Paroles De Poilus

Question5 / Doc. 4 p.41 : Questions du manuel 1/ Présentation du document Extrait d’une lettre de Georges Gallois du 221e régiment d’infanterie adressée à ses parents depuis Verdun le 15 juillet 1916. Cette lettre est publiée dans l’ouvrage Paroles de poilus paru aux éditions Librio en 1998. 2/ Quelles sont les armes citées dans le texte ? Liquides enflammés, gaz, couteau, obus (ça cogne) 3/ Montrez que la mort est partout présente La mort des autres La mort que l’on attend Les cadavres en décomposition

marquées aux phalanges par des bouquets de poils touffus et d’un roux ardent. » L’auteur insiste beaucoup sur la musculature de l’homme ; cela nous montre son aspect bestial. Cet aspect est renforce après par la description des ses mains, qui sont poilues ; le roux des poils fait penser à la couleur d’un animal sauvage, comme un tigre. Tout cela en somme donne une image assez sauvage de Vautrin, qui insiste sur sa force, mais aussi sur sa virilité. Cependant, on voit aussi que Vautrin a quarante

liste (non-exhaustive) de traits physique qui vous permettra d’étoffer l'apparence de vos personnages : Nez Aquilin/ Bourbonien/ Brusqué/ Camard/ Camus/ Cassé/ Crochu/ Droit/ En pied de marmite/ En trompette/ Epaté/ Epaté/ Hypertrophié/ Imposant/ Poilu/ Pointu/ Porcin/ Quelconque/ Retroussé/ Rouge Démarche Alerte/ Animale/ Anxieuse/ Assurée/ Coulée/ Dégingandée/ Empressée/ Féline/ Fière/ Heurtée/ Légère/ Lourde/ Noble/ Sautillante/ Traînante/ Tremblante/ Volontaire/ Lèvres Bien dessinées/

insectes qui contaminent la peau. Ils se propagent souvent, mais pas toujours, par les contacts sexuels. Vous pouvez les attraper en utilisant la literie, les vêtements ou les serviettes de bain d’une personne contaminée. Ils infestent les parties poilues du corps, surtout la région de l’aine et les aisselles. On peut voir les lentes (oeufs) à la base des poils où elles éclosent au bout de six à huit jours. Comment réduire les risques? Ayez toujours des pratiques sexuelles prudentes : employez

l’hommage en l’occurrence intéresse aussi la mémoire avec les rigueurs qui lui sont propres. Le Feu est senti comme un témoignage sur la guerre de 1914 prise dans son ensemble, ou même sur toute guerre moderne. En fait, prendre aujourd’hui la parole pour en commémorer, dans son exactitude, le 70e anniversaire, c’est dire aussi, et de façon indissociable : Le Feu est publié en 1916. Ni 1915, ni 1917. S’il devait y avoir une tolérance de dates, elle s’exercerait au profit du passé : pour publier

l’hommage en l’occurrence intéresse aussi la mémoire avec les rigueurs qui lui sont propres. Le Feu est senti comme un témoignage sur la guerre de 1914 prise dans son ensemble, ou même sur toute guerre moderne. En fait, prendre aujourd’hui la parole pour en commémorer, dans son exactitude, le 70e anniversaire, c’est dire aussi, et de façon indissociable : Le Feu est publié en 1916. Ni 1915, ni 1917. S’il devait y avoir une tolérance de dates, elle s’exercerait au profit du passé : pour publier

10 15 20 Le premier qui arriva fut Pinhas Solal, dit Mangeclous. C'était un ardent, maigre et long phtisique1 à la barbe fourchue, au visage décharné et tourmenté, aux pommettes rouges, aux immenses pieds nus, tannés, fort sales, osseux, poilus et veineux, et dont les orteils étaient effrayamment écartés. Il ne portait jamais de chaussures, prétendant que ses extrémités étaient « de grande délicatesse ». Par contre, il était, comme d'habitude, coiffé d'un haut-de-forme et revêtu d'une

qui y prenaient place avaient des sujets religieux. DESCRIPTION I. Les éléments iconiques (ce qui est représenté) Panneau de gauche : des soldats en armes portant sac au dos (il est possible d'identifier là les armes et l'uniforme portés par les poilus) tournent le dos au spectateur et marchent dans la brume, ainsi ils forment une armée humaine sans visage et sans identité, masse aveugle avançant d'un même pas vers le front et ses atrocités. Panneau central : Alors qu'aucun décor n'est représenté

Soissons et Berry-au-Bac, quelques centaines de mètres dans ses parties les plus étroites, ce site, taillé dans le calcaire par les eaux de l'Aisne et de l'Ailette, a vu l'affrontement le plus meurtrier de la Grande Guerre. Au Chemin des Dames, les poilus, leurs alliés et leurs ennemis souffrirent et moururent avec le même héroïsme que sur la Somme ou à Verdun. Une comptabilité macabre fait état de 20 tonnes d'obus et de 5 tués par mètre carré, en l'espace de quatre ans. Dans un champ, à Colligis,

les adolescents : 2.3.2.1 QUI EST ANNE LANCHON ? 2. 3.2.2 CE QU’ELLE DIT SUR LES COMPLEXES : « A l’adolescence, c’est principalement sur le physique que se concentrent les complexes. Certains sont générés par la puberté (« mes jambes sont trop poilues ») ou le retard de puberté (« je suis plate comme un garçon »). Votre corps et votre visage changent, vous les trouvez laids. C’est vrai que l’adolescence s’accompagne souvent de petits désagréments, heureusement temporaires : rondeurs, points noirs