Passage Tragique Dans Antigone

pers. du pluriel ils elles les leur se eux elles soi NB : En et y sont des pronoms adverbiaux (ou adverbes pronominaux). En remplace un nom non animé introduit par de. Y remplace un nom non animé introduit par à. ex: Antigone se souvient de son frère- Elle s’en souvient Antigone conduire Œdipe à Colonne- Elle l’y conduira On est un pronom personnel indéfini. ex: On a toujours besoin de croire en un idéal. Les pronoms réfléchis représentent le sujet d’un verbe pronominal. Ex : elle se lave

homme, transformant ainsi son existence ordinaire en destin tragique. Le personnage est condamné à mort lors d’un procès retentissant durant lequel il reste totalement muet. Camus explique avoir voulu rendre compte, à travers le destin tragique de Meursault, de l’absurdité de l’existence et de l’indifférence du monde à laquelle l’homme moderne est confronté, donnant ainsi un sens symbolique au parcours de son personnage. Notre passage est extrait de la deuxième partie du roman, qui estcentrée sur

Athènes lors des "Grandes Dionysies", festivités en l’honneur de  Dionysos. Les grandes Dionysies, organisées par l'état, étaient de grands concours de théâtre auxquels assistaient les citoyens, les femmes, les enfants ainsi que les étrangers de passage. Deux grands genres existaient alors - Les tragédies, drames dont les héros étaient des rois, des princes ou des personnages issus de la légende et de l’épopée ; - Et les comédies qui racontaient des histoires drôles, qui représentaient

pour le divertissement. En effet, il était utilisé pour les fêtes religieuses, celles du dieu Dionysos par exemple. La tragédie avait pour but la catharsis, la 'purgation des passions' sur les peuple. Les personnages tragique antiques tel que ''Bérénice'' de Racine ou encore ''Antigone'' de Sophocle, marquent tant les esprit des spectateurs et toute la peur et la pitié qu'ils ressentent pour eux, les rendent, selon Aristote, meilleurs, par le phénomène d'identification. Les farces, pendant le Moyen-Age

dans un coin, tremblant de fièvre et de peur. Je me demandais ce que pouvaient bien faire toutes ces femmes qui tournoyaient partout, couraient dans tous les sens, traînant de grands seaux de bois débordants d'eau bouillante qui m'éclaboussait au passage.                      I.            Compréhension : (10 points) 1)       Titre de l’œuvre   Auteur   Genre de roman   Époque des évènements          -Remplissez le tableau ci –dessus en vous référant à l’œuvre d’où le texte est tiré

l’esthétique et les thèmes abordés sont particulièrement novateurs par rapport aux classiques. I/ un héros tragique Hernani est pris dans un cercle infernal dont il ne peut sortir vivant. Il tente de convaincre Dona Sol qu’il n’est pas la bonne personne à aimer et que désormais il faut lui fuir pour échapper à la fatalité contre laquelle, lui, ne peut plus rien, tel le héros tragique. 1) La fatalité La mort, inéluctable pour Hernani devient donc une fatalité dans cet extrait. Le désespoir

Pseudo-Apollodore 2 et Athénée 3 y voient une punition pour Laïos, qui aurait enlevé et violé Chrysippe, le fils de Pélops ; le problème est que les textes qui semblent consacrés à cette histoire ont été perdus, et qu'aucun des textes épiques, lyriques ou tragiques que nous ayons gardés en intégralité ne le dit clairement. Toujours est-il que Laïos et Jocaste ont un fils, Œdipe. De peur que l’oracle ne s’accomplisse, ils font exposer le nouveau-né sur le mont Cithéron, après lui avoir fait percer les chevilles

Acquérir les principales notions d’analyse du texte théâtral ; •  • Apprendre à commenter un texte théâtral ;  la notion de genre (tragédie et comédie) de • Distinguer celle de registre (comique et tragique).  groupement de textes comiques • Un  groupement de textes tragiques • Un  cursive : Jean Racine, • Lecture Britannicus (1669) Objet d’étude La tragédie et la comédie au XVIIe siècle : le classicisme Présentation de la séquence Présentation des objectifs Avant de

doit s'effectuer entre le lever et le coucher du soleil. L'unité de lieu : toute l'action représentée se déroule dans un même lieu. Les personnages se croisent ainsi tous au même endroit. Souvent, dans la tragédie classique, il s'agit d'un lieu de passage (corridor, antichambre, etc.). L'unité d'action : afin de simplifier la compréhension de la pièce par le spectateur, il n'existe qu'un seul vrai problème. Phèdre de Jean Racine respecte parfaitement les trois unités : L'action commence au petit matin

amoureuses, sans prêter attention à la pièce. « Chacun causait de ses affaires, de ses amours, de ses plaisirs, du carnaval qui s'ouvrait le lendemain de la semaine sainte prochaine, sans faire attention ni aux acteurs, ni à la pièce. ». Pour ce passage, Dumas s'est inspiré des mœurs de son époque et, bien qu'il s'agisse d'un extrême et que les choses aient évolué depuis le 19e siècle, on voit bien que le théâtre peut parfois servir de scène sociale et que la représentation des passions peut y être