Patrocle

l’armée grecque. La déesse Artémis s’y oppose et Agamemnon doit sacrifier Iphigénie. Achille et Agamemnon tout deux grecques se disputent (Achille ne veut pas redonnée de Briséis, responsable de la peste causé par Apollon). Hector, fils de Priam tue Patrocle (ami de Achille).Achille tue Hector, Andromaque son épouse le pleur. Priam blesse Achille au talon «Achille au pied légers » ; Ulysse construit le cheval de Troie. Les troyens, font entrer le cheval et la ville est prise par les grecques. Ménélas

des récits homériques dès la plus tendre enfance : « Je lus L'Iliade au milieu des blés mûrs. [...] C'est en moi qu'Antiloque lançait l'épieu. C'est en moi qu'Achille damait le sol de sa tente, dans la colère de ses lourds pieds. C'est en moi que Patrocle saignait. C'est en moi que le vent de la mer se fendait sur les proues28 » La violence inspirée par une lecture sensuelle du récit homérique traverse toute l'œuvre de Jean Giono. Qu'on pense, par exemple, à la fin tragique de Que ma joie demeure

d’Hercule: -Les exploits réalisés par Gilgamesh et enkidu sont comparable aux exploits menés par Hercule, (la victoire face à Humbaba et au taureau ailé) L’iliade et l'Odyssée: -dans L’iliade et l'odyssée, la relation qu'entretient achille avec patrocle est comparable à la relation entre gilgamesh et enkidu, soit une relation basée sur une amitié sans faille -On y retrouve la Thématique de l'immortalité, tout comme dans l’épopée avec la nymphe calypso qui promet à Ulysse bonheur et immortalité

honnête homme ne doit pas regarder la mort comme terrible quand elle lui enlève un ami. b)[387d-388e] Les poètes ne doivent pas inciter les citoyens aux lamentations par le tableau de dieux et de héros s'abandonnant à ces sentiments (Achille pleurant Patrocle, Zeus Sarpédon). c) [388e-389b] Les poètes ne doivent pas dépeindre les dieux riant sottement car le rire est inadmissible pour les dieux et les hommes : il nuit à l'équilibre de l'âme (désapprobation d'Homère). d)[389bd, p. 140] Les simples citoyens

organisé des jeux afin d’honorer la mort d’Oenomaos. D’autre comme l’athénien Lysias attribue les concours à Héraclès qui les aurait fondés pour tenter d’unir le monde grec. Enfin, il existe une version plus traditionnelle lié aux funérailles de Patrocle, le cousin d’Achille dans l’Iliade. Achille aurait organisé des jeux en l’honneur de son cousin lors de sa mort. Comment s’organiser les concours Olympiques ? Que représentaient-ils dans le monde grec antique ? Pour répondre au mieux à ces problématiques

histoire, Alcinoos lui propose de partir le lendemain afin de terminer son récit, il accepte et continue. Ensuite il voit Agamemnon qui lui raconte sa mort (sa femme Clytemnestre l’a tué pendant le repas à son retour de Troie) ; puis voit Achille, Patrocle, Antiloque et Ajax. Ulysse raconte à Achille ce qu’est devenu son fils, Néoptolème ; qui rentra chez lui après avoir pillé la citadelle de Priam. Ajax, lui refuse de lui parler par jalousie puisque des enfants troyens avaient jugé que c’était Ulysse

Troie : Achille, qui s'était retiré sous sa tente après une querelle avec Agamemnon, revient au combat pour venger son ami Patrocle, tué par Hector. Après avoir vaincu Hector, Achille traîne son cadavre autour du tombeau de Patrocle, puis le rend à Priam, venu réclamer le corps de son fils. Poème guerrier, l'Iliade contient aussi des scènes grandioses (funérailles de Patrocle) et émouvantes (adieux d'Hector et d'Andromaque). Illiade en grec. Sur Homère: Trois mille ans ont passé sur la cendre d'Homère

Laïus fut le premier des Grecs qui inaugura l'amour de l'homme pour l'homme, et cet usage finit même par devenir louable. La Mothe le Vayer, dans son "Banquet sceptique", cite dans ce sens l'affection d'Hercule pour Hylas, celles d'Achille pour Patrocle, de Nisus pour Euryale, que l'on a célébrées autant que tous leurs faits héroïques. Les lois de Candie, dit Aristote (Polit. Liv.II, c. x), autorisaient cet amour pour éviter la trop grande multiplication d'enfants (1). L'histoire explique encore

aiguisée qu'Achille brandissait de sa droite, en méditant la perte du divin Hector, et en cherchant sur sa chair l'endroit où elle serait le plus pénétrable. Or, les belles armes de bronze dont il avait, après l'avoir tué, dépouillé par violence le vigoureux Patrocle, garantissaient sa chair de toutes parts ; elle n'apparaissait qu'au seul point où les clavicules séparent le col des épaules, au creux de la gorge, là où se perd le plus rapidement le souffle de la vie. Ce fut donc là que le divin Achille poussa

détermination des Romains, et exige, selon Tite-Live, qu’on lui remette la jeune fille afin qu’il la relâche officiellement 12. Une Figure V : Dirck VAN BABUREN (1584-1624), Mucius Scevola devant Porsenna ou Achille se prépare à venger la mort de Patrocle, fois ceci fait, (et après une ultime tentative 1624 de Tarquin) Porsenna Huile sur toile – 204X287 cm Gemälde Galerie, Dresde, Allemagne 10 Ibid., II, 10 Ibid., II, 12 12 D’après Plutarque : « Publicola leur témoigna son mécontentement