Paul Et Virginie Romantisme

» 3. Emancipation d’Emma : Emma est fille d’un riche paysan (p.60, 3ème paragraphe) et lorsqu’elle était jeune, elle vivait au couvent. Là bas, elle y lisait des livres qui décrivent de grandes histoires d’amour, empreintes de romantisme tel que Paul et Virginie (p.84) et comme elle était enfermée dans le couvent cela ne lui permettait pas de voir la réalité de l’amour. Elle s’est donc construit une image idéalisé de l’amour comme étant l’amour absolu. Elle a reçu une belle éducation (p.65

payent. II Les états d’âmes du personnage Dans quels lieux s’exprime le désespoir de Félicité ? Que symbolisent – ils ? C’est dans la nature que le désespoir s’exprime. Le paysage est lié aux états d’âme du personnage. ( faire lien avec le romantisme). Pour Félicité la nature est un lieu de refuge et de tranquillité. Au fond des cours – derrière un mur – à la ferme – dans la campagne – sous un arbre isolé. Quel adjectif justifie le chagrin de Félicité ? Comment est – il justifié par la

 du début à la fin du roman, elle s’ennuie. Jeune fille vivant seule avec son père dans un village perdu au plus profond de la France, elle s’ennuie en rêvassant à sa scolarité dans un couvent parisien et aux amours décrits dans les romans qu’elle lit, dont Paul et Virginie. Elle attendait le prince charmant. Elle  rencontre  Charles  Bovary,  médecin  de  la  région  venu  soigner  son  père  et  accepte  de  l’épouser,  croyant  enfin  avoir rencontré CE GRAND AMOUR auquel elle ne cesse de penser. 2­ La satisfaction d’un amour

IDÉAUX ET RÉALITÉS : LE BOVARYSME I. Le Bovarysme et le contexte historique - par rapport à romantisme : inadéquation entre énergie et pulsions et société de Restauration ds un système de contraintes ultra conservateur. Version Baudelaire du Bovarysme : le rêve = réaction à soc° bgeoise et utilitaire. (connot° positive) - Bovsme lié à monarchie de Juillet (Louis-Phil), période post-romantique. Bov = chercher échappatoire dans illusions sur soi-même. Jacques de Gautier : « le pv départi

juin 1789. À la même période, les conquêtes coloniales intéressent toutes les puissances européennes (voir Guerre de Sept Ans) et introduisent l’exotisme et le thème du bon sauvage qui nourriront les arts et la littérature, de Robinson Crusoé à Paul et Virginie par exemple. Les échanges se multiplient et les influences étrangères sont importantes autant pour la marche des idées que pour l’évolution des genres littéraires : c’est vrai en particulier pour l’influence anglaise avec ses avancées démocratiques

JC, -17 ap JC) «L'iliade» et «L'odysée» de Homère (800-740 av JC) -> génèse du genre de l'épopée «L'énéide» de Virgile (70-19 av JC) -> Joachim Du Bellay s'est inspiré de cette oeuvre dans son oeuvre «Regrets» tout comme Jean Racine, Paul Scarron, Jean Giraudoux ou bien Jean Giono. Le mot «poésie» vient du grec «poiein» qui signifie: faire, créer. Les reflexions poétique s'appuient sur les anciens. Planton s'appuir sur une maïeutique (art d'accoucher des pensées) comme par exemple

sur toutes vos connaissances et lectures (cours, manuel, livret…). Introduction : Edgar Allan Poe est né à Boston le 19 janvier 1809, il perdra très vite ses deux parents. Orphelin, il fut recueilli par John et Frances Allan de Richmond, en Virginie où il fit des études brillantes. Avant de se lancer sérieusement dans la littérature, il s’engagea dans l’armée mais ce dernier poste ne lui correspondant pas, il occupa des postes en lien avec la littérature : journaliste, critique littéraire (il

école littéraire lancée par le manifeste de Jean Moréas en 1886, dans lequel il reconnaît Rimbaud, Verlaine et Mallarmé comme maîtres du symbolisme. Jean Moréas, René Ghil et Jules Laforgue en sont les grands représentants. Les emblèmes du symbolisme Paul Verlaine pratique un art de la suggestion. Ses principaux recueils confèrent le primat absolu à la musique, seule capable de transporter l’âme vers des ailleurs inconnus. Arthur Rimbaud fait de sa poésie une exploration de l’inconnu. Tout sens immédiat

religieux ou moral, mais un peu vaniteux encore. Elle a pas connu sa mère qui est laissée dans l’ombre. Elle a été élevée au hasard jusqu’à treize ans dans la ferme de son père, apprenant à lire et à écrire. Elle a lu, vers l’âge de douze ans, Paul et Virginie. C'est a partir de cette épisode que son « esprit romanesque » est né. Emma en est déjà légèrement atteinte. À treize ans, Emma est mise au couvent. Elle s’y plaît. Elle adore la poésie et les cantiques. Elle se jette à quinze ans dans les romans

vague des passions » des poètes, ou personnages). Le mouvement romantique apparaît dans l’œuvre à travers la moquerie de l’auteur, mais aussi à travers une certaine nostalgie de ce dernier : -Le romantisme est omniprésent dans Madame Bovary à travers les allusions à ses lectures (Paul et Virginie de Bernardin de Saint Pierre ; les œuvres de Walter Scott…) Pourtant l’ironie de Flaubert détruit l’idéal romantique. Emma est tout sauf une héroïne romantique. Sa vie est triste, son mari est médiocre