Parnasse

visuelle, par exemple avec l' u-tilisation de calligrammes comme Apollinaire dans Calligrammes. De plus, la poésie peut devenir un « artiste des mots » comme l'illustre la théorie de « l'art pour l'art » mis en avant par Gautier et le mouvement Parnasse. Pour les Parnassiens l'art n'a pas à être u- tile ou vertueux et son seul but est la beauté. Gautier l'affirme dans Mademoiselle de Maupin. Cependant, cette conception du Beau change et certains des poètes comme Hugo commence à décrire le Laid

est une règle aux XVIème et XVIIème siècles (Du Bellay – Racine – Corneille – La Fontaine…) 2) L’imitation par la réécriture est une façon de dorer son art de la gloire passée, de donner une légitimité ancienne à ses écrits (Théophile Gautier et le Parnasse) 3) Copier est enfin une façon de trouver son propre style, c’est une tradition (ex. des peintres not.) II – Une réappropriation du modèle 1) Réécrire peut être motivé par une volonté d’adaptation d’une œuvre ancienne à l’époque actuelle (Sophocle/Anouilh…)

Prudhomme publie trois recueils de poésies sentimentales et mélancoliques à partir de 1865. Il essaie de mêler la poésie, la science et la philosophie. Par sa recherche de la perfection formelle, Sully Prudhomme se rapproche du mouvement parnassien (le Parnasse se démarque, refoule les excès de la plume romantique). Thème et spécificités : La croyance. S. Prudhomme raconte dans son poème que l’œil est le symbole de la vie. Elle personnifie les yeux, elle leurs donnent vie. La chair est triste, hélas

l’âge de 10 ans, après la mort de sa mère, il fut mis en pension dans un établissement catholique. Mallarmé fut employé de bureau, puis professeur d’anglais (à Tournon, Besançon, Avignon puis à Paris). Mallarmé fréquenta les milieux parnassiens(le Parnasse est un mouvement poétique apparu en France dans la seconde moitié du XIXe siècle qui avait pour but de valoriser l’art poétique par la retenue, l'impersonnalité et le rejet de l'engagement social et politique de l'artiste) et symbolistes (le symbolisme

On dit que tous les saturniens ont « bonne part de malheur et bonne part de bile ». Verlaine publie son premier recueil Poèmes Saturniens à l’âge de 22 ans chez l’éditeur des poètes Parnassiens Alphonse Lemerre. Il y développe l’impassibilité du Parnasse, mouvement littéraire du 18ème siècle consisté de poète comme Charles Baudelaire et Stéphane Mallarmé. De plus, il confesse une certaine fatalité qui c’est abattu sur lui depuis son adolescence. Cette fatalité l’écrase et lui interdit de connaître

à la forme du texte , à la beauté de l'écriture. Il n'a aucun désir de faire passer un message. Il y a des mouvements littéraires qui ont donné la primauté à la forme. C'est le cas des parnassiens qui ont prôné " l'art pour l'art ".Les poètes du parnasse considéraient que « Tout se qui est utile est laid ». La poésie est aussi là pour nous faire rêver. On vit dans un monde où l'on parle productivité, rentabilité, efficacité. La poésie est une soupape. En lisant Prévert, il nous parle de la nature

Le recueil fut l’objet d’un procès en 1857 pour «offense à la morale religieuse» ainsi qu’à «la morale publique et aux bonnes mœurs». Baudelaire fut condamné à 300 francs d’amende et à la suppression de six poèmes  mais qui seront publiés dans le Parnasse satyrique du dix-neuvième siècle. Formule : Baudelaire ,héritier du principe" l'art pour l'art "du mouvement parnassien qui est une réaction à l'excès des sentiments du mouvement romantique. C'est un texte à la fois descriptif et argumentatif

Il mourut à Paris au 12, rue Oudinot et fut inhumé au cimetière du Montparnasse. Jugements divers Portrait de François Coppée par Paul Chabas (1895). Son premier recueil, Le Reliquaire (1866), l'avait placé au sein du mouvement poétique du Parnasse. Mais dès ses Intimités (1868), il s'en était détourné pour se tourner vers une poésie du quotidien, utilisant des mots de tous les jours, mais dans une prosodie classique, sans échapper au prosaïsme et au conformisme. Robert de Montesquiou a rapporté2

strophes : deux quatrains et deux tercets. Le sonnet est une forme classique qui a connu son apogée au XVIème siècle, portée par des poètes comme Ronsard ou Du Bellay. Cette forme est très appréciée au XIXème siècle par les poètes parnassiens. Le Parnasse est un mouvement poétique qui valorise la travail acharné et minutieux de l’artiste et proscrit les excès lyriques et sentimentaux. Par sa forme et son thème classique, « Venus anadyomène » s’inscrit dans cette dynamique parnassienne. Cependant,

faire le lien entre l'homme et la nature, et de mieux comprendre le monde. L'expression des sentiments personnels est marquée le plus souvent par la souffrance, elle peut notamment être caractéristique d’un mouvement littéraire tel que celui du Parnasse. En effet, le mouvement des parnassiens est une réaction devant les excès sentimentaux du romantisme. Les Parnassiens refusaient une poésie de l’expression, c’est à dire une poésie lyrique, les poèmes parnassiens sont descriptifs et objectifs, ils