Paronymes

hexamètres, d'où une constance rythmique). Ajoutons que les hémistiches de «Si l'on cesse / tout à coup» ont ceci de particulier qu'ils suggèrent tour à tour la douceur et la violence, le silence et le bruit ; les sifflantes en série de «Si l'on cesse», paronyme du mot silence, prolongent en écho la sensation du froissement des ailes, et le bruit fait irruption avec la locution adverbiale «tout à coup», dont, en fin de vers, les sons vocaliques apportent, au couple «beaucoup» et «roucoule», de nouveaux effets

ténébreux orage ). D'ailleurs, ce dernier occupe intégralement le deuxième hémistiche du premier vers. Nous avons de ce fait un bilan décourageant "un tel ravage" ( au vers 3 ) : les ravages de l'orage constitue une rime insuffisante, presque un paronyme. Et les ravages sont tels que qu'il en paye encore les conséquences : subordonnée de conséquence ( vers 4 ) puis "ont fait" ( passé composé ). B ) Brillants soleils : Toutefois cette jeunesse qui laisse un souvenir assez sombre à l'auteur

pour son existence "et comme fleurs périront tout soudain" vers 8.

c) Comparaison de la femme fleur - Alors que "fleuries" (vers 6) indique l'épanouissement de la fleur, "flétries" (vers 7) désigne la mort de celle-ci. Le rapprochement de ces paronymes à la rime met en évidence la proximité de la naissance et de la mort : dès sa jeunesse, Marie est condamnée.
- Ce déclin d'abord est amplifié par l'utilisation des adverbes "toutes" vers 9 et "tout" vers 10 puis, il est accéléré par les compléments

l’albatros est esquissé : « Qui suivent, indolents compagnons.. »: attitude inoffensive et plutôt rassurante. ● Le vers 4 change d’atmosphère, notamment avec l’expression « gouffres amers », métaphore d’une mer avec des grandes vagues, des grands creux. Paronyme avec « amers » qui rappelle évidement la sonorité de « la mer ». Le verbe « glissait » affirme aussi la présence de l’eau. ● Le rythme binaire des vers miment la houle de la mer. ● Image saisissante du gouffre, renforcée par l’allitération en « r

trahi. Corneille utilise plusieurs procédés pour souligner cette générosité : la répétition du verbe « donner » : « Je t’ai donné la vie » (vers 10), « Je te la donne » (vers 12), « Que je t’avais donnée » (vers 17). Mais encore, l’insertion de paronymes tels que « comblé » et « accablé » (vers 16) accentue également cette générosité. En plus de cela, on retrouve l’idée de gloire, avec le paradoxe de la réaction d’Auguste face à la trahison de Cinna : « Tu trahis mes bienfaits, je les veux redoubler

51 : JEUX DE MOTS renforce le coté tragique : « café crème »  « café crime arrosé de sang ». Il annonce le crime. Allitération en [c] Paronymie = Il veut MONTRER que la faim, l’absence de nourriture, amène au crime.« Crème » et « crime » sont des paronymes (= des mots qui se ressemblent), donc il considère qu’ils sont liés. « Ça ne peut pas durer
ça dure
trois jours
trois nuits
sans manger oeuf dur café-crème
café arrosé rhum
café-crème
café-crème
café-crime arrosé sang !… » : anaphore ,vers courts

outre, l'ensemble des poèmes du corpus intègre l'aspect phonétique du langage. Le poète joue avec les sons et de ce fait, consciemment, reproduit un plaisir auditif. Dans le poème de Max Jacob, la paronomase, procédé qui consiste à rapprocher des paronymes, est présente tout au long du poème et provoque la redondance des sons « age » et « ège ». De même, la contrainte respectée par le lipogramme de Raymond Queneau donne au poème des sonorités fantaisistes voire ridicules. D'une autre manière, Du Bellay

de souffrance, de solitude, habité par un secret, le sonnet reste énigmatique... b)Caractère énigmatique. Nous avons une idée de l'enfouissement qui conduit le lecteur à émettre des hypothèses: nous avons des paronomases(jeu du poète avec les paronymes) : paronomase pour ( anterieure ) à interieure: profondeur , présence inhérente de la souffrance dans la condition humaine renvoyant au Spleen.-En outre Baudelaire conteste l'idée d'un paradis perdu, il montre que la souffrance n'est pas consécutive

|sifflent sur vos têtes ? (Racine) | |Paronomase |Rapprochement de deux homonymes (qui se |Ex. : Il n’y a que Maille qui m’aille ! | | |prononcent pareil) ou de deux paronymes |Qui se ressemble s’assemble. | | |(qui se prononcent presque pareil) |Mangeons bien, mangeons bio ! |

Analyse : Acte II, scène 9 Scène d’adieu: “éloignement” l.1 : antipathie  jeu sur le double sens du mot  scène d’adieu qui va se transformer en scène d’aveu  paronyme Stichomythies (=échange vif, agressif) : l.1-18 ; l.40-l.89  jusqu’au moment d’aveu Phrases brève  rythme haletant  sensibilité du personne  l.20-22, l.28-29 + elle dit que Dorante n’a aucune chance avec elle (repris plus tard par Dorante) Répétition de la question l.12-13, l.60-62  remet en cause l’adieu < XVIIème