Pasteurs Et Troupeaux De Hugo

Laurent Etiennne & Cardi Mathilda 1ES1 Petit recueil de poèmes illustrés et tirés des « Contemplations » ( Victor Hugo – 1856 ) PREFACE Hugo peut paraître effrayant pour un élève de collège pas très attiré par la littérature du 19e siècle, pourtant il s'avère que Hugo exprime avec une grande simplicité les sentiments qu'y le traverse ou le traversèrent. Le rendant compréhensible à la fois d'un public adepte de poésie mais aussi de personnes la découvrant. C'est pourquoi dans ce recueil

si longtemps en équilibre avec leurs écosystèmes. On peut se demander si leur destin n’est pas l’avant-garde de celui de l’humanité… Il conviendra de différencier trois grandes catégories de nomades: les chasseurs-cueilleurs ou collecteurs, les pasteurs nomades et les nomades de la mer. Nous aborderons de nombreux aspects de leurs cultures tel que l’habitat, les parcours, la religion, la musique, les vêtements, les outils et techniques, la vision du monde moderne ou la conception de la famille…

plaie écrite dans le coeur. Nous partîmes tous deux du hameau de Coutures; Nous passâmes Gastine et ses hautes verdures, Nous passâmes Marré, et vîmes à mi-jour Du pasteur Phelippot s'élever la grand tour Qui de Beaumont-la-Ronce honore le village Comme un pin fait honneur aux arbres d'un bocage. Ce pasteur, qu'on nommait Phelippot, tout gaillard, Chez lui nous festoya jusques au soir bien tard. De là vînmes coucher au gué de Lengerie, Sous les saules plantés le long d'une

Victor HUGO (1802-1885) 1er janvier A André Chénier A celle qui est restée en France A celle qui est voilée A ceux qu'on foule aux pieds A ceux qui sont petits A des âmes envolées A des oiseaux envolés A dona Rosita Rosa A Granville, en 1836 A Jeanne A l'Arc de triomphe A l'enfant malade pendant le siège A la belle impérieuse A la fenêtre, pendant la nuit A la France A la mère de l'enfant mort A M. Froment Meurice A ma fille A ma fille Adèle A Madame D. G. de G. A mademoiselle Louise B. A Mlle Fanny

Convictions religieuses Selon Alain Decaux[142], Victor Hugo, élevé par un père franc-maçon et une mère qui n'est jamais entrée dans une église se construit une foi profonde mais personnelle. Victor Hugo n'a jamais été baptisé, a tenté l'expérience d'un confesseur mais finit sa vie en refusant l'oraison des églises. Il reproche à l'Église le carcan dans laquelle celle-ci enferme la foi. Alain Decaux cite[142], à ce sujet, cette phrase prononcée par Olympio: « Les dogmes et les pratiques sont des

propager le savoir à tous. J'ai choisi cette élégie car le vocabulaire festif et amoureux est assez entraînant et rend le poème riche. Le prochain poème est très court puisqu'il s'agit de deux quintils à rimes croisées, c'est « A une femme » de Victor HUGO. Ce poème écrit au XIX ème siècle est très romantique notamment car le poète faisait partie du mouvement littéraire du romantisme. Ce poème malgré sa petite taille est très complet, le poète exprime l'amour passionnel qu'il ressent pour sa femme puisqu'il

en guise d'exemple les célèbres rejets de l'Aveugle d'André Chénier : C'est ainsi qu'achevait l'aveugle en soupirant, Et près des bois marchait, faible, et sur une pierre S'asseyait. Trois pasteurs, enfants de cette terre, Le suivaient, accourus aux abois turbulents Des molosses, gardiens de leurs troupeaux bêlants. LE SONNET Le sonnet est d'origine italienne, et Pétrarque le mit en honneur en son pays. C'est un poème de quatorze vers, formé de deux quatrains et de deux tercets. Les huit vers des

vraysemblable que ces premiers pasteurs s’aviserent, dans la tranquillité et l’oisiveté dont ils joüissoient, de chanter leurs plaisirs et leurs amours, et il estoit naturel qu’il fissent souvent entrer dans leurs chansons, leurs troupeaux, les bois, les fontaines, et tous les objets qui leur estoient les plus familiers. Ils vivoient à leur maniere dans une grande opulence, ils n’avoient personne au dessus de leur teste, ils estoient, pour ainsi dire, les rois de leurs troupeaux, et je ne doute pas qu’une

comptoirlitteraire.com www.comptoirlitteraire.com Andr Durand prsente Les contemplations (1856) recueil de Victor HUGO pour lequel on trouveici une prsentation gnrale puis successivement les analyses de Vere novo (page 2) Melancholia deuxime pisode (page 3) sixime pisode (page 5) souvenirs printemps aurore (page 8) Demain ds laube (page 10) Jai cueilli cette fleur (page 13) Bonne lecture Ces pomes, que Hugo fit paratre Paris et Bruxelles et dont la composition commena ds 1834 et stala sur prs de vingt

www.comptoirlitteraire.com André Durand présente ‘’Les contemplations’’ (1856) recueil de Victor HUGO pour lequel on trouve ici une présentation générale puis successivement les analyses de : ‘’Vere novo’’ (page 2) ‘’Melancholia’’ : deuxième épisode (page 3) sixième épisode (page 5) ‘’Ô souvenirs ! printemps ! aurore !’’ (page 8) ‘’Demain