Patriarche de Constantinople

 Halphen. Table des matières Chapitre premier L’Église et l’Empire dans la seconde moitié du XVe siècle [1] Pendant la période qui s’écoule entre la fin de la guerre de Cent Ans et le prélude des guerres d’Italie, entre la prise de Constantinople par les Ottomans et le premier voyage de Colomb, entre la défaite des conciles et l’avènement d’Alexandre VI, le monde occidental semblé chercher un équilibre nouveau. Mais nulle part les problèmes que pose cet effort n’apparaissent plus pressants

.....................................................................................................4 a) Voltaire aux Délices (1755-1760)...................................................................................................4 b) Le patriarche de Ferney (1760-1772) .............................................................................................5 c) Les dernières années (1772-1778) ...........................................................................................

la ville jusqu’au 5 ème siècle. Au Vème siècle l'impératrice Eudoxie vient s'installer à Jérusalem et la ville s'agrandit considérablement. Elle fait construire la basilique St Etienne. Jérusalem devient un patriarcat au même titre que Rome, Constantinople, Antioche, et Alexandrie. 614 : Les perses sassanides de l'empereur Chosroès II prennent Jérusalem, centre de pèlerinage chrétien, et s'emparent de la relique de la "Vraie Croix". 35 000 habitants seront vendus comme esclaves et les églises

et proposé une thématique figurative en fonction de la spécificité du gothique. Tel est le cas de la sculpture. À l'époque romane, les premiers "imagiers" s'étaient appliqués à copier des modèles byzantins : ruines romanes, ivoires, joyaux de Constantinople ou de l'Extrême-Orient. Les figures de Saint-Trophime d'Arles rappellent celles des sarcophages gallo-romains. Les décorations du cloître de Moissac ont imité tant bien que mal des scènes byzantines. Partout, jusqu'au XIe siècle inclusivement

tient en un seul mot: la peur. Toute violence, ici, est fille de la peur. Notre foi est assaillie de toutes parts, par les Karmates de Bahrein, les imamiens de Kom, qui attendent l'heure de la revanche, les soixante-douze sectes, les Rourn de Constantinople, les infidèles de toutes dénominations, et surtout les Ismaéliens d'Égypte, dont les adeptes sont foule jusqu'en plein coeur de Baghdad, et même ici à Samarcande. N'oublie jamais ce que sont nos villes d'islam, La Mecque, Médine, Ispahan, Baghdad

2 Un concile pour juger un pape? Il est intéressant de noter que les canonistes des XIIe et XIIIe siècles n'ont jamais cité le cas d'Honorius pour étayer leurs argumentations. Celui-ci, pape de 625 à 638, fut condamné au concile de Constantinople en 681 pour hérésie. Sa condamnation fut ensuite confirmée par Léon II. Il s'agit là d'une condamnation posthume, qui infirme un règle du VIe siècle, tirés d'apocryphes : «  Le Saint Siège n'est jugé par personne. » Cette décision fut prise lors

celles relavant de l’empereur. « Au prince, les soucis des palais, au prêtre les soucis de l’église », « l’empereur en tant que chrétien relève des instances de l’église ». * Saint Jean de Chrysostome (= bouche d’or en grec) Est le patriarche de Constantinople. Il insiste sur un point : les évêques détiennent une puissance appelée « la potestas » et elle est plus grande que celle du Roi. Il trace les affaires de l’église et celles de l’empereur. « Les rois font la chasse aux barbares, l’évêque

principauté dont il fit la conquête, assiégea ensuite Constantinople et rançonna l'empereur Léon le Philosophe. Igor, son neveu, lui ayant succédé, fit à l ‘encontre Constantinople deux expéditions dont le pillage des côtes grecques fut le seul résultat, et périt en combattant les Drevliens, peuple slave, en 945. Sviatoslav Ier (945-972), son fils, lui succéda d'abord sous la tutelle de sa mère Olga, qui se converti au christianisme à Constantinople, sous le non d'Hélène, mais qui ne put le convertir

», continuité affirmée • • par saint Paul qui identifie le Jésus d’avant Pâques au Seigneur ressuscité (1Co 9,14 : « De même aussi le Seigneur a ordonné à ceux qui annoncent l'Évangile de vivre de l'Évangile. « ) par le concile de Nicée-Constantinople qui, dans la personne du Christ, mêle les affirmations historiques en gras et théologiques en italique Nous croyons en un seul Seigneur, Jésus-Christ, le Fils unique de Dieu, né du Père avant tous les siècles, Lumière issue de la Lumière, vrai

l'écrit qui conserve les lois, transmet les ordres, enregistre les impôts, garde la mémoire du passé. Cet orient chrétien de langue grecque ignore le latin occidental. En 1054 le schisme religieux provoqué par le patriarche Michel Kéroularios (Cérulaire) éloigne un peu plus Constantinople de Rome. Au XII°s. la puissance byzantine est en retrait sur le plan économique,elle a accordé dès le XI°s.,à Venise et au XII°s. à Gènes et à Pise, des droits d'entrepôts dans la capitale et de libre commerce