Paronymes

propositions. Paronomase (féminin) : Une paronomase consiste à employer côte à côte des mots dont le sens est différent, mais le son à peu près semblable. Exemples : « Qui vivra verra. » ou encore « Tu parles, Charles ! ». La paronomase utilise des paronymes (des mots qui se ressemblent par leurs sons). Personnification (féminin) : La personnification attribue à une chose abstraite ou à un animal les caractéristiques d’une personne. Cf. La Fontaine. Polyptote (masculin) : Un polyptote consiste à employer

Pierre de Marbeuf nous perds dans une lecture oral du poème, il faut réfléchir et chercher quel mot a quelles signification. De plus, sons sens est particulièrement fort et la façon dont il la fait partager est très recherchée. La musicalité, le jeu paronyme et les sonorités de chaque mot renforcent le lyrisme du poème et le rend ainsi agréable à lire. Il illustre parfaitement les maux de l’amour.-Ce sonnet ma aussi beaucoup plus par l’originalité de son thème, effectivement la métaphore filée avec la

phrase, pareil pour les deux tercets. Le chiasme syntaxique entre les deux phrases donne une impression circulaire, donc harmonieuse. L'harmonie de ce paradis est aussi exprimée avec les sonorités : il y a 5 rimes riches et 2 rimes suffisantes : paronymes « narine » « marine » et une rime exceptionnellement riche : « tamariniers » « mariniers ». Plusieurs rimes sont enrichies comme « chaleureux » « rivages heureux » enrichie par l'assonance en « a » ou de « chaud d'automne » « soleil monotone » avec

sur les sens et les métaphores. Le jeu de sens est sous-tendu, relayé et unifié par le jeu sur les sons, notamment par l’homophonie, voire l’homonymie et la paronomase : il y a mer, amer, amour qui se répètent et se répondent. Ajoutons que les paronymes sont renforcés parfois grâce au parallélisme de la construction et aux répétitions comme dans les deux premiers vers. Marbeuf joue avec le langage aussi bien dans ses aspects visuels que sonores : ainsi « aimer » est visuellement proche d’« amer »

cette fleur semble imprégner tout ce qui l’entoure, elle remplit le ciel « du parfum de ses vertus. Dans l’expression « sa robe de percale produisait un point blanc », « percale » est un mot très proche du mot pétale, ces deux mots sont des paronymes. Le narrateur a donc ici commencé à faire l’analogie entre la femme et la fleur de lys. Elles sont confondues. La couleur blanche de la fleur, « point blanc », dénote du paysage, on ne voit qu’elle. La femme aimée est au centre des attentions du

Ainsi, sa cruaut� et son insensibilit� sont not�es � plusieurs reprises�: le sort des hommes lui est indiff�rent�au vers 12 ��Et tu gouvernes tout et ne r�ponds de rien��. Son m�pris de la vie humaine est rendu sensible par la mise en relation des paronymes ��morts�� et ��moques�� plac�s � la fin de chaque h�mistiche du vers 13�: ��Tu marches sur des morts, Beaut�, dont tu te moques��. L'alliance de la beaut� et de la mort est enfin rendue par le rapprochement des mots ��morts�� et ��Beaut頻 de part

héroï-comique : faire rire avec des héros -La fontaine utilise le conflit entre l’amour et la gloire , quand il est donne au coqs des qualités d’heros , Les coqs sont devalorisé et ridiculisé par La fontaine , le jeu de mot entre coquet et caquet = paronymes il ya qu’une lettre différence . Auncun des deux ne remporte le duel par le merite , le 1ermeurt , et le 2eme est ridiculisé puisque tout ces effort pour se vanger n’auront servit a rien V14-18 -La mitologie dont se sert La Fontaine sert a donné

négation (Il est parti sans que je m’en aperçoive.). L’orthographe : – tenir compte de l’usage (doubles consonnes ; lettres finales…) ; – distinguer les homonymes grammaticaux (son ≠ sont, c’est ≠ ses ≠ ces, ce ≠ ceux ≠ se, etc.) ; – distinguer les paronymes (emprunte ≠ empreinte, inflige ≠ afflige, enduire ≠ induire, invoquer ≠ évoquer, gradation ≠ graduation, immigré ≠ émigré, etc.) 4/5 Respecter les règles de dactylographie en matière de ponctuation Les signes « doubles » prennent un espace

"encaquer tu nous encaques" joue sur les allitérations. De plus, existence de néologismes: l79, l111-112, effets d'assonance l100)105, onomatopée "teuf-teuf" l123-124, effets de rime l103-104/l92-97, exclamations "ah,oh", paronomase (= utilisation paronymes à intervalles réguliers) l94-98 "bouge-bouche-:ouche", répétitions absurdes l70 "kakatoes" "quelle cacade" + allitération en k: tout cet ensemble produit effets d'écholalie (répétition automatique des paroles de l'interlocuteur), utilisation de mots

réussira, etc. Paronomase (féminin) : Une paronomase consiste à employer côte à côte des mots dont le sens est différent, mais le son à peu près semblable. Exemples : « Qui vivra verra. » ou encore « Tu parles, Charles ! ». La paronomase utilise des paronymes (des mots qui se ressemblent par leurs sons). Périphrase (féminin) : Remplacer un terme par une expression qui le définit - La capitale de la France - Le roi des animaux Personnification (féminin) : La personnification attribue à une chose