Passions

Dissertation de Philosophie : Le terme « passions » de l’étymologie « patior » voulant dire souffrir, supporter, donc passion signifie la passivité de l'individu. La passivité de l’individu dans le sens ou la volonté n’est pas maîtresse. On peut par exemple dire que boire de l’alcool n’est plus un plaisir mais une souffrance, une addiction. Donc la passion marquerait le moment ou un désir ponctuel et capable. Pourtant, dans le monde contemporain, la passion est jugée favorablement. Avec par exemple

singulièrement « Rien de grand ne s’est fait sans passion ». Cet essai philosophique de Hegel va viser à associer la passion à l’Homme dans tout son indivisualisme. A travers ces promos, Hegel nous expose une double thèse riche de sens et de raisonnement. En effet, celles-ci sont reprises clairement en début et en fin de texte par les expressions : «que rien de grand ne s’est accompli dans le monde sans passion» à laquelle il a su associer «La passion c’est tout d’abord le côté subjectif, en ce sens

A3.170 Quel usage l’être humain doit-il faire de ses passions?Tout d’abord c’est quoi la passion? La passion est une émotion assez puissante pour dominer la vie mentale. Quand on pense au mot passion, plusieurs d’entre nous pense directement à l’amour ou à autre chose, mais la passion peut aussi être la joie, la haine, la colère et etc.

leur nature de le faire. Cela nous amène à nous poser une question. L’être humain est-il un être de raison ou de passion ? Pour traiter ce sujet, on dira que l’homme est un être de raison par le fait même qu’il peut se contrôler et ne pas céder à la passion mais, il pourrait également être un être de passion si la raison et la logique devient une obsession au point de devenir une passion et surtout si l’on analyse la nature humaine. Je m’appuierai sur deux philosophes, Descartes et Hume. Pour

leurs passions ?La passion se défini comme une émotion exacerbée qu’une personne peut ressentir pour une autre ou pour un objet. Cette émotion occupe alors toutes ses pensées et il semble impossible de s’en détacher, créant quelque fois une forme de dépendance. Ainsi, du fait de la nature parfois incontrôlable des passions, je m’interrogerai sur la question suivante : Comment les personnages littéraires sont transformés par leurs passions ?Pour se faire, d’abord je m’intéresserai aux passions en tant

est un « être esclave de ses passions », Kant va jusqu’à dire que la passion est « la maladie de l’âme ». Il n’est pas rare d’entendre qu’une personne est « aveuglée par ses passions », pour preuve : la passion amoureuse. Ces maximes prônent donc la passion comme simple exaltation, comme un non contrôle de soi, mais les passions ne révèlent-elles pas une ressource intarissable d’énergie et de volonté durable ? Ne peut-on que dissocier sagesse et passion ? Toute passion n’est-elle que néfaste ? Ainsi

La passion est une source de bien comme de mal Deux êtres dominés par la passion : Les deux portraits ( ceux de therese et de mme Numance) esquissés mettent en scène une prédominance de la passion. Ces deux passions differentes par leur natures ( pour Therese : " jouir de la libre pratique de la souvrainté ", pour mme Numance "donner sans mesure") se caractérisent cependant toutes les deux par leur violence et par l'étendue de leur empire L'absolutisme et l'excés c'est ce qui selon Giono

souffrance du désir soit exacerbée ? La passion semble jouer un rôle central ici. En effet, cette passion est un désir dominant, exclusif et assez puissant pour envahir tout notre esprit et polariser une existence sur un seul objet. Mais, pourquoi est-elle liée à cette notion de souffrance du désir ? En réalité, ce mal être se définit par l'épreuve de l'impossible satisfaction des désirs qui conduit l'homme à un état de pénibilité, de tourment. En fait, la passion du désir engendre plaisir, c'est-à-dire

alors on en vient a se demander, comment est-il possible de réussir a assouvir ses passions alors que nous sommes sans cesse tiraillés entre raison et besoin, désir d'assouvir nos passions ? Mais le respect que nous apportons à autrui ne nous sert-il pas a accéder à la satisfaction de ces désirs, de ces passions ? Finalement nous en venons donc a poser la question suivante : le respect d'autrui exclut-il toute passion ou c'est justement le respect que l'on montre à l'egard de cet autrui qui nous permet

Bac – Individu, morale et socie – Explication linéaireLa passion de la princesse – p 75 : « Mme de Clèves entendait aisément… jamais aucune marque. »Présentation du texte :La Princesse de Clèves de Mme de La Fayette, 1678, Mouvement littéraire : roman classiqueParcours associé : Individu, morale et sociétéDébut deuxième partie :Mme de Chartres est morte > PC partie à la campagne pour son deuil et afin de fuir de Nemours. Se croit guérie de son amour quand elle revient, mais