Paul Et Virginie Romantisme

et l’écart direct qu’elle prend face à la réalité. Autant au couvent, avec les romans d’amour que les sœurs se passent entre elles, puis, par la suite lorsqu’elle se constitue sa propre bibliothèque avec ses romans d’amour romantiques, comme Paul et Virginie, et également ses romans d’héroïnes, quoique souvent infortunées, dans lesquels les princes charmants sont souvent présents. C’est l’univers dans lequel elle a grandi et celui qu’elle s’est créé qui la rendent amoureuse de l’amour. 5· Emma

apparaît comme un bric-à-brac d’éléments conventionnels (Vous venez de proposer l’argument, vous allez le démontrer). Emma semble avoir beaucoup lu, mais surtout mal digéré ses lectures. N’a-t-elle pas pris chez Bernardin de Saint-Pierre dans son Paul et Virginie les contrées lointaines et retenu que le charme clinquant ou stéréotypé? Ne s’est-elle pas au couvent nourri de Chateaubriand, de René, de Lamartine pour n’en retenir que le plus facile, le plus conventionnel? Flaubert qui n’est pas en connaître

1LE THEME DE L’AMOUR DANS MADAME BOVARY Tout au long du roman, Emma essaie désespérément d’atteindre l’amour ; un amour dans la sphère d’idéal ; un amour qu’elle a connu en lisant des œuvresromanesques, l’ ayant rendue victime exemplaire du romantisme. Depuis son adolescence, Emma est plongée dans l’illusion par ses lectures, ses rêves. Insatisfaite jeune fille, puis épouse et mère, elle lesera davantage même après avoir franchi la barrière de la fidélité conjugale. D’habitude, l’âme romantique

Naïvement, Emma lit ardemment les romans de grands romantiques «Avec Walter Scott […], rêva bahuts, salle des gardes et ménestrels» 3. À la lecture de ces romances sentimentales, son imagination s’affole et son esprit s’adoucit « Elle avait lu Paul et Virginie et elle avait rêvé la maisonnette de bambous…»4. Avec innocence et sans mesure, l’adolescente s’enivre de pensées et de sentiments amoureux. Dans ces livres qui faussent la réalité et qui altèrent la raison, on y retrouve les excès de rêve et

Circonstances particulières Récit de vie (vie privée = S / Sentiment =M.conn) * Fonction : critique sociale. !! Jacques le fataliste & son maître = 1er antiroman qui prédit le nouveau roman (XXème) !! 5.XIXème 5.1 Romantisme Précurseur : Rousseau , Chateaubriand Artistes : Hugo, Lamartine, Musset, Sand * Exaltation du moi , intérêt pour les sentiments : l’individu est mal dans sa société lamentation et le poète = guide. * Sensibilité < mal du siècle Envie

bourgeois contre les aristocrates, qualifiés de « privilégiés ». En Europe, règne les « despotes éclairés » (Frédéric II de Prusse et Catherine II, tsarine de Russie). Peintres : Watteau, Boucher, Fragonard. Musiciens : Haendel, Mozart. Le pré romantisme : à la fin du XVIII ème, l’émergence d’une conception nouvelle de la nature fait écho à la recherche du bonheur : prédominance est donnée à la sensibilité mais celle-ci ne se limite pas à l’épanchement du sentiment ; elle exprime aussi une relation

C:\Users\draoui\Downloads\alabatros.jpg Peinture à la cire de Catherine RÉAULT-CROSNIER. L’Albatros Écrivain français, né à Paris, Charles BAUDELAIRE exprime le tragique de la destinée humaine à mi-chemin entre le romantisme et le classicisme. Ses poèmes « Les fleurs du mal », « Petits poèmes en prose », et son œuvre critique, « L’art romantique » sont à la source de la sensibilité moderne. Souvent pour s'amuser, les hommes d'équipage Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers, Qui

Goutte-d'Or à Paris. Gervaise et son amant Auguste Lantier viennent à Paris avec Claude et Etienne, leurs deux fils. Chapelier de métier, Lantier est paresseux et infidèle. Il quitte Gervaise pour Adèle, la laissant seule avec ses fils. Au lavoir, Virginie, la sœur d’Adèle, provoque Gervaise. Une bagarre éclate entre les deux femmes. Gervaise l’emporte sur son adversaire. Coupeau, un ouvrier zingueur lui fait la cour à L’Assommoir, le cabaret du Père Colombe. Ils décident de vivre ensemble et s'installent

dans La Boîte à joujoux (thème du soldat anglais). → Debussy marque le point de départ d'une nouvelle musique française. → Debussy a senti la nécessité, pour les Français, de s'affranchir de l'esclavage étranger, du wagnérisme autant que du romantisme allemand. Il a conseillé l'étude des XVIIe et XVIIIe siècles français, le siècle de Rameau et des Couperin, où il savait qu'on retrouverait le sens et l'esprit d'une musique française qu'il conseillait de faire simplement, en l'adaptant à notre

tuberculeux*. Sa mère, Elizabeth Arnold d'une pneumonie tuberculeusse alors qu'Edgar Allan Poe n'avait que 2-3 ans. Par la suite il fut adopté par John et Frances Allan, un couple de riches négociants de tabac et de denrées coloniale de Richmond, en Virginie. D'où ses 2 prénoms : Edgar Allan Poe. Il a un frère et une sœur dont il est séparé en étant adopté. Son frère, William Henry Léonard (1807- 1831), est placé chez son grand père paternelle, David Poe. Il mourut à 24 ans de la même maladie que son