Patient

introduit que parler d'intimité dans les soins sont souvent tabous dans le milieu de la santé. En effet le contact avec le patient peut être redouté par les soignants lors de différents soins, comme la toilette qui oblige les soignants à rentrer dans l'intimité du malade. Hors, celui-ci doit apprendre à maîtriser ses craintes. Le premier contact entre le soignant et le patient est inégal, en effet ses deux personnalités sont différentes. Le soignant a choisi de côtoyer quotidiennement des malades

13 Novembre 2012 Type de document | Etude comparative des besoins des patients transplantés ou en attente d’une transplantation d’organes et des représentations que ce font les infirmières de ces besoins | /Auteurs | Ch Baert ;N Cocula ;J Derlan ;E Faubel ;C Foucault ;V Martins, CHU de Toulouse ;Soignants, Membres de l’ARSI/La Direction de la recherche clinique du CHU de Toulouse a contribué à la mise en place de cette étude. En effet ,depuis plusieurs années, la Direction des soins du CHU

aides-soignants (même roulements). Les patients sont hospitalisés pour une durée qui peut aller de deux jours à plusieurs semaines en fonction de leurs pathologies ou de leur état de santé. Dans ce contexte, ma situation concerne Me L, une patiente de 47 ans hospitalisée depuis 6 jours (au moment de cette situation), pour des épisodes de diarrhées associés à une perte de poids (- 10 kg en deux semaines) ainsi qu’une mycose œsophagienne et buccale. C’est une patiente connue du service car suivie pour

prise de poids, la patiente va jusqu'à ne pas prendre ses médicaments pour ne pas prendre de poids Elimination Personne continente et va à la selle régulièrement. Activité, exercice Participe volontiers aux petites activités mise en place dans le service (ping pong, jeux de société..). Dit s’ennuyer à l’hôpital, ne va pas pour le moment aux activités proposées au sein du bâtiment. Fume occasionnellement. Dit casser des verres lorsqu’elle est énervée. Sommeil, repos La patiente dit ne pas toujours

LES MEDIATIONS Pascale LOSSEL Dans les années 1950, certains patients hospitalisés en psychiatrie sont occupés à la ferme, la buanderie, légumerie et lingerie de l hôpital . Dans les pavillons ( ancienne nomination des services actuels) des activités occupationnelles sont proposées par les infirmiers : raphia, couture, pliage du linge, rouler les compresses ect . Peu à peu divers ateliers plus spécifiques se développent : menuiserie, repassage, vannerie, imprimerie, vie quotidienne Ces

lui demande des informations g)Un professionnel pour assurer la continuité des soins h)Répondre à la personne de confiance en cas de refus de soins par le patient i)Déclaration de maladie obligatoire 5)Le secret professionnel : a)Est absolu b)Ne peut être opposé au patient qui demande des informations c)Peut être opposé au patient qui demande des informations d)Couvre les informations médicales e)Couvre ce qui est confiés, vu, lu, entendu, constaté ou compris sur le lieu de travail

toilette le patient se confie au soignant. Ces soins d’hygiène favorisent le rôle protecteur et sécréteur de la peau et permet aux soignants de détecter tous problèmes, comme par exemple l’apparition d’altération de l’état cutané pour le physique ou de début de dépression pour le moral. Les différents acteurs de la toilette sont le patient, l’aide-soignante, l’infirmière qui confie le soin à l’aide-soignante et l’agent. Ceci peut être considéré comme un glissement de tâche. Le patient est la personne

ans. En 1986, lors d'un déjeuner amical avec François Mitterrand, celui-ci lui propose d'intégrer la première équipe de soins palliatifs en Europe continentale. Elle accepte cette proposition et commence l'accompagnement de la fin de vie avec ses patients. D'ailleurs dans sa préface, François Mitterrand nous parle du chemin qu'à fait Marie en écrivant ce livre: « Tel peut-être le plus bel enseignement de ce livre: la mort peut faire qu'un être devienne ce qu'il était appelé à devenir; elle peut être

dans le soin des malades en fin de vie. Un équilibre est aussi recherché entre le fait d'éviter des souffrances jugées inutiles à un patient qu'on estime voué à la mort, et celui de le maintenir en vie. Selon la réglementation française, la mort donnée à un patient, est considérée comme un homicide, quels que soient son état et sa volonté. Ne pas traiter un patient est assimilé à un acte de « non assistance à personne en danger ». Le Code de Santé Publique dit qu'il y a tout de même la possibilité

I. Introduction : Présentation de la patiente Mlle H est une patiente de 26 ans, célibataire et sans enfants. Elle est admise dans mon service le 10 décembre après un séjour au centre hospitalier dans un service de chirurgie viscérale. Elle fut admise suite à un accident sur la voie publique vers le milieu du mois de novembre 2009 qui a engendré un certain nombre de conséquences. En effet, Mlle H est plâtrée au deux avant-bras suite à de multiples fractures des radius, elle a également un