Parallélisme Le Cid

père de famille estimant que les règles de l’autorité parentale étaient contraires à la CID fit un pourvoi devant la Cour de Cassation. Et la Cour de Cassation, dans un arrêt Lejeune du 10 mars 1993, refusa de faire prévaloir la CID. Cet arrêt de 1993 n’a pas été réellement compris puisque la Cour de Cassation n’a pas dit que la loi devait l’emporter sur le traité, elle a seulement indiqué que les articles de la CID n’étaient pas susceptibles de s’appliquer directement en droit français. La Cour de

selon un rythme fortement marqué, brusques ruptures rythmiques pour surprendre ou choquer le destinataire, (anacoluthe) phrases s’achevant sur une chute, c’est-à-dire une conclusion inattendue. Art de la formule aux endroits stratégiques du propos (parallélisme, antanaclase, chiasme, paronomase…). Utilisation de rythmes ternaires pour créer des moments oratoires équilibrés après l’expression vive des sentiments. Recours à des formes incantatoires (anaphores, allitérations, paronomases). • Le goût pour

selon un rythme fortement marqué, brusques ruptures rythmiques pour surprendre ou choquer le destinataire, (anacoluthe) phrases s'achevant sur une chute, c'est-à-dire une conclusion inattendue. Art de la formule aux endroits stratégiques du propos (parallélisme, antanaclase, chiasme, paronomase...). Utilisation de rythmes ternaires pour créer des moments oratoires équilibrés après l’expression vive des sentiments. Recours à des formes incantatoires (anaphores, allitérations, paronomases). Le goût pour

péripéties, dénouement). À ces trois règles, les classiques en ajoutent d’autres : unité de ton la bienséance la vraisemblance Le mélange du comique et du tragique est proscrit, d’ailleurs la tragi-comédie (tragédie qui se termine bien comme Le Cid) est délaissée au profit de la tragédie, genre majeur au XVIIe siècle ; c’est Molière qui amène la comédie à la même notoriété que la tragédie. Elle interdit de représenter une mort violente sur la scène. Il ne s’agit pas de la vraisemblance des

compliqué de l’action et de la volonté humaine. Mais c’est en ceci que résident la grandeur et le caractère indispensable de l’art, qu’il fait naître l’apparence d’un monde simplifié, d’une solution 13 14 GS, L2, § 80, « Art et nature », p. 98. Cid, « Flâneries d’un inactuel », § 7, p. 994 : « (…) Vivre quelque chose pour vouloir le vivre — cela ne réussit pas. Il n’est pas permis pendant l’événement de regarder de son propre côté, tout coup d’œil se change alors en «mauvais œil». » 18 plus

cadre de la préparation à l’épreuve orale de l’EAF, le professeur pourra proposer d’autres extraits de combats épiques, plus ou moins sérieux : l’Iliade, la Chan- son de Roland, les discours du Matamore dans L’Illusion comique ou de Rodrigue dans Le Cid, Candide, Ivanhoé, La Légende des siècles, ou encore, au XXe siècle, des pas- sages de Céline ou de Raymond Queneau. Ainsi se dessinera un travail sur l’évolution du registre épique et de ses enjeux, entre sérieux et parodie, au service de la valorisation

(Pierre Corneille, Horace, 1640.) b. L'oxymore L'oxymore associe deux termes qui s'excluent ordinairement, afin de concilier leur sens. Il souligne l'apparence paradoxale du propos. Ex. : « Cette obscure clarté qui tombe des étoiles. » (Pierre Corneille, Le Cid, 1637.) c. Le paradoxe On appelle paradoxe un raisonnement qui contredit une idée généralement admise. Il produit un effet de surprise et est porteur de vérité. Ex. : « Adieu ! je vais chercher au milieu des combats            Cette immortalité

? – dont elle se réclame. Mouvement du texte Le récit est construit en forme d’énigme (qui est ce « tu » ?), et nous n’en aurons la clé (« Et c’est pour cela […] ») qu’à la toute dernière strophe. Sa construction est à la fois rhétorique (les parallélismes, l’explication finale) et poétique (expansions métaphoriques de plus en plus amples). Si l’on se fie aux longueurs respectives des différentes strophes, la courbe d’un schéma déceptif est repérable : expansion croissante jusqu’à la troisième strophe

notamment au théâtre. En 1630, il a composé un traité lettres sur les 24 heures, unité de temps, de lieu, d’action – la tragédie (auteur phare : Corneille, le Cid) lendemain de la création de la création de l’Académie, en 1637. Le Cid qui est une pièce qui connait un succès retentissant. Mais qui va être très critiquée, la querelle du cid, lié à la question du respect des règles, il ne les a pas respecté. Rival moins connu : Georges de Scudéry va l’attaquer sur un certain nombre de règles, pourtant

  omniprésent   dans   la   mise   en   scène,   puisque   Le   Bourgeois   gentilhomme   est   une   comédie-­‐ballet,   influence   stylistiquement   l’écriture  de  Molière  qui  joue  sur  les  parallélismes  et  les  rythmes  tant  dans  la  syntaxe  que   dans   les   sonorités.   Il   a   composé   plusieurs   ballets   de   paroles,   comme   celui   du   Maître   de   musique,  du  Maître  à