Parties Prenantes De La Société Générale

RSE : La responsabilité sociale (ou sociétale) des entreprises (RSE) est un concept dans lequel les entreprises intègrent les préoccupations sociales, environnementales, et économiques dans leurs activités et dans leurs interactions avec leurs parties prenantes sur une base volontaire). CHAPITRE I : APPROCHES ECONOMIQUES DE L’ENTREPRISE (L’entreprise comme organisation et comme acteur économique) En théorie économique, l’entreprise est considérée comme un agent au même titre que l’Etat, au ménage

comportements », selon le Directeur Général, M. Cheikh Tidiane Mbaye. Notre responsabilité sociale d'entreprise La responsabilité sociale d'entreprise (RSE) désigne la manière dont l'entreprise intègre les préoccupations sociales, environnementales et économiques dans ses activités et dans ses interactions avec les parties prenantes. Parce que Sonatel l'a très tôt compris, une stratégie RSE a été définie pour mieux répondre aux attentes de nos parties prenantes que sont les actionnaires, les clients

rares et coûteuses ; la technologie et le changements des attentes des consommateurs font de la transparence un fait de société et l'émergence de nouvelles économies crée de nouvelles opportunités pour les entreprises et un meilleur niveau de vie à travers le monde. Nous allons voir comment ces faits ont influencé le comportement des entreprises. Aujourd'hui, les parties prenantes de l'entreprise (ONG, clients, fournisseurs, investisseurs, actionnaires) ont élargie leur champ de considération. Elles

Parties prenantes et contre-pouvoir au sein de GDF SUEZ I) Analyse de la situation de l’entreprise  1. Identifier les parties prenantes, leurs intérêts et leurs moyens d’action. Les différentes parties prenantes citées dans ce texte sont : * L’Etat, qui s’est désengagé en 2004 car GDF est passée du statut d’entreprise publique en société anonyme. En se privatisant, l’Etat, qui était jusque-là le principal actionnaire, ne peut plus être garant car l’entreprise GDF se met au profit des actionnaires

p.20 p.21 p.25 Depuis l’émergence du concept de développement durable, le « métier » de manager semble s’être à la fois enrichi et complexifié. La sphère de responsabilité de l’Entreprise s’est en effet considérablement élargie, la Société lui demandant progressivement de réduire ou de compenser les impacts sociaux et environnementaux négatifs de ses activités. Dans un monde de plus en plus complexe, incertain et en mutation permanente, le manager peut parfois se sentir responsable

entre les dimensions économiques, sociales et environnementales du développement durable. Ce faisant, le discours de la GRI occulte les contradictions et conflits liées aux enjeux paradoxaux de ces dimensions et aux attentes différenciée des parties prenantes. L’article repose sur l’hypothèse selon laquelle les stratégies discursives de la GRI participent à l’instauration d’une vision mythifiée de la performance globale qui visent à masquer la dimension éminemment politique et socialement construite

ENTREPRISES RAPPORT FINAL APPLIQUÉ À GENERAL ELECTRIC Professeur suiveur : Stefan ASSEMAN « Pour General Electric, de solides principes en terme de gouvernement d’entreprise sont essentiels pour obtenir et conserver la confiance des investisseurs – et dépasser les objectifs de performance tout en agissant avec la plus entière intégrité. » - General Electric, communication interne 1 TABLE DES MATIERES 1. a. b. ACTEURS ET ORGANES DU GE CHEZ GENERAL ELECTRIC _____________________ 3 Le

(entrepreneur individuel ou actionnaires). C) La cohérence entre finalité et objectifs 1) Finalité et objectifs  La finalité correspond à la raison d’être de l’entreprise à sa mission, elle relève d’une orientation générale. (Ex. assurer la perennité de l’entreprise)  Pour faire fonctionner l’entreprise, il faut concrétiser la finalité dans des objectifs. Les objectifs sont des buts concrets à atteindre à moyen terme souvent qualifiés de stratégiques. Ils peuvent

Daniel Vitry. 3 INTRODUCTION Le gouvernement d’entreprise fait l’objet depuis longtemps de débats sur son champ de compétences. A-t-il pour mission la défense des intérêts des seuls actionnaires ou bien doit-il se soucier de toutes les parties prenantes de l’entreprise ? C’est par ce débat, qui a refait surface avec les scandales récents et les faillites d’un certain nombre d’entre elles, que s’ouvrent ces cahiers. Le Conseil d’administration étant au cœur du gouvernement d’entreprise, quelle

Dauphine Mener ce projet sur un sujet si riche et si vaste nous a demandé de nous appuyer sur des experts, de faire appel à des spécialistes, d’être entourés, mais a également fait appel à la patience, courage et soutien de nombreuses de nos parties prenantes. Nous tenons à remercier tous ceux qui nous ont aidé dans sa réalisation: Frédéric Wacheux et Fabien Blanchot (Co-Responsables du MBA Dauphine Management des Ressources Humaines) pour leurs conseils avisés, Cyrille de Montgolfier (DRH d’AXA France)