reliée à un fondement logique et s’appuie sur des paradoxes, c’est-à dire une proposition contenant une double contradiction interne : au moment où elle est vraie, elle est fausse, et inversement. Le paradoxe le plus connu, emprunté aux sophistes grecs, est celui du menteur. En disant : « Je suis un menteur », je mens en disant la vérité et je dis la vérité en mentant. Il y a donc

représenté le prête avec un visage aussi torturé que ses membres, elle ne serait que tragique. La question même de l'art est posée par le sublime car le sublime va essayer de résoudre le paradoxe : comment montrer ce que l'on ne peut pas montrer, sachant que l'on ne peut pas montrer un paradoxe. Un paradoxe est une contradiction logique, et la figure qui manifeste cette contradiction est une oxymore. Lorsque la pensée s'énonce de manière convenable, la métaphore n'est jamais ridicule. Boileau