Parloir

narratrice comme une oreille à qui se confier en toute sécurité ou même une amie, car c’est vers elle qu’elle se tourne lorsqu’elle a une question à poser. Par exemple, elle lui demande à un moment donné s’il est vrai qu’il faut payer pour s’asseoir au parloir. Elle demande même à la narratrice de ne pas répondre trop fort car on pourrait une fois de plus se moquer d’elle. Cette confidence démontre une fois de plus un certain lien de confiance s’étant créé entre les deux jeunes filles. Toujours dans

de son geste, s’énerve et lui parle de Dieu. Cet entretien est suivi de plusieurs autres. CHAPITRE 2 Meursault s’installe dans la vie carcérale (prison life), reçoit l’unique visite de Marie, pendant laquelle il est incommodé par le bruit du parloir. Quelques mois passent. Il s’habitue. CHAPITRE 3 Un an a passé, c’est de nouveau l’été. Le procès commence. Meursault entre dans la salle d’audience, repère les jurés. Le président procède à l’appel des témoins et commence l’interrogatoire.

ils ne s'occupaient jamais de moi en ces moments-là". Le jour de son arrestation, Meursault se retrouve enfermé avec d'autres prisonniers. Puis très vite, il se retrouve seul dans une cellule. De sa fenêtre, il peut voir la mer. Visite de Marie au parloir. Le bruit des autres conversations de prisonniers couvre les paroles de Marie. Meursault a du mal à se concentrer . Il ne lui répond que par des monosyllabes. Pourtant , il aimerait tant la prendre dans ses bras. Puis Marie lui envoie une lettre

- 1974-75 : Assouplissement des conditions de détention (autorisation de correspondre, de fumer, de lire la presse…). Définition de « sanctions disciplinaires ». Droit de vote. - 1983 : Autorisation du port de vêtements civils pour les détenus, parloirs sans hygiaphones. - 1985 : Autorisation de la télévision en cellule. - 1987 : Programme de construction « Chalandon »9. L’obligation de travail pénitentiaire est supprimée. Premier directeur de l’administration pénitentiaire, ancien résistant emprisonné

possessivité quitte à négliger l’éducation de son fils pour le garder auprès d’elle (« elle se donna tout entière à son fils ») et c’est son père qui conduira son petit-fils au collège malgré la jalousie et la tristesse (« elle demeurait assise au parloir, n’ayant ni la force, ni le courage de s’éloigner du collège ») que peut ressentir Jeanne tellement son amour est obsessionel. Jeanne participera à cause de cette mauvaise éducation à l’échec de son fils car il aura pris l’habitude des belles choses

moindre résistance »Argument : Ce roman, qui déploie de nombreuses péripéties, fait de la passion un moteur irrésistible. Exemple : L’analyse de la scène du coup de foudre. Trahison avec M. De B..., des retrouvailles au parloir du séminaire (rejeu du premier coup foudre). Démonstration  : Insistance du personnage-narrateur sur la dimension cyclique de la relation qui le lie à Manon : il est incapable de résister à son amour pour Manon quelles que soient

criaient , mais surtout celui d’Adil qui m'avait déjà prévenu. Il m'a jeté un regard noir et j'ai été obligé de baisser les yeux signe de honte. Une fois en taule , la juge a décidé de me condamner à 1 an de prison. Ma mère est venue me voir au parloir. Je suis triste. J’ai de la haine en moi , mais ça c’est de ma faute. Mohammed m'a promis de venir me voir et ma mère aussi malgré qu’elle soit dégoûtée de mon attitude. Mais j'ai quand même pu te prendre toi p'tit journal ! 1 an sans rien faire

Meursault est à présent en prison, et il s’habitue vite à la vie carcérale. Il partage le premier jour une cellule avec des Arabes, puis on lui donne une cellule individuelle. Il reçoit une unique visite de Marie, et est dérangé par tous les bruits du parloir, la plupart provenant d’Arabes. Il tue le temps avec des souvenirs, en pensant, en dormant (entre 16 et 18heures par jour) et en mangeant : il s’est habitué à cette vie. Chapitre 3 : Un an a passé, nous sommes de nouveau fin Juin, en plein été

s’aperçoit que pour Jean-Claude c’est une énorme délivrance car comme indiqué plus haut, il est libéré de ses mensonges. On découvre également sa participation à diverses activités, connotation très positive pour lui. On parle aussi d’embrassades au parloir avec Mme Milo, ancienne enseignante. Ce qui nous fait penser que pour lui, l’image de la prison est synonyme de sécurité. Il s’y sent mieux que dans son ancienne vie. Par contre, pour nous, lecteurs, l’image de la prison reste négative, un endroit

Madame et sa servante, Irma, dans laquelle celle-ci se désole en ces termes : « Y-a que, Madame, yaque j'ai pas de gravats pour mes haridelles, plus de stuc pour le bafouillis de ce soir, plus d'entregent pour friser les mouches... plus rien dans le parloir, plus rien pour émonder, plus rien... plus rien... ». De l’étrange naît la diversion, de l’étonnement, le divertissement. Mais si le théâtre permet au spectateur de s’évader du monde réel, il peut aussi, par le détour plaisant du spectacle, faire