Paronymes

langue : En maternelle, la réflexion sur la langue se manifeste par la capacité de l’enfant à s’intéresser au langage, comme lors des jeux sur la langue : « sage comme image », le repérage des homonymes : « Mon père, une paire de chaussures », de paronymes : « attention et intention », l’établissement de comparaisons entre les différentes façons de parler, de dire. Le langage oral à l’école élémentaire A l’école élémentaire, l’objectif essentiel est d’améliorer les compétences langagières de

de sa condition et finalement son désir de vivre semble plus fort que sa pensée de mourir. Vocabulaire : Pourtant Avec "Mais" marque une opposition, une restriction. Paronomase Artifice littéraire, figure de style qui consiste à rapprocher les paronymes, mots de sens différents mais de forme voisine, conjoncture et conjecture, collision et collusion, d'yeux et dieu. Saphir Pierre précieuse transparente, le plus souvent bleue Dieu Avec une majuscule, dans les religions monothéistes, être suprême

vocalique de consonnes. Ex : Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes ? (Racine) Un chasseur sachant chasser doit savoir chasser sans son chien. Paronomase Rapprochement de deux homonymes (qui se prononcent pareil) ou de deux paronymes (qui se prononcent presque pareil) Ex. : Il n’y a que Maille qui m’aille ! Qui se ressemble s’assemble. Mangeons bien, mangeons bio !

loup ---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- HOMONYMES / PARONYMES ▪ Les homonymes sont des mots qui se prononcent et qui parfois s’écrivent de la même manière, mais qui n’ont pas le même sens. Ex : la mer est déchainée / ma mère est énervée ▪ Les paronymes sont des mots de sens différents mais que l’on confond parfois à cause de leur prononciation très proche. Ex : une tête d’oreiller - mis pour : une

.................................113 Je suis allé / j'ai été..........................................................................116 Toujours...........................................................................................117 Les paronymes.................................................................................118 Les noms de couleurs......................................................................133 Le cri des animaux.................................................

nom-ci est : « enveloppe de testicule », alors que dans ce chapitre, Panurge utilise un champ lexical ayant rapport aux testicules afin d’interpeler le Frère Jean : « mon petit couillaud », « Ma belle couille gauche » (p.141). À la page 135, une paronyme est employée avec l’adjectif « couard » utilisé par Panurge, voulant dire « peureux », qui ressemble au nom « couillard », alors qu’il ne cesse, comme dit précédemment, d’interpeler le Frère Jean avec des noms relatifs aux couilles. L’énumération

propositions. Paronomase (féminin) : Une paronomase consiste à employer côte à côte des mots dont le sens est différent, mais le son à peu près semblable. Exemples : « Qui vivra verra. » ou encore « Tu parles, Charles ! ». La paronomase utilise des paronymes (des mots qui se ressemblent par leurs sons). Personnification (féminin) : La personnification attribue à une chose abstraite les propriétés d’un être animé (homme, animal). Cf. La Fontaine. Polyptote (masculin) : Un polyptote consiste à employer

marquer son sentiment de désespoir, Baudelaire finit son poème par un point d'exclamation nous renvoyant ainsi à la première phrase du poème et au sujet sur lequel il repose. Il fait rimer « gouffre » (V.12) avec « souffre » (V.10) en utilisant ce paronyme il appuie son sentiment de désespoir sur sa souffrance précédente.

sans but. - Errance poétique, aussi, d’un poème non ponctué, signe de l’abandon des limites, des repères. Le poème, comme le vagabondage parisien, est placé sous le signe de la lyre et du soleil, attributs d’Apollon le dieu grec de la poésie, paronyme d’Apollinaire : « Juin ton soleil ardente lyre ». - Cette déambulation est cependant équilibrée, tranquille. Les quintils sont réguliers, avec des octosyllabes plus légers que des alexandrins et des rimes alternées. La marche dans la ville a un

existence "et comme fleurs périront tout soudain" vers 8. c) Comparaison de la femme à la fleur - Alors que "fleuries" (vers 6) indique l'épanouissement des fleurs, "flétries" (vers 7) désigne la mort de celles-ci. Le rapprochement de ces paronymes à la rime met en évidence la proximité entre la naissance et la mort : dès sa jeunesse, Marie est condamnée. - Ce déclin d'abord est amplifié par l'utilisation des adverbes "toutes" vers 9 et "tout" vers 10 puis, il est accéléré par les compléments