Parjure

La foret: lieu symbolique Ligne 10-34: Dom Juan interroge le pauvre: il domine le dialogue à ironie Ligne 35 à la fin : degré de violence qui augmente. Dom Juan veut corrompre le pauvreà sorte de pacte avec le diable Un louis d’or contre un parjure à trahir Dieu contre de l’argent 2) qui mène le dialogue ? Dom Juan domine. Il tutoie le pauvre. Il l’interpelle de façon hautaine (« mon ami ») C’est Dom Juan qui pose la question ! Utilisation de l’impératif par Dom Juan (lignes 17,43,44

demeurer silencieux du début de l’enquête jusqu’au prononcé de la peine qu’il encourt. Ceci se retrouve dans la prestation de serment, qui n’est pas obligatoire pour l’accusé. Celui-ci ne peut être contraint de dire la vérité, il ne peut être accusé de parjure car ceci conduirait à une obligation d’incrimination dès lors qu’il est coupable. Un droit de mentir semble institué de cette manière par les différents droits de défense dont bénéficie l’accusé. Si celui-ci n’est pas tenu de dire la vérité, il a

Où vas-tu adresser tes coups ? et de quels traits veux-tu accabler ton-perfide ennemi ? J'ai formé dans mon cœur je ne sais quelle résolution barbare que je n'ose encore m'avouer à moi-même. Imprudente, je me suis trop hâtée. Plût au ciel que mon parjure époux eût quelques enfants de ma rivale ! Mais ceux que tu as de lui, suppose qu'ils sont nés de Créüse. J'aime cette vengeance, et c'est avec raison que je l'aime : car c'est le crime qui doit couronner tous mes crimes. Médée, prépare-toi. Enfants

d’ermite et à la réversibilité des mérites. DJ prouve encore une fois qu’il est libertin et se plait a braver le ciel et les croyants. Il saisit l’occasion de défier un croyant à blasphémer? Or se dernier refuse la tentation catégoriquement, puisque ce parjure est puni par Dieu.

|Parce, pater : |Epargne-moi, Père : | |timidum non me perjuria terrent, |Si je crains, ce ne sont pas les parjures qui m’effrayent | |non dicta in sanctos impia verba deos. |ni des paroles impies dites contre les dieux sacrés. | |Quod si jam nunc explevimus

sanctions lorsque le seigneur et le vassal n’ont pas rempli leurs devoirs : « S’il ne le fait pas, il est considéré à juste titre comme ayant violé sa foi, de même que le vassal, qui a manqué à ses devoirs en agissant ou en laissant faire, est traitre et parjure ». Lorsque le vassal manque à ses obligations, il se retrouve devant la cour féodale et en théorie et cette cour féodale peut prononcer deux types de sanctions. Il existe la saisine, c'est-à-dire la reprise temporaire du fief par le seigneur. La sanction

posée sur le cœur du néophyte aussitôt après avoir franchi la porte basse le prévient contre toute tentative de trahison- l’idée de trahir son devoir est réitérée au moment de l’épreuve des coupes - La notion de parjure apparaît au moment du serment du compagnon : « Si je devenais parjure, puissè-je avoir le cœur arraché …. »D’autres notions s’apparentent ou accompagnent le concept de fidélité tout au long du parcours : - Ainsi, l’appel réitéré à porter secours et assistance à ses FF .°. et SS.°.

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honteuse et méprisée D'un peuple qui me hait soutenir la risée ? J'ai voulu vous pousser jusques à ce refus. C'en est fait, et bientôt vous ne me craindrez plus. N'attendez pas ici que j'éclate en injures, Que j'atteste le ciel, ennemi des parjures ; Non ; si le ciel encore est touché de mes pleurs, Je le prie en mourant d'oublier mes douleurs. Si je forme des voeux contre votre injustice, Si devant que mourir la triste Bérénice Vous veut de son trépas laisser quelque vengeur, Je ne le

dit significativement: « Va, cours. Mais crains encore d’y trouver Hermione ». Dans ce monologue, Hermione a complété la transition mentale de la colère pour le calme, et de l’amour pour la haine. Au début, elle appelle Pyrrhus « cruel », « un parjure », « ingrat », « perfide » ; et l’appelle en vouvoiement à la place d’en tutoiement. Tous ces mots désagréables et le changement de l’appellation présente la colère d’Hermione. Et enfin, elle l’appelle en tutoiement de nouveau, mais en ton apathique