Paul Fraisse

Madame Husson Contes de la bécasse Pierre et Jean Sur l’eau Les dimanches d’un bourgeois de Paris Miss Harriet La Petite Roque La main gauche Yvette Bel-Ami Mont-Oriol Notre cœur Fort comme la mort 3 La maison Tellier Édition de référence : Paris, Paul Ollendorff, Éditeur, 1891. Image de couverture : Auguste Renoir, Bain à la Grenouillère, 1869. 4 À Ivan Tourgueneff Hommage d’une affection profonde et d’une grande admiration GUY DE MAUPASSANT 5 La maison Tellier I On allait là, chaque soir

nom, qui se boit coupé avec de l’eau. Bravant les autorités, Paul RICARD distribue largement cet alcool interdit. Mis à l’amende pendant des années par les autorités de police et de douane, il parvient à obtenir par décret en 1932 l’autorisation d’exploitation. Paul RICARD devra trouver un nom à sa boisson et la définir. Sa recette tombera dans le domaine public et se nommera Pastis, du provençal « pastisson », qui signifie mélange. Paul RICARD aura commercialement trois ans d’avance sur la concurrence

La seule femme de génie de ce siècle et de tous les siècles, en compagnie de Sapho peut-être et de sainte Thérèse. Elle ne fut pas seulement un grand poète, mais surtout la femme douloureuse et passionnée qui se donne, et ne peut plus se reprendre. Paul Verlaine * Mme Desbordes-Valmore fut femme, fut toujours femme et ne fut absolument que femme ; mais elle fut à un degré extraordinaire l’expression poétique de toutes les beautés naturelles à la femme… Aucun auteur ne cueille plus facilement la formule

décret en 1953. Les textes réglementant l’assistance sociale sont intégrés en 1956 au Code de la Famille et de l’Aide Sociale. On notera un changement de nom en 1957, le terme d’aide sociale succède à celui d’assistance sociale. 1638 Saint Vincent de Paul organise l’œuvre des enfants trouvés 1793 (loi du 28 juin) faisant obligation à la nation de prendre en charge les orphelins 1811 (décret du 19 janvier) création de l’assistance publique, 1825 à 1850 créations des colonies pénitentiaires (agricoles

Jean-Baptistin BailleN 2,4 et surtout Paul Cézanne qui reste son ami proche jusqu'en 1886. Ce dernier l'initie aux arts graphiques, et plus particulièrement à la peinture. Dès sa prime jeunesse, Émile Zola est passionné par la littérature. Il accumule les lectures et conçoit très tôt le projet d'écrire à titre professionnel. Il considère dès son plus jeune âge l'écriture comme sa véritable vocation. En sixième, il rédige déjà un roman sur les croisades5. Ses amis d'enfance Paul Cézanne et Jean-Baptistin Baille

l'automne Blessent mon coeur D'une langueur Monotone. Tout suffocant Et blême, quand Sonne l'heure, Je me souviens Des jours anciens Et je pleure Et je m'en vais Au vent mauvais Qui m'emporte Deçà, delà, Pareil à la Feuille morte. Paul Verlaine (1844-1896) Sensation Par les soirs bleus d'été, j'irai dans les sentiers, Picoté par les blés, fouler l'herbe menue : Rêveur, j'en sentirai la fraîcheur à mes pieds. Je laisserai le vent baigner ma tête nue. Je ne parlerai pas, je

ALFRED DE MUSSET (1810­1857) Charles Baudelaire : Jeunesse et débuts littéraires THÉOPHILE GAUTIER (1811­1872) CHARLES BAUDELAIRE (1821­1867) T. DE BANVILLE (1823­1891) SULLY PRUDHOMME (1839­1907) STÉPHANE MALLARMÉ (1842­1898) FRANÇOIS COPPÉE (1842­1908) PAUL VERLAINE (1844­1896) NÉRÉE BEAUCHEMIN (1850­1931) ARTHUR RIMBAUD (1854­1891) RAINER MARIA RILKE (1875­1926) G. APOLLINAIRE (1880­1918) JULES SUPERVIELLE (1884­1960) ANTONIN ARTAUD (1896­1948) LOUIS ARAGON (1897­1982) JIM MORRISON (1943­1971) PLUS DE POÉSIE

vient de Verlaine qui publie le livre Les Poètes maudits (1884). En 1888, il publie une deuxième édition. Il y rajoute aux côtés de Corbière, Rimbaud et Mallarmé ; Marceline Desbordes-Valmore, Villiers de l'Isle Adam et Pauvre Lélian (anagramme de Paul Verlaine). Verlaine est donc le créateur de cette étiquette. Dans son Avant-Propos, il écrit que les poètes maudits sont des poètes « absolus dans l'imagination et absolus dans l'expression, mais maudits par le vulgaire des lecteurs d'élite ». Les

| | |deux poèmes extraits de |de Paul Eluard | | |Lecture |Le Temps déborde (1947), | | | | |de Paul Eluard | |

le poids des mots, le choc des photos » tire son origine de l!hebdomadaire sportif " Match# créé par Léon Bailby en 1926 et repris en 1938 par Jean Prouvost. Durant la Seconde Guerre mondiale, Match cesse de paraître avant de revenir en 1949 avec Paul Gordeaux comme rédacteur en chef. Malgré le grand succès connu par le titre vers la fin des années 1950, les ventes baissent et le magazine peine face à la concurrence des nouveaux hebdomadaires et de la télévision qui s!impose dans le panorama