Pascal Pensées N 72

exact — car chacun cherche ses distractions où il lui plaît — qu’elle paraît telle, incontestablement, à un grand nombre d’hommes. Personnellement, d’aussi loin que je me souvienne, elle m’a toujours beau coup diverti. Comme tous les historiens, je pense. Sans quoi, pour quelles raisons auraient-ils choisi ce métier ? Aux yeux de quiconque n’est point un sot, en trois lettres, toutes les sciences sont intéressantes. Mais chaque savant n’en trouve guère qu’une dont la pratique l’amuse. La découvrir

exhaustives : la loi, l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) avec ses différentes classifications internationales, l’origine du mot et l’ONU. Les différentes définitions du mot « handicap » seront traitées dans la première partie. Lorsque l’on pense handicap, on imagine incapacité de se mouvoir, incapacité de parler, grave trouble auditif et problème de vision. Or le handicap ne recouvre pas uniquement des problèmes importants, mais concerne également des problèmes qui ne sont pas directement

Et l’on s’en réjouit. Mais il ne semble pas que ce soit la paix véritable ni dans les esprits, ni dans les cœurs, ni tout autour de nous. Le contraire de la guerre n’est pas forcément la paix. On le voit. Il ne s’agirait que d’une paix négative. Je pense qu’on reconnaîtrait la paix à son seul parfum, si elle était dans l’air vraiment. Henri Calet, Contre l’oubli, « Petite requête » (« Terre des hommes », 13 octobre 1945), p. 104. _________ TABLE DES MATIERES INTRODUCTION 3 I. La

nouvelles pratiques professionnelles auprès de personnes présentant une déficience intellectuelle Mémoire déposé en vue de l’obtention du Diplôme Supérieur en Travail Social D.S.T.S. Directeur de recherche : Monique Chauliac Présenté par : Pascale Monat-Gourbin LYON 2005 SOMMAIRE Avant-propos INTRODUCTION GENERALE p.2 PREMIERE PARTIE Chapitre 1 Vers une prise en charge humanisée et individualisée des personnes en situation de handicap 1.1.1.Du XVIIIème siècle à aujourd’hui

sur la perception du sponsor selon laquelle le préposé a délivré un revenu valorisant malgré les difficultés notoires que les sponsors rencontrent quant à l'évaluation des retombées tangibles de leur investissement » expliquent Francis Farrelly et Pascale Quester. Alors que l'Académie des sciences commerciales parle de « sponsorat, » l'arrêté du 24 janvier 1983 relatif à l'enrichissement du vocabulaire de l'audiovisuel et de la publicité recommande l'utilisation du terme « parrainage ». B.1.1. Nous

une recherche par mots clés BIOLOGIE BIOLOGIE CHANGEUX (J.-P.) - Entretien avec D. Eribon - Le Monde. - Paris : La Découverte, 1985. CHANGEUX (J.-P.) - L’Homme neuronal. - Paris : Fayard, 1983. CHANGEUX (Jean-Pierre), CONNES (Alain) - Matière à pensée. - Paris : Odile Jacob, 1989. CRICK (Francis) - Une vie à découvrir. De la double hélice à la mémoire. - Paris : Odile Jacob, 190. DANCHIN (A.) - L’Œuf et la poule. - Paris : Fayard, 1983. EDELMAN (Gerald) - Biogie de la conscience. Traduit de l’anglais

douaniers (1890) •la Conférence de La Haye sur le Droit International Privé (1893) •le Bureau International des Statistiques Commerciales (1913). 71 La Première Guerre Mondiale •Abandon de l tl -or ’a n é o •Déficits publics •Destructions massives. 72 36 La Traité de Versailles (1919) • Eclatement des Empires européens • Création de la SDN • rai dogns-tions C ét n ’ra i o a (Cour perma-nente de justice inter-nationale, Organisation internationale du travail) • Lourdes réparations imposées

moitiés du vicomte [page 120] - au vicomte «vivant et pourfendu» [page 18] répond la révélation : «Il avait été fendu en deux moitiés» [page 87] - à l’indication que Sébastienne est «envoyée aux pays des lépreux» [page 46] répond sa recherche [page 72] - à l’apologie de la réduction à une moitié que fait la mauvaise (page 59) répond celle que fait la bonne (page 89) - à la menace d’emprisonnement de Paméla au château [page 67] répond l’emprisonnement réel commis par ses parents [page 69] - au «Si

mettaient en cause l'identité historique du Christ, voire la foi chrétienne. Dans la préface à sa Vie de Jésus, Mauriac avoue qu'il fut durablement troublé par le modernisme, avant de se rendre compte de l'a priori contre le surnaturel de ce courant de pensée. Si, dans le cas du Sillon, la rupture n'empêcha pas que Mauriac prenne des attitudes politiques qui, pour lui, en prolongeaient l'esprit, avec le modernisme, en revanche, la rupture fut complète et sans compromis, au point que la préface à la deuxième

correspondance. Ce mépris ne peut cependant faire oublier la haute estime dans laquelle les siècles passés ont généralement tenu les citations. Montaigne, dans ses Essais, défend l’usage qu’il en fait avec une modestie qui n’a d’égale que la vigueur de sa pensée : « Car je sais faire dire aux autres ce que je ne puis si bien dire […] tantôt par faiblesse de mon langage, tantôt par faiblesse de mon sens. » Considérées comme indispensables à l’illustration et à l’ornement du discours, elles apparaissaient d’ailleurs