Paul Eluard Notre Histoire

femme à travers la nature, avec sept poèmes, qui pour moi symbolise ma conception de la poésie, mais qui peuvent comporter des tas d’interprétations. « Le lac » d’Alphonse de Lamartine, Méditations poétiques. 1820 « La courbe de tes yeux… » Paul Eluard, Capitale de la douleur 1926 « Où que tu sois, je t’aime » André Velter, l’amour extrême. « Souvenir » Alfred de Musset, Poésies nouvelles, 1850 «  elle était déchaussée » Victor Hugo, Les contemplations, 1856 « Comme un chevreuil » Pierre de

trop – longue à mener dans sa totalité. Soit. Cependant, on peut la partitionner aisément dans la mesure où elle est ponctuée par des sujets d’examen toutes les trois semaines. On peut aussi la reconfigurer en la consacrant uniquement à Paul éluard (groupement de textes ou étude d’une oeuvre complète), puisque ses poèmes que j’ai choisi d’analyser ici, proviennent tous d’un fac-similé de l’édition originale du recueil intitulé Au Rendez-vous allemand, publié aux éditions de Minuit en 1945

ou une sensation. Elle peut enfin être éclairante et profonde quand l'analogie porte sur des idées et rend compte d'une vision du monde et des croyances du poète. Exemple de métaphore :Tu fais des bulles de silence dans le désert des bruits. (Paul Éluard) III DU SENS ° GENRE ESTHETIQUE (le son etc…) ° GENRE SIGNIFIANT reflète le monde, sentiments ; echappatoire ; traduction de sensibilité et emotions IV UN GENRE VARIE ° L’inspiration variée : expressive : lyrique, émouvoir Engagé :

la nature et la poésie dans un poème de R.G. Cadou ; Le lyrisme africain de Senghor ; de la poésie lyrique à la poésie engagée : Barbara, de Prévert ; Eluard, poète lyrique et engagé: “Notre vie” et “Avis” ; Dénoncer la barbarie de la guerre : « Oradour », de Jean Tardieu ; La poésie clandestine et la fraternité chez P. Emmanuel, J. Cayrol, P. Eluard et M. Cohn ; Chanter la grandeur de l’engagement R.G. Cadou: “Les fusillés de Châteaubriant” - écriture : écrire un poème d’après l’analyse d’un tableau

Charles Baudelaire, « L’Horloge ». Ce poème fataliste nous rappelle que la vie n’est pas éternelle et qu’un jour la mort nous prendra la vie. La mort peut surgir sans prévenir du jour au lendemain, c’est cette mort tant redoutée de tous qu’a vécu Paul Eluard en perdant sa femme Nusch en 1946. Terrassés par la perte de sa femme, il écrit le poème « Notre vie ». La Fontaine, lui, nous fait part par l’intermédiaire de sa fable « La Mort et le bûcheron » que la mort n’est pas envisageable pour quelqu’un

trop – longue à mener dans sa totalité. Soit. Cependant, on peut la partitionner aisément dans la mesure où elle est ponctuée par des sujets d’examen toutes les trois semaines. On peut aussi la reconfigurer en la consacrant uniquement à Paul éluard (groupement de textes ou étude d’une oeuvre complète), puisque ses poèmes que j’ai choisi d’analyser ici, proviennent tous d’un fac-similé de l’édition originale du recueil intitulé Au Rendez-vous allemand, publié aux éditions de Minuit en 1945

poème qui fait endosser à l'âne le rôle de la population pauvre, et dénonce ainsi les inégalités sociales entre les différentes classes. La Seconde Guerre mondiale est également un moment de grande création poétique, avec des poètes comme Aragon, Eluard ou Desnos dont la combativité se manifeste dans de virulents poèmes contre l'Occupation, et notamment le célébrissime Liberté et ses strophes consacrées à cette valeur perdue. Ainsi, la poésie permet au lecteur de s'ouvrir vers de nouveaux regards

entière de poètes, marquée par la Révolution, les bouleversements politiques et sociaux, élabore une poésie nouvelle : sacrée, elle a pour mission le déchiffrement du monde et de l’histoire des hommes. Sentiments, exotisme, nature, spiritualité, histoire, mélancolie sont les sources auxquelles puise le poète romantique, devenu prophète. Principaux représentants : * Alphonse de Lamartine * Alfred de Vigny * Victor Hugo * Alfred de Musset * Gérard

Anthologie Mon anthologie traite de dix textes tous regroupé autour d’un même grand thème qui est : la mort. Le premier est Dit de la force de l’amour de Paul Eluard, dans ce poème le poète se rend compte qu’il y a des choses plus importantes que ses propres problèmes. Il écarte de lui la tentation de se complaire dans sa souffrance personnelle. On peut observer le champ lexical de la souffrance dans les deux premiers vers: « tourments » « mort » « désespoir ». On passe d’un singulier « moi » à

l'époque où le belge Pierre Degeyter y compose la musique de L'Internationale. Son grand-père paternel Ferdinand, a lui aussi déserté l'armée en 1917 et, une fois menuisier, a acquis une parcelle à Stains appartenant à Émile Grindel, le père du poète Paul Éluard, où il a élevé son petit-fils. Son grand-père maternel, issu de la petite paysannerie charentaise, a quitté sa terre pour devenir un cheminot qui conduisait les Pacific, avant de devenir en 1935 maire communiste de Stains puis conseiller général