Pascal Rambert

dignité consiste donc en la pensée. C’est de là qu’il faut nous relever et non de l’espace et de la durée que nous ne saurions remplir. Travaillons donc à bien penser : Voilà le principe de la morale. » Blaise Pascal – Pensée 347 – édition Brunschvicg Dans cette « pensée 347 », Pascal souligne, une fois de plus, la double nature de l’homme, la faiblesse physique de sa dimension sensible et la grandeur intellectuelle de sa dimension intelligible. Cette conception de la condition humaine est présentée

« Pensées » de Blaise Pascal on été publiées inachevées après sa mort. Tous ces textes sont des textes relèvent de l'argumentation mais chaque auteur a employé une forme littéraire pour parler de la mort. Nous allons expliquer leur emploi et constater quelles sont leurs avantages et leurs limites. Au sein de ce corpus, nous pouvons remarquer qu'il est possible d'assembler les textes argumentatifs en deux groupes distincts. En effet, le texte de Montaigne et celui de Pascal sont des textes argumentatifs

L ‘existence d’un inconscient dans l’esprit humain remet en question la conceptiontraditionnelle de l’homme. Si l’inconscient existe, cela signifie qu’il y a une part de lui-même que l’homme ne contrôle pas et dont il n’a pas conscience. Ce qui aboutirait au constat suivant : l’homme peutavoir certaines pensées et accomplir certaines actions sans en être responsable. Alain, philosophe français du 20ème siècle, contemporain des découvertes de Freud s’oppose dans ce texte extrait desEléments de philosophie

fait de l'action conjointes des Jésuites et de la politique française, déclare comme hérétiques ou fausses, cinq propositions de Jansénius. A cette date le jansénisme fut sauvé de deux manières, d'abord par la tactique d'Antoine Arnauld et par Blaise Pascal. Néanmoins en 1657, le pouvoir tentait une dernière manoeuvre, en faisant prescrire, par l'assemblée du clergé, la signature, par tout ecclésiastique, d'un formulaire désavouant les thèses de l'Augustinus. Cette obligation fut confirmée par l'arrêt

force » soulignant que cette activité humanitaire est plus patriotique que les opérations militaires et coloniales. Maupassant va alors user d'une comparaison satirique pour opposer l'utilité de l'homme de guerre à celle du savant; il oppose Blaise Pascal le mathématicien-philosophe prétendument inventeur de la brouette et Sébastien Vauban célèbre architecte et concepteur de forteresses réputées imprenables et laisse (faussement) le lecteur apprécier la supériorité décisive du premier pour le bien-être

- Le sous-marin obéit à deux grands principes, le principe d'Archimède et le principe de Pascal qui s'appliquent à tout corps immergé. Le sous-marin peut avancer grâce à l'hélice et à des hydroplanes qui servent à contrôler le sous-marin dans l'eau. Pour plonger vite, il y a un grand compartiment qui se remplit d'eau et se vide de son eau remplacée par de l'air pour remonter à la surface. Le sous-marin est soumis à 2 forces : - l'une à son poids qui le fait plonger. - l'autre

pensée Paul Valéry émet sur Les Pensées de Blaise Pascal une critique très négative dans laquelle il dénonce l’ « horrible mélange de méthode et de stratagèmes », sa manière de combiner sentiments et syllogismes et ses promesses et menaces successives. On peut alors se demander si Pascal, dans ses Pensées, mêle en effet sciemment raisonnements logiques et convictions personnelles dans un but de persuasion. Nous verrons dans une première partie comment Pascal use à la fois d’arguments scientifiques et théologiques

nous pouvons donc nous poser la question suivante : Est-ce devant la mort que l’homme révèle toute son humanité ? Ainsi, deux grands axes de réponse sont possibles dépendamment de la façon dont nous faisons nos réflexions. D’un côté il y a Blaise Pascal qui pense qu’avec la mort, l’homme révèle sa nature humaine. Par contre, d’un tout autre point de vue, René Descartes apporte une idée beaucoup plus soutenue en affirmant que l’homme dévoile son véritable caractère s’il passe tout d’abord par la recherche

l’inaliénabilité inconditionnelle de l’autre, aboutissant ainsi au respect mutuel ; * Découverte de la vraie personnalité de l’autre et tolérance mutuelle. A travers la colère, l’homme perd le self contrôle et on découvre alors qui il est vraiment. Blaise pascal vient donc à propos quand il dit que ‘’l’homme n’est ni bête ni ange’’. V- Esquisse de solutions aux conflits conjugaux Chaque couple est unique et de ce fait, les solutions diffèrent d’un couple à l’autre. Ce ne sont là qu’une ébauche de solutions

XVIIe siècle d’origine grande bourgeoise, La Bruyère a marqué la littérature française de l’empreinte de l’unique ouvrage qu’il ait achevé et publié de son vivant, qui l’a propulsé au rang de moraliste, au même titre que Jean de La Fontaine, Blaise Pascal et le duc de La Rochefoucauld. Parus neuf fois de son vivant (la dernière édition datant de 1694), Les Caractères sont composés de seize chapitres où la peinture du monde qui l’entoure, organisée en grands thèmes, relève de l’observation à visée morale