Parole En Spectacle

« Le moteur à Bananes », titre qui éveille bien des soupçons. Un spectacle itinérant avec trois personnages haut en couleur qui ont marqué la vie d’Albert Londres, célèbre journaliste vichyssois, nous emmène dans un voyage hors du commun. ------------------------------------------------- « Notre métier n’est pas de faire plaisir, non plus de faire du tort, il est de porter la plume dans la plaie ». Voilà les paroles d’un homme voué à devenir poète, et par ailleurs défenseur des injustices et

contemplation du bouddha assis, cuisses installées et sexe gratuit, à l’âme, c’est-à-dire à la matérialisation corporelle et réelle d’un être intégral de poésie. Antonin Artaud en Marat Non signé, daté « 1930 » Encre et gouache sur papier BNF, Arts du spectacle, 4-O-ICO-006 (3) Lettres de Rodez, 1946* Plus qu’homme de théâtre, ou homme du théâtre (pour Jacques Derrida), Antonin Artaud serait plutôt un « homme-théâtre », selon l’expression de Jean-Louis Barrault, car, comme le dit Alain Virmaux, il est

LETTRES – KENITRA – Filière : ETUDES FRANCAISES Module : Théâtre Semestre 5 Sujet de dissertation Sujet : Un personnage de théâtre quelle qu’en soit la complexité n’est pas un être humain. C’est une entité limitée à ce que l’œuvre ou le spectacle nous en dit et qui se meut dans un univers artificiel lui-même limité. Commentez et discutez cette affirmation en vous basant sur des exemples précis. -------------------------------- Introduction : Le théâtre est, pour ainsi dire, le seul

souviens toujours avec attendrissement qu'au dernier couplet de l'hymne, lorsqu'on chante : Amour sacré de la patrie, etc. tous les citoyens se mirent à genoux dans la maison et dans la rue. J'étais debout sur une chaise où l'on me retint : Dieu ! quel spectacle ! des larmes coulèrent de mes yeux. Si je fus pour eux en ce moment comme la statue de la Liberté, je puis m'honorer au moins de l'avoir défendue de tout mon courage. » L'hymne est repris à l'entrée des fédérés marseillais dans Paris en juillet

exclues de la scène pendant de longues périodes qui correspondent aux formes les plus nobles du théâtre comme le théâtre grec, le théâtre Nô et le théâtre élisabethain. Elles sont ensuite admises comme comédiennes, mais ne prennent pas pour autant la parole en leur nom. Elles se contentent d’être les interprètes d’auteurs puis de metteurs en scène masculins. Les auteurs sont généralement des hommes. Peu de femmes écrivent pour le théâtre même si l’on peut citer des exemples célèbres comme Olympe de

et qui doivent répondre à certaines conventions. Il s'agit de spectacles dans lesquels des acteurs, mis dans les circonstances et les situations créées par un texte et la vision d'un metteur en scène, incarnent des personnages pour un regard extérieur, le public, dans un temps et un espace limités. Les dialogues écrits sont appelés pièces de théâtres, mais il peut y avoir également du théâtre sans texte écrit ou même sans aucune parole. Le mot « théâtre » vient du grec « théa » qui signifie l'action

demander si le théâtre n’est qu’un divertissement. Serait-il seulement destiné à nous éloigner de notre réalité quotidienne et à nous anesthésier dans des plaisirs futiles ? Si le divertissement est bel et bien l’une des fonctions principales dans ce spectacle, il est tout aussi vrai que l’autre fonction du théâtre est de susciter la réflexion. Pourtant, le théâtre atteint le sommet de l’art dramatique   quand l’action qu’il représente joint l’utile à l’agréable, lorsque la représentation nous enseigne

parfois de musiciens, interprètent la poésie de tous les temps et de tous les pays. Des poètes se joignent à eux pour partager leurs poèmes à peine éclos. A la télévision et sur France Inter, puis sur internet dès 1995, le Club des Poètes a porté la parole poétique, et tissé des liens chaleureux en France et à l'étranger. Entre les quatre murs de cette maison du 17ème siècle, Jean-Pierre, Marcelle Rosnay, et tout un aréopage actif de passionnés ont accueilli Aragon, Queneau, René Char, Léopold Sedar-Senghor

Compte-rendu de spectacle sur le Vrai Sang Le mercredi 23 février, au théâtre de la Butte, nous avons assisté à une représentation de la pièce de Valère Novarina, Le Vrai sang, créée au Théâtre de l'Odéon, à Paris. Valère Novarina est tout à la fois : peintre, dessinateur, comédien (enfin, plus beaucoup maintenant), auteur dramatique et essayiste. Il est né dans la banlieue de Genève en 1947. Il commence à écrire très tôt, mais en cachette : jusqu'à l'âge de vingt-et-un ans, personne ne connaît

avoir suicidé, la mort a finalement été jugé un accident. Fred MacFarlane, le porte-parole de Vernon, dit la production HBO a passé quelques semaines de prise de vue dans des endroits à Vernon an dernier. Le conseil municipal ne me dérange pas l'attention, dit-il, parce qu'ils sont de grands partisans du maintien des emplois de divertissement dans la région de Los Angeles. MacFarlane ne pense pas que le spectacle va faire mal l'image de Vernon beaucoup, parce que peu de gens savent quelque chose