Pathétique Les Misérables Victor Hugo

chevaliers de la Table Ronde où il développe une histoire d'amour et une quête. Le lecteur s'évade en s'imaginant à la place du héros, qui est très idéalisé. Il y a un côté magique et un amour extraordinaire. Puis apparaît le mouvement baroque où le pathétique siège. Il fait changer au lecteur sa vision du monde. De ce fait, l'Astrée d'Urfé couvre le sentiment d'instabilité qui hante les consciences à l'époque d'incertitudes politiques au XVI ème et XVII ème siècle. Le roman classique, opposé au baroque

caractérise par l’expression des tourments du cœur et de l'âme. VH, écrivain du XIX,connu pour ses romans tels que “les misérables” est le chef de fil de ce mouvement. C’est un homme de très grande renommée et influence : intellectuel engagé, politicien, poète, romancier, dramaturge, il a marqué son siècle par ses engagements et sa production littéraire. "Notre-Dame de Paris”, de Victor Hugo, se déroule en 1482, mais a été publié en 1831.L'histoire se déroule à Paris et suit le perso d’Esmeralda, une bohémienne

plutôt endormie. Le Romantisme commence à être plus importante, plus d’auteurs et œuvres apparaissent. Victor Hugo présente sa pièce Hernani, une pièce un peu révolutionnaire qui ne respecte pas trop les règles classiques adoptés dans le classicisme à l’époque de Louis XIV, et qui fait une synthèse de l’esprit du romantisme. On pouvait trouvait des auteurs comme Balzac et Stendhal pour le roman, Hugo et Lamartine pour la poésie, Géricault et Delacroix pour la peinture et Berlioz pour la musique.

pouvoir absolu de Charles X, la bourgeoisie et ses privilèges, et de libérer l’esprit créatif, de laisser la place à l’imagination et à la sensibilité dans la littérature, l’art, la musique. Il faut « tordre le cou à ce grand niais d’alexandrin » Hugo La valeur de l’individu et l’exaltation du moi Le malaise romantique s’exprime par le besoin d’affirmer son « moi » et sa subjectivité. Il y a une prise de conscience de l’incompatibilité entre l’être et son environnement social, prise de conscience

(1927) : « Tel nom lu dans un livre autrefois, contient entre ses syllabes le vent rapide et le soleil brillant qu’il faisait quand nous le lisions. De sorte que la littérature qui se contente de « décrire les choses », d’en donner seulement un misérable relevé de lignes et de surfaces, est celle qui, tout en s’appelant réaliste, est la plus éloignée de la réalité, celle qui nous appauvrit et nous attriste le plus ». Georges Duhamel, Les Maîtres (1937) : « Le romancier est l’historien du présent

endormie. Le Romantisme commence à être plus importante, plus d’auteurs et œuvres apparaissent. Victor Hugo présente sa pièce Hernani, une pièce un peu révolutionnaire qui ne respecte pas trop les règles classiques adoptés dans le classicisme à l’époque de Louis XIV, et qui fait une synthèse de l’esprit du romantisme. On pouvait 6 trouvait des auteurs comme Balzac et Stendhal pour le roman, Hugo et Lamartine pour la poésie, Géricault et Delacroix pour la peinture et Berlioz pour la musique.

Fiche de lecture : Victor Hugo, Hernani (1830) I) Fortune du genre à l’époque de l’œuvre Durant l’Ancien Régime, le « privilège » permettait au roi d’accorder ou non à un libraire ou imprimeur le droit d’illustrer son règne par des œuvres qui répondaient à un certain nombre de règles. Le domaine du théâtre se partage à cette époque entre les théâtres royaux, autorisés, officiels et subventionnés et les autres non officiels et interdits en principe. La Révolution avec la loi « Le Chapelier

du jeudi 12 mars, « Le Figaro » propose une collection exceptionnelle dirigée par Jean d’Ormesson. Tous les quinze jours, celui-ci vous fait découvrir les plus beaux chefs-d’œuvre de la littérature française : Maupassant, La Fontaine mais aussi Victor Hugo, Alexandre Dumas ou Maurice Leblanc. PAR Étienne de Montety Ouvrons les livres DISONS le tout net : la littérature est la meilleure amie de l’homme. Qui ne lui doit quelques-uns des plus savoureux moments de son existence ? Nous avons deux

15/01/1622 ; Mort à Paris le 17/02/1673 Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière, a marqué l’histoire du théâtre et de la comédie française. Auteur le plus joué encore à l’heure d’aujourd’hui, Molière s’est distingué par des pièces qui mêlent le comique, le pathétique et la critique. Il faisait du rire une arme pour combattre les mœurs et les contraintes de son époque. Fils d’un tapissier, il renonce à reprendre l’affaire familiale qui le destinait à une vie bourgeoise et se tourne vers le théâtre. Il fonde en

d’auteurs différents. Le premier est de Mirabeau et est un discours sur la liberté de presse, prononcé le 10 mai 1789. Le second est un extrait des Mémoires d’outre-tombe de Chateaubriand, œuvre posthume de 1848. Le troisième est un autre discours, de Victor Hugo à l’Assemblée Nationale à la séance du lundi 11 septembre 1848. Le dernier texte est d’Albert Camus, Combat, > 31 août 1944. Tous ces textes parlent de la presse et chaque auteur défend ses idées. Nous allons trouver les moyens rhétoriques qu’emploient