Pater familias

es el caso de Raskolnikov, protagonista de Crimen y Castigo. Por la ausencia del padre, Raskolnikov se identifica como figua masculina de su familia. Su identidad estaba basada en el tener; al principio de la obra, se nos presenta a un personaje conflictuado por su estado económico y queriendo pero no pudiendo hacerse cargo de una posición de pater-familias. Su identificación es conflictiva y patológica: la idealización que su inconsciente hace de la figura ausente paterna y masculina es inalcanzable

publiée dans Transmission entre les générations, table ronde, mercredi 9 octobre 2002, Théâtre Jeune public, 2002. « Le père est mort » rappelle Françoise Hurstel (1). Ce qui est mort est une forme de paternité millénaire : selon la psychologue, le pater familias est clairement en destitution progressive depuis la deuxième guerre mondiale. Et cette révolution a bien sûr des répercussions sur la transmission familiale. Pourquoi faut-il transmettre ? Pour que les enfants des hommes deviennent des humains

par ceci se montre en définitif être le mariage. B L’égalité entre l’homme et la femme La famille va alors subir une certaine mutation à travers la notion d’égalité entre l’homme et la femme. Durant l’Antiquité c’était le pater familias qui régissait la famille sans quelconques contestations. Avec l’ancien droit, c’est surtout le lignage et la richesse qui prévalent, donnant alors plus de pouvoir sur le foyer selon que la personne appartienne à telle ou telle lignée, ou possède

supra fidem et mira. Quidni? Nam et propterea magnum miraculum et admirandum profecto animal iure homo et dicitur et existimatur. Sed quaenam ea sit audite, Patres, et benignis auribus pro vestra humanitate hanc mihi operam condonate. Iam summus Pater architectus Deus hanc quam videmus mundanam domum, divinitatis templum augustissimum, archanae legibus sapientiae fabrefecerat. Supercaelestem regionem mentibus decorarat; aethereos globos aeternis animis vegetarat; excrementarias ac feculentas inferioris

Rome. Les Gentes ont a leur tête le père de famille : le pater familia, cette Gens ne rassemblait pas que les personnes du même sang, il se forme par : - les parents par le sang (père, fils, mère et les épouses de fils et leurs filles) - Les esclaves : qui travail la terre de la famille et gère la maison - Les clients : il travail aussi pour le pater familias : esclave libre. Une gens compte un très grand nombre de

notre époque : 1. Son statut patrimonial : Etat citoyen romain, le clerc est soumit aux règles communes, donc en vertu de vielles traditions qui remontaient à l’époque de la famille patriarcale, aussi longtemps que vit le chef de famille (le pater familias, cela peut être le père, le grand-père ou l’arrière grand-père), ses descendants restent sous son autorité et n’ont pas la possibilité d’avoir un patrimoine propre. Mais la constitution de Léon de 472 attribue aux clercs de la foi « Orthodoxe

la grande industrie est minoritaire. Ses salariés sont victimes du paupérisme, les patrons exercent un pouvoir sans partage avec les ouvriers. Mais dvp du patronage industriel dans la seconde moitié du siècle. Le patron devient la figure du pater familias : autorité absolue, mais services sociaux, santé, éducation, loisirs, logement... (Schneider au Creusot). Permet de conserver les ouvriers qualifiés. Mais contexte particulier (pas d’assurance sociale...), donc ne survit pas. Le régime professionnel

trois divinités majeures que sont Jupiter, Mars, et Quirinus. Pour les romains ces dieux sont vivants, ils représentent quelque chose. Jupiter est l’équivalent de Zeus en Grèce, c’est le dieu du commandement, de la souveraineté, des dieux. « Jus » « pater » : le droit et le père, il est le père fondateur juridique de la cité. Ce dieu symbolise la fonction sociale de commandement, c’est donc la fonction sacrée car à Rome, les premiers rois et ensuite quelques magistrats, sont rois pontifes : ils exercent

sociétés humaines est, pour les théoriciens politiques, la famille. La famille est l’élément constitutif de toute société. A la tête de la famille, il y a le père, le pater familias, c’est sur lui que repose toute autorité, il est le fondement de l’autorité politique : le Souverain est père de son peuple à l’image du pater familias. Victorine dépend de l’autorité de son père et de lui dépend son malheur ou son bonheur. Or ce père « croyait avoir des raisons de ne pas la reconnaître », faut-il comprendre

déroulement de l’instance. B- La remise en cause de la structure de la famille légitime Les changements intervenus dans le cadre familial ont également affecté sa structure. Dans sa conception initiale, la famille était organisée autour du pater familias assisté de la mère et autour de qui gravitaient les enfants avec qui il existait des liens de filiation déterminés, basées soit sur des liens de sang, soit sur des liens d’affection. Aujourd’hui, non seulement la famille, devenue à géométrie variable