Passage Tragique Dans Antigone

cassure : « Le ∆t vous sert à conquérir le pouvoir et à la garder ! ». ∆t positif et c’est tout, ce qui est marqué dans le Code. Savoir si c’est juste ou pas, c’est le travail des philosophes. Faut-il obéir à une loi injuste ? • Oui : Socrate • Non : Antigone Le fondement est la volonté de Dieu, les exigences de la nature, de la raison, du respect d’un « contrat social », du respect d'une procédure ? Thémis = « ce qui est déjà posé, déjà établi par les dieux » Dikè = « ce qui se constate et se

chacun des fonctions dans la Cité. C’est le début d’une définition fonctionnelle et de la qualité de citoyen, de membre d’une Cité. Or ce qui permet le passage à la légalité, c’est la généralisation de l‘écriture , qui a joué un rôle décisif dans l’élaboration et dans la stabilisation de ces règles communes. Il y a à ce sujet un passage assez difficile à interpréter des Lois de Platon dans le Livre III dans lequel il semble expliquer que les Lois étaient plus ou moins obscures et arbitraires

appelées ainsi parce qu’elles emprunte à Omettre le mètre et la langue. Hesiode : même mètre et même langue qu’Homère. On connaît d’ailleurs une Joute poétique d’Homère et Hésiode : Jeu lit. Dans lequel les deux poètes récitent les plus beaux passages de leur œuvre. Cependant, deux univers poétiques très différents. Hésiode : absence du plaisir à narrer des aventures : la poésie d’Hésiode codifie des traditions (mythologiques ou agricoles). Evocation du monde paysan de la Béotie :la Théogonie

qu’il lisait des œuvres classiques depuis son plus jeune âge : les classiques grecs, Rabelais, Shakespeare, Cervantès, Molière, Lessing, Goethe, ainsi que d’autres auteurs dans les domaines de l’histoire générale et de la philosophie. Notons au passage que sa bibliothèque était constituée de livres écrits en diverses langues : allemand, anglais, français, italien, espagnol, latin et grec. Sa bibliothèque, en ce qui concerne ces domaines, comporte des ouvrages qui sont, aujourd’hui encore, considérés

côtés des Blancs. Le héros du second roman est un vieil homme qui a voué sa vie aux Blancs et se rend en ville pour recevoir une médaille le jour du quatorze juillet. Après la cérémonie il découvre le vrai visage du pouvoir colonial. Le dénouement tragique du roman sera évité du fait de l’enracinement du vieux Meka dans son village, en marge du pouvoir blanc. A l’aliénation culturelle, à l’oppression politique, à la violence raciste, s’ajoute l’exploitation économique dans les romans de Mongo Béti

le réel, même en l'embellissant, et inversement ceux qui stylisent le réel, le métamorphosent parce qu'ils sont déçus par la réalité ou parce qu'ils créent au nom de quelque chose qui les dépasse. C'est ce dernier style que défend Malraux : style tragique ou religieux qui détruit le réel pour en faire jaillir le sacré. A la fin de sa vie, Malraux s'oriente vers un genre nouveau : l'autobiographie. C'est ainsi qu'il compose une véritable épopée du siècle, formant un curieux pot-pourri de choses vues

que ce minerai est un «gisement musculaire» et que ces muscles qui travaillent produisent une sueur qui est, comme pour Rimbaud, une « rosée». Les allusions aux «pirates» et aux «flibustiers» sont tout à fait justifiées dans le cas des Antilles. Le passage, du «minerai» à la « chair » puis à «Ia végétation», suit le même processus que précédemment. Au vers 36, selon une de ces ambiguïtés auxquelles se plaît la poésie, on peut lire «végétation de clarté » qui est «riche», ou «végétation» qui est «riche

CNED SECONDE – FRANÇAIS 13 SÉQUENCE 1 ᕢ Comment la nature vous apparaît-elle dans ce passage ? ᕣ Quel caractère de Mateo Falcone se dessine dans cet extrait ? ᕤ Selon vous, la narration à la première personne augmente-t-elle ou diminue- t-elle le réalisme de la situation ? Lecture analytique : Le Cousin Pons Activité n°4 – Observation Avez-vous bien lu ? Dans ce passage, quatre personnages sont présents, deux sont évoqués. Par quel nom, surnom ou expression les personnages

enclos dans une image qui est celle du taureau. Au départ le prêtre fait le sacrifice du taureau puis à la fin du texte, le prêtre devient un taureau, il est comparé à un taureau qui fuit l’endroit du sacrifice. Il est offert lui même en sacrifice. Le passage est enclos dans cette double image de violence : une violence rituelle acceptée au départ et une violence rituelle de la fin. Le côté pathétique de la scène vient de la famille, de l’image du père et de ses enfants. Une sorte de signification familiale

presse et de l'édition. On entre dans l'ère de la culture et de l'éducation de masse. Le marché du livre s'accroît considérablement. Dans ces conditions, l'écrivain est amené à se faire connaître à travers les médias. S'il refuse de se plier à ce passage obligé de la reconnaissance publique, comme par exemple Samuel Beckett ou Julien Gracq, il se condamne lui-même à créer une œuvre réservée à une élite. La position des écrivains par rapport aux transformations politiques est donc capitale. Dès