Parti républicain du peuple

comme celle de Paris en 1889, où des « villages de nègres » ont été reconstitués sur le champ de Mars. On les retrouve également dans les spectacles, au cirque, dans la littérature enfantine (cf : romans de Jules Verne), dans la chanson populaire… A partir de 1889 et jusqu’à la fin de la IIIe République, l’exhibition du sauvage va devenir une attraction obligée de toute foire et de toute exposition coloniale. Les « villages nègres » se multiplient dans toute la France et la grande Exposition coloniale

facteurs principaux :  - le ralliement des ruraux à un régime capable, à leurs yeux, d'assurer l'ordre (dès les élections complémentaires de juillet 1871, les candidats républicains l'emportent massivement) ; - l'échec de la tentative contre-révolutionnaire du prince de Chambord ; - la nouvelle culture politique des républicains : depuis la fin du Second Empire, ils ont intégré libéralisme politique et démocratie (Ferry, Gambetta) ; ils font triompher le régime parlementaire face à la tentative

déformer la voix du peuple et que ce dernier, épris d’ordre et de paix, s’exprime de manière authentique par le biais du plébiscite. Napoléon 3 un empereur autoritaire Pour autant, Napoléon III ne gouverne pas avec le peuple. Favorable, dans son principe même, aux notables et aux grands capitalistes, sa politique ambiguë est menée en grande partie avec un personnel politique issu de l’opposition dynastique à la monarchie de Juillet (tel Eugène Rouher, avocat républicain qui compte parmi les

Histoire des Arts Brevet 2014 « Guernica », une œuvre monumentale L’Histoire du tableau : Créé en quelques semaines par Pablo Picasso, sur commande des républicains pour le pavillon Espagnol de l’Exposition universelle de Paris de 1937 (dédiée au progrès et à la paix), « Guernica » exprime la révolte du peintre espagnol. Cette immense toile monochrome est le symbole des horreurs de la guerre, inspiré du bombardement de la ville de Guernica, le 26 avril 1937, pendant la guerre d’Espagne,

arrive a ses fins assez rapidement, il n'en n'est pas de même pour établir une nouvelle Constitution. Il faut du temps, car il faut que le peuple élise une assemblée, et que les membre du gouvernement provisoire réalise cette tâche. Cette notion de « provisoire » est importante à comprendre car dans le cas de la seconde République, cette phase dura une grande partie de l'année 1848, contrairement a la stabilité politique que connaîtrons les années 1849, 1850 et 1851 . (« Du 24 Février 1848 au 4 Mai,

dernier avec la complicité du pape, a remis le pouvoir entre les mains du duc Alexandre de Médicis, issu d'une des vieilles familles de la cité. Le duc est jeune et mène une vie débauche. Il règne sur la ville par la terreur, ne tenant compte ni du peuple, ni des autres grandes familles de Florence. On le déteste, mais pas autant que son cousin, son âme damnée : Lorenzo de Médicis, méchamment surnommé Lorenzaccio. Acte I: Le 1° acte décrit la situation à Florence en 1537 : le duc Alexandre (qui

hérités de la Révolution Française de 1789. Divisée en plusieurs partis politiques, la III° République, outre les nombreux changements, va connaitre des crises importantes. Nous développerons ainsi trois parties retraçant l’histoire de Marianne au pouvoir : la Troisième République. Dans une première partie, nous montrerons que la troisième République est un héritage de la Révolution Française de 1789. Puis, dans une seconde partie, nous entamerons un état des lieux des principaux changements survenus

l'apport de la IIe République à l'histoire de France en trois temps : I- Les principes républicains A/ Le suffrage universel Sous la monarchie de Juillet, le suffrage était censitaire. Lorsque la République est proclamé en février 1848, l'on instaure immédiatement le suffrage universel masculin sans restriction à partir de 21 ans. La république se pose d'emblée comme celle qui veut donner le pouvoir au peuple, dans la lignée de la Révolution française. La fortune n'établit plus de privilèges quant

celle de l’ère Ferry. Cependant, il précise aussi les ruptures d’avec l’école des Républicains qui sont apparues au fil du temps et au gré des gouvernements, politiques et changements sociétaux successifs. Pour cela, il s’attarde tout d’abord sur l’école que les Ferry et les républicains ont construit, notamment en instaurant les valeurs d’une école primaire « gratuite, obligatoire et laïque », une école du peuple. Il s’agissait ici de laïciser le personnel dans le but d’unifier la nation, par la

pouvoir aliénant, mais que son absence entrainerait la désagrégation de la société. Ce point de vue correpondrait alors à estimer que l'ordre, la concorde est préferable aux libertés, ou au moins que la cohésion sociale implique le sacrifice d'une partie de nos libertés. De ce point de vue, l'Etat est haït mais est considéré comme indispensable et nécéssaire. Lois et liberté sont-ils incompatibles? Ne peut-on pas concevoir l'Etat comme une structure rendant possible l'exercice de la liberté