Parodie Rencontre Amoureuse

Ligne 29 à 34 : Pangloss utilise le voc de la phyllo de Leibniz, c’est une parodie l.35 « tout est bien ». CONCLUSION : SYNTHESE+ OUVERTURE : Dès la fin du chapitre 1er, Candide connaît une 1ere désillusion puisqu’il va être chassé du château de Thunder-ten-tronckh à coup de pied dans le derrière. TEXTE V Extrait n°2 : Candide ou l’optimisme(1759) de Voltaire : Chapitre XXX p.158/159 Deux rencontres : le derviche et le vieillard. Introduction : Candide ou l’optimisme

fait donc peur à tous les hommes, et se retrouve isolée et rejetée. Ce n’est qu’avec Petruccio, initialement intéressé par la richesse de sa famille, qu’elle trouve, enfin, un partenaire de jeu, de dialogue, à la hauteur de son talent. La première rencontre des deux personnages est un festival de réparties, toutes plus vives et drôles les unes que les autres. La logique est donc l’inverse exact des punitions infligées aux mégères à l’époque de Shakespeare : la langue de la femme insoumise est la source

compte de cette opposition dans ses multiples aspects. - Paris, lieu des études et de la littérature se trouve opposé aux lieux de vacances que sont Saas-Fée et Vizzavone. Paris est une cité "ouverte" vers l'extérieur tout autant qu'un lieu de rencontre, de coinvergence. La Corse comme la Montagne sont considérés comme des lieux en "cul-de-sac". - Paris est un lieu qui s'oppose aussi à l'extérieur car c'est à Paris que doivent se résoudre les problèmes créés à l'extérieur : Laura et Vincent reviennent

dans un monde trop vieux… », il pleure de belles absentes, mortes prématurément. Cela caractérise aussi le mal du siècle. Musset, Vigny, Dumas demandent aux siècles passés, une inspiration dont le monde moderne manque singulièrement. Lieux de rencontre : Comme les anciens, les romantiques se réunissent en cercles et en cénacles. Thèmes et contexte historique et géographique : Thèmes : moi souffrant, violence des passions, amour malheureux, exotisme, souffrance du peuple, nature, recherche

et 9 en apparences décousues, mais qui trouvent une unité dans les souvenirs personnels des deux cousins comme le montre Jean Cordelier . pointe à cousin Bussy qui s’est moqué d’elle de manière satyrique dans l’Histoire amoureuse des Gaules , « cruel portrait » 2) Une enfance heureuse et déterminante- très peu de proximité avec son père, « un », au contraire de ses oncles- relations familiales, voisins et amis proches se trouvent mêlés dans accumulation

personnel sur le monde. Il pense et voit tout selon Pangloss. → Mais au fil de ses voyages, Candide va se rendre compte que les théories de Pangloss sont absurdes et sont en décalage avec la réalité. → Lors de ses nombreuses péripéties, Candide va rencontrer des personnages, tel Martin, qui le feront réfléchir sur la présence du mal dans ce monde. → Dans la dernière scène, Candide tient un discours tout à fait significatif de son changement moral, « il faut cultiver notre jardin » . → Candide propose

ont faites11. Pensons aussi aux bonnes actions citées en exemple dans l’article ENCYCLOPÉDIE, celle de Pélisson, celle de M. Gobinot de Reims, celle de l’évêque de Langres : leur trait commun à toutes est d’avoir été accomplies secrètement. On rencontre à nouveau, dans la Réfutation d’Helvétius, un éloge général de ce que Diderot nomme les « belles actions clandestines »12. Mais c’est dans Ceci n’est pas un conte que l’on trouve nommée une de ces « âmes généreuses » dont nous parlait l’article INDISCRET

L’auteur n’acheva pas son poème, qui, lui mort, fut repris et continué dans un esprit entièrement différent par Jean de Meun. Ces deux portions du Roman de la Rose forment véritablement deux poèmes, et le premier est souvent la contre-partie ou la parodie du second. Il y a entre l’un et l’autre quarante ans de distance, et tout l’intervalle qui sépare un interprète ingénu des maximes délicates de l’amour chevaleresque encore dans sa fleur au commencement du XIIIe siècle, et un poète de la fin de ce

tendre rayon ! » / La branche répond: « comme la lumière est douce! » / Et, dans le doux influx de la clarté du jour, / Le jonc épuisé, qui a cédé à l’inondation, / Lève le front du lagon froid / Plonge le front dans le lagon ardent…/ Si la nature amoureuse se réveille/ avec les caresses chaleureuses du célestiel amant, / Dis alors! … Lorsque ton regard transborde en feu/ Tu ne vois pas mon âme renaître vivante? / C’est que ton rire pénètre dans mon âme – comme l’harmonie d’une sainte orchestre –

"je me souviens" - champ lexicaldu temps -> rassemble les moments "jour", "nuit", "heure" qui reviennent avec le refrain - verbes "écoulement" : "vienne", "s'en aller" qui caractérise l'amour -> association entre fuite du temps et perte amoureuse - amour associé à l'eau "s'en va comme cette eau courante", "couler", "passer" -> verbes mis en relief avec inversion du sujet et verbe et position en fin de vers - "onde" valorisée avec l'hypallage ("onde si lasse") - présence de la Seine