Parricide

suis libre de venir vous dire ce que la pièce ne pourra vous dire. Dans de pareilles histoires, ils ne vont pas s’interrompre de se tuer et de se mordre pour venir vous raconter que la vie n’a qu’un but, aimer. Ce serait même disgracieux de voir le parricide s’arrêter, le poignard levé, et vous faire l’éloge de l’amour. Cela paraîtrait artificiel. Beaucoup ne le croiraient pas. Mais moi qui suis là, dans cet abandon, cette désolation, je ne vois vraiment pas ce que j’ai d’autre à faire ! Et je parle

leur effet, le coupable sera punit de mort TITRE II CRIME ET DELIT CONTRE LES PARTICULIERS CHAPITRE I DES CRIMES ET DELITS CONTRE LES PERSONNES Paragraphe I : Meurtre, assassinat, parricide, infanticide, l’empoisonnement Article 302 : (Ord.N°62-013 du 10.08.62) : Tout coupable d’assassinat, de parricide ou d’empoisonnement sera puni de mort. Seront également punis de mort tous les malfaiteurs qui, pour l’exécution de leurs crimes, emploient des tortures ou commettent des actes de barbarie

Freud a, dans sa première topique évoqué sa théorie du complexe d’Oedipe, l’histoire de ce jeune garçon qui a, sans le savoir fait preuve d’inceste et de parricide respectivement, envers sa mère et son père. Nous allons nous intéresser aux arguments que Freud avance sur l’universalité de ce complexe et enfin sur la dissymétrie présente entre le petit garçon et la petite fille. Le complexe d’Oedipe 1.1. Hypothèse d’universalité du complexe d’Oedipe argumenté par Freud Lors de l’Oedipe,

même une certaine affection et une intimité entre sa mère et lui. Il est complétement déshumanisé par le procureur qui ne voit en lui qu’un sorte de «gouffre pour la société » (l.11), son indifférence face aux funérailles de sa mère comparé à un parricide « l’horreur que lui inspirait ce crime le cédait presque à celle qu’il ressentait devant mon insensibilité » (l.20-21). Il ne correspond pas à une personne que l’on pourrait qualifiée de « normale », il est exclu de la société car il n’a pas de réactions

sur ce point, il faut un acte positif. Toutefois, les tribunaux au nom d'une certaine morale considèrent parfois qu'une attitude passive puisse être sanctionnée. Ainsi, la Chambre criminelle a pu condamner une mère dominatrice pour complicité de parricide pour avoir laissé son arme à la disposition de son fils, arme utilisée par lui pour le meurtre de son père. Il arrive aussi que "l'inaction" conduise à la complicité lorsque la personne, dont c'est la fonction ou la mission d'empêcher la commission

à détourner la fortune de Roscius pour l’approprier. Pour éviter tout soupçon, ces derniers accusèrent Roscius, le propre fils de la victime, un jeune homme, dénué d'instruction, vivant dans les champs, étranger aux affaires, inconnu à Rome, de parricide. Cicéron réussit, avec brio, à le disculper. LE PRO ROSCIO COMOEDO : Les faits : C. Fannius Charea s’était associé avec un acteur célèbre, Q. Roscius, pour exploiter les services d’un de ses esclaves, nommé Panurge. Roscius devait lui apprendre

angoisse de perte d'amour de l'objet PLANCHE 6BM Manifeste : 1er plan, homme jeune de face ; 2nd plan, femme âgé de profil (≠ des sexes + de génération) Latent : renvoie à relation mère/fils dans contexte de tristesse En contexte œdipien : fantasme parricide (tristesse lié à mort du père) et mise à épreuve interdit de l'inceste Autre : relation entre mère et fils avec angoisse de perte de perdre son amour, éloignement imposé par renoncement œdipien PLANCHE 7BM Manifeste : 2 hommes près l'un de l'autre

volonté d’Horace. La seule solution pour Tulle serait de montrer qu’Horace a commis son parricide pour servir Rome, ce qu’il fait en demandant « que Rome dissimule/ ce que dès sa naissance elle vit en Romule » et en concluant que « Rome peut bien souffrir en son libérateur/ Ce qu’elle a bien souffert en son premier auteur » : contrairement à ce que pensait Valère, Rome ne voit pas là son premier mais son second parricide, et le premier étant resté impuni, il n’y a pas de raison que le second soit condamné 

te mère. Donc il faut fuir Polybe et Mérope. La crainte du parricide et de l’inceste le jette vers son destin. Un soir de voyage, au carrefour où les chemins de Delphes et de Daulie se croisent, il rencontre une escorte. Un cheval le bouscule ; une dispute éclate ; un domestique le menace ; il riposte par un coup de bâton. Le coup se trompe d’adresse et assomme le maître. Ce vieillard mort est Laïus, roi de Thèbes. Et voici le parricide. Jean Cocteau

« massacrer cinquante mille Chinois et faire égorger dix mille Français » (l.10 puis l.13-14) ou de la présence dense d'un champ lexical de la violence extrême « tuer! … massacrer! ...assassins les plus abominables, découpeurs de femmes en morceaux, parricides, étrangleurs d'enfants », Maupassant rejette en bloc le choix d'une politique guerrière qui ne génère que désastres et charniers. La guerre est « monstrueuse et contre nature » (l.6), elle dépasse donc toute humanité pour sombrer dans l'acte barbare