Parti authenticité et modernité

et au sein duquel l’action des hommes est faite en faveur de l’homme. Destructrice d’un monde humain. Ces valeurs viennent de notre liberté, en droit de façon absolue indép du contexte, nous les créons, élaborons. Pourquoi est-ce que dans notre modernité nous créons nos valeurs en notre liberté : Ancêtres : n’ont plus rien à nous dire pour ce que l’on doit faire. Tradition/nature : « L’histoire n’est pas notre code. » Rabaud St Etienne. Dieu est mort : il n’a plus rien à dire. Nous créons en notre

de kola, la boisson était alors préconisée par son inventeur, le pharmacien John Pemberton, comme remède contre les problèmes gastriques. En 1895 , trois ans après la fondation de The Coca-Cola Company, Asa Candler déclare aux actionnaires : "A partir de maintenant, Coca-Cola se boira dans chaque état et territoire des Etats-Unis." Il veut un marketing vigoureux et des ventes massives. La marques doit être omniprésente. Robert, président de the Coca Cola compagny en 1923 va donner un nouvel

on dialogue avec l’Autre. Cela serait peut-être le meilleur héritage qui nous permettrait de raisonner au plan de l’universel. 3 Le Nouveau Roman ne peut pas offrir aux écrivains de la « néo-narrativité » la possibilité de collecter les parties dispersées d’une identité brisée, menacée de disparition. C’est pour cela, nous estimons que seul le conte oral en tant que dire et modèle ancestral permettait de retrouver ses racines et de signifier son altérité. Ce sont d’abord de nouvelles

organisation (entreprise privée, publique...), des valeurs partagées, la manière commune d'aborder les problèmes, et la manière dont elles doivent être véhiculées. Clinquant: Qui brille d'un éclat excessif; qui a du brillant mais peu de valeur. Authenticité: Qui est certifié par des officiers publics et dans les formes requises; Dont la vérité ou l’autorité ne peut être contestée. Émergence: Se qui commence à apparaître. Émancipation: S'affranchir, acquérir de l'indépendance. Ostentation:

chronologique le plus pratiqué jusqu'ici, en reconnaissant cependant à Jean Amrouche le précurseur la place qui lui était injustement refusée jusqu'ici. Mais il voudrait souligner d'emblée l'arbitraire de ce découpage idéologique. Cette périodisation à partir de 1950 en effet est discutable, parce que liée à une lecture française qui ne voit encore le Maghreb qu'au prisme de la Guerre d'Algérie, écran finalement bien commode pour camoufler tant un passé colonial que l'ambiguïté actuelle des relations françaises

oppositions traitées sans nuance. Les candidats ont certainement lu qu’’il faut faire l’’introduction une fois le devoir terminé ; ce qui fait que les introductions sont le plus souvent composées de trois phrases qui résument le contenu des trois parties, mais sans lien logique, sans unité problématique, sans qu’’un enjeu clair apparaisse. Ces introductions sont souvent très fermement structurées et en même temps incompréhensibles (par absence de liens) et donc inutiles. Trop de copies, au motif d’’annoncer

l’école publique aujourd’hui1 par GEORGES LEROUX Département de philosophie, UQAM Le constat porté sur le civisme et l’incivilité dans l’école est aussi ancien que l’école elle-même. Platon se plaignait déjà du manque de discipline et une partie importante de la pédagogie traditionnelle s’est construite sur la nécessité de « tenir la classe ». On peut cependant suggérer que les petites turbulences d’autrefois sont sans commune mesure avec celles d’aujourd’hui, alors que cette problématique

elles sont des moyens, des armes dans le jeu de la manipulation ou elles sont jugées ridicules. Les émotions sont donc soit ridicules soit objet de tromperie. Se confondent alors l’émotion et la séduction (séduire c’est abuser, ne montrer que la partie attrayante). Dans Pensées II Stendhal écrit en note « les prétentions aux sentiments, moyen dont un homme froid et vaniteux se sert pour persuader au monde qu’il a une sensibilité extrême. Bon sujet de comédie, y réfléchir : l’homme à sentiments »

réel). Ce qui est ébranlé dans la reproduction d’une œuvre, c’est l’autorité de la chose, l’autorité c’est à dire sa matérialité, son aura nous dit Benjamin. Les procédés de reproduction comme la photographie où le cinéma font perdre à l’objet son authenticité et parviennent « à standardiser l’unique ». Ici encore par un mouvement de retournement tout à fait inattendu et presque facétieux, Duchamp prend Benjamin à contre-pied, se joue de cette théorie de la nostalgie, en faisant d’un objet standardisé

Devoir SemestrielLe cinéma indien et l’Occident Labiadh Maya Faculté des Sciences Historiques Licence 3 Semestre 1 Enseignant responsable: Séverine Antigone Marin Université de Strasbourg 2021-2022 1Sommaire Introduction 3 I. L’ambivalence : L’histoire du cinéma indien entre indépendance et dépendance 4 A. Les origines : du théâtre antique à l’arrivée du cinématographe 4 B. L’après-guerre ou l’éveil de l’industrie du cinéma indien 7 C. Du nouveau cinéma indien des années 50 à aujourd’hui 9 II. L’affirmation