Parallélisme

chevalier espagnol, comme au 304ème vers où il utilise un parallélisme : «l’un m’anime le cœur,l’autre retient mon bras.» Ce procédé met en parallèle deux groupes de mots de construction syntaxique similaire afin de mettre en opposition les deux idées présentées. Ceci a pour effet d’illustrer lesextrêmes auxquels Rodrigue fait face dans ce dilemme : l’amour essentiel à son bonheur ou l’honneur si précieux de sa famille. De ce parallélisme, Corneille marque un trait extrêmement clair en les deuxoptions

effet dépassé par cet acte « La seule pensée de ce meurtre a fait tomber en poussière les rêves de ma vie »Cette phrase montre que le héros est submergé par les émotions et que cette pensée morbide lui a brisé ces quelques envies de bonheur. Le parallélisme ici présent(« la seule pensée de ce meurtre »et « les rêves de ma vie »)montre ainsi son rattachement entre sa vie et le meurtre confirmant ainsi l'idée de dépassement. De plus la symbolisation de la mort en corbeau dans la phrase « Je n'ai plus

: (l.10) • Clèves tombe « amoureuse » de la beauté de Nemours • « Surprise » (l.10) : coup de foudre • l.14 : Nemours vit la même chose que Clèves • « Mais » (l. 12) : parallélisme • « Étonnement » (l. 13) : étymologie : tonnerre « Surpris » (l.14) : surprise chez Nemours  Répétition « surpris » (l.14) : parallélisme masculin/féminin Lignes 12-15 : litote → renforce l'expression, sentiments plus forts Lignes 9 à 16 : échange fondamental des regards  enjeu du roman, ici se définit

visages, je ne suis contente de personne, je ne le suis pas de moi même. » En tant que femme de condition Sylvia ne sais où mettre la tête elle remet en cause sa façon de penser et sa stratégie. Cette tension dramatique va être renforcer par le parallélisme de construction de Sylvia « ce n’étais pas la peine de me chercher car je te fuis moi. » En proie au doute elle rejette Dorante avec froideur. Les arguments de Sylvia sont éléctique face à l’aveu que doit prononcer Dorante aux « maitres » Sylvia

désignée par synecdoque + toujours le toucher + dimension. Maternelle = protection : le bonheur est lié à l’enfanceNotion aussi érotique renforcé par la chaleur « chaleureux » = adjectif mélioratifv.3 introduis la Prop principale anaphore de « je » + parallélisme respire / vois => simultanéité des actions : respirer = voir (3e sens : la vue) : vision intérieureCommence ici la vision d’un paysage1- Paysage en mouvement « dérouler » : visions successives + rivages entraine ile -> hommes etc. « rivages

référence à l’oiseau et Argan qui appelle à l’aide [acte 1 scène 1] Tu → sujet et m' → COI permet de montrer la domination de Toinette Vocabulaire familier carogne en incise - expression du mécontentement d’Argan / reproches 1ère réplique Toinette: Parallélisme de structure Vous m'avez fait → insistance/Toinette cherche un compromis quitte à quitte Polysémie verbe casser → soit précipitation Toinette, soit caprice d'Argan → effet comique Conjonction de coordination si → montre l'opposition de Toinette

la femme par un exploit ? + les parallélismes dans la présentation et les réactions : deux personnages faits l’un pour l’autre La narratrice insiste dans sa présentation des personnages sur le parallélisme de leur « beauté » et de leur « parure ». Les réactions de la foule permettent de mettre en valeur l’égale célébrité de leur beauté : « elle le sait aussi bien que vous savez le sien ». signe de reconnaissance mutuelle. Par ailleurs le parallélisme est très apparent ds lignes 723-729 :

L’emploi alterné de ces pronoms mets en relief l’opposition des personnages et des rôles sociaux qu’ils incarnent. Marivaux afin d’accentuer le tout utilise le parallèlisme dans la phrase ‘Vous êtes l’élu des hommes et moi l’élue des femmes : vous êtes mon mari et moi votre femme,vous êtes le maître et moi la maîtresse ‘ le parallèlisme étant une figure de style ayant pour objectif de créer un effet d’affrontement des termes son emploi est un choix perspicace. Cet extrait est donc dominé par le

comparaison entre l'eau et le feu : Le feu gagne l'eau. L'amour gagne la mer. La mer < l'amour. Les ressemblances entre la mer et l’amour Ces ressemblances sont explicites : ("en partage", "aussi bien", "tous deux"). La mise en valeur de ce parallélisme va jusqu'au vers 10, avec des termes exprimant l'union comme au vers 1-2 : « et » coordonne la mer et l'amour, donc la mer et l'amour sont de même nature (les conj. de coord. coordonnent des termes de même nature) Ou encore au vers 8 : « tous

attente du verbe qui arrive à la fin (rythme progressif doublé d’une attente). Du vers 22 à 28 il y une rythme contraire. Métaphore de la lumière : tout le champs sémantique de la lumière est rapproché à Pauline (« soleils brille », « flamme »). Parallélisme entre l’espérance, la foi et la charité. Renvoi à l’écriture. La dimension religieuse de ce poème est essentielle en première partie, le reste étant plus politique. II La dimension religieuse de ce portrait Les valeurs chrétiennes sont