Paul Fraisse

décrire la prison dans laquelle il se trouve, le passage est court mais précis et indique parfaitement les conditions dans lesquelles vivent les prisonniers au quotidien « Pas une herbe ne pousse/ Et pas un brin ne mousse/ Le long des murs grillés/ Et frais taillés! », « Sur l’étroit horizon/ De la prison ». D’un autre coté peut être que ce moyen d’action permet d’oublier le chagrin. Le fait que la poésie soit dans certains cas un moyen d’action permet justement (grâce a cette « action »)

grand cœur » Charles Baudelaire - « Il pleure dans mon cœur » Paul Verlaine - « enfance » Arthur Rimbaud - « complainte amoureuse » Alphonse Allais - « les passantes » Antoine Pol - « Soleil couchant » José Maria de Heredia - « Les pas » Paul Valéry POESIE DIONYSIAQUE, POESIE REVOLTEE,POLITIQUE ET SOCIALE - « Le nuage ou l’ivrogne » Pierre de Ronsard - « Adieu, Paris.. . » Fançois Maynard - « épitre à monsieur sarrasin » Paul Scarron - « epitaphe d’un parresseux, ou de La Fontaine à lui-même

symbolistes vont le faire à travers des images, des analogies. Un lien se crée entre le monde des choses et des idées (cf. La théorie des correspondances de Baudelaire). On citera comme principaux auteurs : Baudelaire, Rimbaud, Verlaine et Mallarmé. 3 Paul VERLAINE (1844-1896) Verlaine commence à écrire à l’âge de 14ans. Passionné par la poésie d’Hugo, de Baudelaire, de Gautier et de Banville, il commença à écrire sous leur influence. Fréquentant les salons littéraires de Paris, il y rencontra Rimbaud

se transcender pour rejoindre l'idéal auquel ils aspirent. Baudelaire a cependant fait usage d'opium sous la forme de laudanum pour soigner la Syphilis qu'il avait contractée en 1840. Mais, il y a de terribles inconvénients, et il en parle à Armand Fraiss, qui avait manifesté son désir de goûter au haschich en lui répondant: " Défiez vous de tout excitant. J'ai pris tout excitant en horreur à cause de l'amplification du temps et du caractère d'énormité que cet excitant quelconque donne à toute chose

impassible survole l’ensemble de la scène. 1/7 Le manifeste démembrement des corps : Il est évidemment à rapprocher du cubisme. En effet, Le cubisme est un mouvement artistique qui s’est développé de 1907 à 1914, et qui a été conceptualisé par Paul Cézanne, à la fin du XIXème siècle. Le peintre français voulait réduire les formes peintes à des formes géométriques, exemple avec la Montagne Sainte-victoire (2). Cette première approche a par la suite été développée par Pablo Picasso (3), et l’artiste

D’eau retentissante ; Je sens vibrer en moi toutes les passions D’un vaisseau qui souffre Le bon vent, la tempête et ses convulsions Sur le sombre gouffre Me bercent, et parfois le calme, — grand miroir De mon désespoir ! 3 Paul Verlaine La bonne chanson   - XII - VA, CHANSON, A TIRE-D'AILES Va, chanson, à tire-d'aile Au-devant d'elle, et dis lui Bien que dans mon cour fidèle Un rayon joyeux a lui, Dissipant, lumière sainte, Les ténèbres de l'amour Méfiance, doute, crainte

colorées se répondent ainsi à l’intérieur du tableau. Dans une lettre à son frère Théo, Van Gogh décrit le tableau en ces termes : « Les murs sont d'un violet pâle. Le sol est à carreaux rouges. Le bois du lit et les chaises sont d'un jaune beurre frais. Le drap et les oreillers citron vert très clair, la couverture rouge écarlate... » Ce travail sur la texture et sur la couleur n’a d’autres buts que de traduire des émotions sur la toile et de suggérer des sensations à qui regarde le tableau. UN

fait un retour douloureux sur son passé. Dans Le ciel est, par-dessus le toit, Verlaine utilise les mots de la vie quoditienne qui montrent ses idées. Face à la société et la vie compliquée, Il veut poursuivre l’innocence comme un enfant. Pour Paul Verlaine,ses sentiments sont complexes. Dans toute sa vie, il a aimé les femmes. Mais en même temps il était homosexuel. En proie à des comflits intérieurs violents ( amour pour sa femme et passion pour Rimbaud ; aspiration vers la religion en même

un trou de verdure où chante une rivièreAccrochant follement aux herbes des haillonsD’argent ; où le soleil, de la montagne fière,Luit : c’est un petit val qui mousse de rayons.Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue,Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu,Dort ; il est étendu dans l’herbe, sous la nue,Pâle dans son lit vert où la lumière pleut.Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant commeSourirait un enfant malade, il fait un somme :Nature, berce-le chaudement : il a froid.Les parfums

poétique. Le succès du vers libre est devenu tel que le Symbolisme est devenu un synonyme de vers-librisme. Grands auteurs : Les grands auteurs qui ont marqué ce courant sont : => Premièrement, Paul Verlaine dont voici sa biographie : Paul Verlaine est né à Metz en mars 1844. Sa famille quitta cette ville en 1851. Il obtient son baccalauréat en 1864, s’inscrit en droit mais c’est la poésie qu’il préfère. Il renonce donc à ses études et travaille pour une compagnie