Parallélisme

- Une construction en dyptique - Un dénouement entre conte et comédie I. Une construction en dyptique A. La structure - Deux § de même longueur et avec des parallélismes. - Une structure identique : récit puis discours de Pangloss, réponse au discours. - Eléments de parallélisme : « il faut cultiver notre jardin » = repris deux fois. - Interruption de Candide (marqué au 2nd § par le passage de l’itérarif « Pangloss disait quelquefois » au singulatif « répondit

poésies ou les chansons. -L'anaphore est la répétition d'un même mot ou groupe de mots en tête de phrase, de proposition ou de vers. Le parallélisme consiste à reprendre la même construction rythmique ou syntaxique en deux endroits d'un même énoncé pour mettre en valeur leur correspondance ou leur rapport étroit. -Le chiasme est un parallélisme qui dispose ses termes de manière croisée selon le schéma AB/BA. L'accumulation consiste à ajouter des termes de même nature et même fonction

obstination des français B. Dénonciation de l'importance de la mode « il est inconcevable » jugement exprimé par le présent de l'indicatif. Jugement nuancé et informé Dimension humoristique de la lettre. « plus sage / mieux vêtu » parallélisme de deux comparatifs une lettre comique. Satire Critique politique de cette lettre. A. Dimension historique « qui peut penser qu'un royaume.. » question rhétorique, un pb plus grave que ce qu'il paraît. B. Portée morale « ruiné-tué »

consiste à reprendre textuellement un mot. - l'anaphore est la répétition du même mot ou groupe de mots au début d'un vers, d'une phrase. - le parallélisme est la reprise d'une même construction dans 2 groupes de mots (a-b / a-b), qui souligne correspondances ou oppositions : « Rodrigue, qui l'eût cru ? / Chimène, qui l'eut dit ? » - le chiasme est un parallélisme inversé (a-b / b-a) : « Entre cet homme fauve et ce tragique enfant » - l'accumulation lie un grand nb de termes ; la gradation énumère plusieurs

entre les quatrains et les tercets, l'évolution que ceux-ci manifestent. En quoi peut-on encore parler d'une véritable argumentation ? Type de vers : l'alexandrin (hormis l'octosyllabe final). Montrez que son rythme souligne encore davantage le parallélisme entre le "je" et le "vous". Quels vers manifestent le mieux l'expression d'un conflit ? Montrez que ce rythme de l'alexandrin souligne aussi plus particulièrement le cours inéluctable du temps. Structure grammaticale et versification : vous constatez

l'originalité du texte Le fait d’identifier une figure de style entraîne obligatoirement une analyse : pas de remarques stylistiques sans analyse. - Les allitérations etassonances mise en valeur de certains mots, musique du texte - Répétitions, parallélismes, oppositions, ruptures toujours à commenter La progression du texte : Les indices qui permettent de la repérer Ce qu'ils peuvent indiquer Les changements de pronoms, de sujet Les changements du temps, les adverbes de temps Les compléments, les

idée de ville vivante et active. Enfin, la dernière phrase du roman « Et pour premier acte du défi qu’il portait à la Société, Rastignac alla dîner chez madame de Nucingen » est aussi fort intéressante. Cette phrase coupée en deux parties forme un parallélisme permettant de rapprocher les mots « Société » et « Madame de Nucingen ». Madame de Nucingen étant noble, on peut comprendre que Balzac tente de dire que la « Société » au XIXe siècle, c’est la noblesse. Balzac nous dépeint alors l’image d’une

rebondissements, et c'est donc toute l'action baroque qui va se développer. Mouvements, action d'éclats, colère, démesure... Figures de complexité Des intrigues multiples, avec des intrigues qui sont au même niveau les unes que les autres, parallélisme des intrigues. Toutes ces intrigues sont résolues, chacun a rempli le rôle qui lui était assigné au départ. Trompe l'œil : grand champ lexical de l'illusion, c'est une représentation irréaliste. Le trompe l'œil c'est faire prendre l'artifice

étudierons les moyens employés par l’auteur pour nous montrer que l’amour se renouvelle sans arrêt : v.15-16 : nous avons dans ce vers un parallélisme soit le ‘’myrte’’ raccordé avec les ‘’vignes’’ et ‘’inondés de lumières’’ raccordé à ‘’l’ombre des bois’’ (cette dernière citation voulant dire à l’ombre de l’obscurité et donc en l’occurrence a la lumière). Ce parallélisme montre que l’amour est loin du danger, qu’il n’a pas à combattre face au temps qui passe. v.19 : nous pouvons voir ici une contradiction

composé. Le poète jette un regard rétrospectif sur sa vie. - Ce deuxième mouvement est marqué par de nombreuses figures de répétition, qui insistent sur la lassitude du poète. Rythme ternaire « j’ai pu, j’ai servi, j’ai veillé » (v. 17) ; parallélismes « Mon sillon ? le voilà. Ma gerbe ? La voici. » (v. 14) ; « Ayant beaucoup souffert et beaucoup travaillé » (v. 20). - Le poète nous livre l’impression d’une vie accomplie, qu’il a bien menée à son terme. Il insiste également sur les souffrances