Paresthésie

restaurer l’anatomie pour redonner une prono supination normale Compression sous plâtre: > douleur ++ malgré la prise des antalgiques prescrits > difficultés à l’extension active des doigts > douleur ++ à l’extension passive des doigts > paresthésies dans le territoire du nerf médian ( 3 premiers doigts) > Appel du Chirurgien +++ > traitement : - fendre le plâtre -patient soulagé ++ > séquelles = syndrome de Volkmann

Douleur · Suffocation · Nausée · Vertige · Tremblement (maladie de Parkinson) · Démangeaison · Paresthésie · Acouphène · Hyperacousie · Faim · Soif · Insomnie · Hypotension · Hypoglycémie

a reçu, entre 1986 et 1993, plusieurs injections de vaccins contre l’hépatite B (Hevac B et Genhevac B), renouvelées du fait qu’elle ne développait pas d’anticorps. A partir de la fin de l’année 1992, cette patiente s’est plainte d’épisodes de paresthésie des mains. En 1995, cette patiente s’est plainte d’un état de fatigue et de troubles sensitifs. Elle a cessé de travailler en juillet 1998. En décembre 1998, le diagnostic de sclérose en plaques est posé. Cette patiente a recherché la responsabilité

pedieux Question 17 :4 étapes de la réparation osseuse : 1) Hématome + tissus de granulation 2) Formation du cal mou = cal primaire 3) Formation du cal dur = cal secondaire 4) Remodelage Question 18 : atteinte aggravante d’une fracture Paresthésie : perte de sensibilité Vasculaire : pouls, pied froid ,augmentation fréquence cardiaque et baisse Question 19 : significatif d’une fracture extrémité du fémur Rotation externe du membre Raccourcissement du membre Question 20 : 2 types de fracture

Non perçus (inconscients) Perçu: terminologie particulière « Esthésie » = faculté de percevoir par les sens sensibilité consciente perception Exemples Anesthésie: pas de sensation Dysesthésie: sensation déformée (ex: fourmille ds les jambes) Paresthésie : sensation anormale Hyperesthésie: baisse du seuil de perception Hypoesthésie: augmentation du seuil de perception Somesthésie : sensibilité somatique B. Les fibres afférentes somatiques déterminent la somesthésie. Peau : Sens. tactile discriminative

respiratoire. ➢ Incontinence/rétention, selles/urines, impuissance. 2 - Fonctions sensorielles ➢ Troubles sensitifs : brûlures, maux perforants plantaires, qui agggravent un déficit moteur, douleurs (car sensibilité excessive, paresthésie, dysesthésie) ➢ Equilibre ➢ Cécité mono oculaire ➢ Hémianopsie homonyme latérale : perte de la vision de la moitié des 2 yeux ➢ Cécité corticale (non conscience de sa cécité). 3 - La communication ➢ Dysarthrie :

MUSCULAIRE DELIRE DEPENDANCE DEPRESSION DYSARTHRIE / PAROLE DIFFICULTE EUPHORIE FAIBLESSE MUSCULAIRE HALLUCINATION HYPERACOUSIE INSOMNIE IRRITABILITE LEVEE DE L'INHIBITION PSYCHOMOTRICE LIBIDO TROUBLE MYALGIE NERVOSITE PARESTHESIE PERSONNALITE TROUBLE PHOTOPHOBIE PSYCHOSE SENSATION EBRIEUSE SOMNAMBULISME SOMNOLENCE DIURNE SYNDROME DE SEVRAGE TREMBLEMENT TROUBLE ONIRIQUE TROUBLE PSYCHOCOMPORTEMENTAL VERTIGE / ETOURDISSEMENT VIGILANCE TROUBLE TROUBLES

les raccourcissements, les membres du groupe de travail ont souligné qu'il s'agit d'un effet inhérent aux techniques opératoires donc attendus, elles sont en général décrites comme non gênantes. Des nodules sensibles au niveau des sutures et des paresthésies du gland ont été également rarement rapportés, les membres ont signalé un lien entre la fréquence des nodules gênants et l'utilisation de fils non résorbables utilisés dans les plicatures. Les membres du GT ont indiqué que chez l'adulte, des fils

triathlon) et dynamique. En mai 2010, suite à des céphalées importantes, on découvre une lésion fronto-temporo-pariétale droite. En novembre 2010, récidive tumorale (chimiothérapie) En novembre 2011, découverte d’une autre tumeur au cerveau (paresthésie hémi corporelles et de l’hémiface droite, mais aussi du pied gauche, avec troubles de la déglutition et de l’équilibre). Présence également d’une pneumopathie d’inhalation (affection respiratoire). Le 30/11/2011, transfert en service de neurologie

au-dessus de la tête de la fibula et non la dégager, car le nerf passe en dessous, au niveau du col et serait alors particulièrement exposé. La recherche de signes de souffrance doit être systématique dans les heures qui suivent la pose du plâtre : Paresthésies, douleur localisée. Le nerf ulnaire est également menacé au niveau de la gouttière épitrochléoolécranienne. 1.4. Les compressions vasculaires : un plâtre trop serré provoque une pression circonférentielle dangereuse. Elle peut être à l’origine