Paul Verlaine Mon Rêve Familier

Mon rêve familier (Paul Verlaine) Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant D'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime, Et qui n'est, chaque fois, ni tout à fait la même Ni tout à fait une autre, et m'aime et me comprend. Car elle me comprend, et mon coeur transparent Pour elle seule, hélas! cesse d'être un problème Pour elle seule, et les moiteurs de mon front blême, Elle seule les sait rafraîchir, en pleurant. Est-elle brune, blonde ou rousse? Je l'ignore. Son nom? Je

Paul Verlaine est un poète impressioniste français originaire de Lorraine. Il est l’auteur de plusieurs recueils comme par exemple Poèmes saturniens parut en 1866 ; ce titre place l’ensemble du receuil sous le signe d’une malédiction. En effet, l’épithète > figurant à la fois dans le titre du recueil et dans le poème liminaire possède une double origine : mythologique et astrologique. Dans la mythologie, Saturne est un Dieux malfaisant qui dévore ses enfants. Dans l’astrologie, Saturne est une planète

pourrait la qualifié de dandy. Dans « le cygne » de Baudelaire Paris y est décrit comme une ville moderne et neuve. On pourra donc faire le rapprochement avec cette photo qui montre un homme moderne et jeune. Cette photo représente la nouveauté et le rêve d’un monde nouveau à travers une ville devenu moderne. - Le troisième document est une peinture de Gustave Courbet peinte en 1847 représentant Baudelaire. Les couleurs qui dominent ce tableau sont le rouge, le marron et le gris. Il le représente en

Mon rêve familier de Paul Verlaine. Mon rêve familier est un extrait du recueil de Paul Verlaine, Les poèmes saturniens, datant de 1886. Les poèmes saturniens sont composés de quatre sections : Melancholia, Eaux-fortes, Paysages et Caprices. Mon rêve familier appartient à la dernière section Mélancholia qui rend sensible un état d’âme et évoque des souvenirs. Mon rêve familier Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant D’une femme inconnue, et que j’aime, et qui m’aime

VERLAINE : MON RÊVE FAMILIER |Auteur |En novembre 1866, Verlaine, alors âgé de 22 ans, publie son premier recueil poétique sous le titre Poèmes saturniens. Verlaine inscrit | |Œuvre |donc sa personnalité et sa poésie sous le signe maléfique de Saturne. | | |Saturne vient du latin "Saturnius" et caractérise ce qui est mélancolique, triste, d'une maussaderie grise et pesante. Cette

vie, il aimait la mort » p 6-8 3. Joachim Du Bellay  « Las où est maintenant … » p 9-11 4. Alfred de Musset  « La nuit d’octobre » v.198-217 La Muse p 12-14 5. Paul Verlaine  « Mon rêve familier », Melancholia, VI p 15-17 6. Arthur Rimbaud  « Sensation » p 18-20 7. Paul Eluard  « La Terre est bleue comme une orange … » p 21-23 8. Gérard de Nerval  « Elle a passé la jeune fille … » p 24-26 9. Alan Seeger « I have a rendez-vous with

(1821-1867) Les Fleurs du mal (1857) : - A une passante, - L'ennemi - Je te donne ces vers - La muse malade Paul Marie Verlaine (1844-1896) Poèmes saturniens (1866) : - Femme et chatte  - Apres trois ans -Mon rêve familier Le livre posthume (1893) -Dernier espoir Jean Nicolas Arthur Rimbaud (1854-1891) Poésies (1895) : - La maline - Le buffet - Rêvé pour l’hiver Joachim DU BELLAY   Si nostre vie est moins qu’une journée Si nostre vie est moins qu’une

Demain, dès l'aube.................................................................................................... 8 Vos beaux yeux......................................................................................................... 9 Mon rêve familier...................................................................................................... 10 Je t'aime.................................................................................................................. 11 III/ LA NATURE

face à la communautée. Les Poèmes Saturniens écrits par Paul Verlaine en 1866 reprennent certains principes des poèmes romantiques de l’époque. Les poèmes saturniens sont des vers que Verlaine composa dans sa jeunesse influencé par des poètes romantiques comme Hugo ou Baudelaire. La poésie romantique va d’abord se définir par l’omniprésence du « je » du poète, concepte repris dans les poèmes saturniens, un exemple étant “Mon rève familier”. Le poète se raconte à la première personne, fait part

Poésie , Français Mon rêve familier (Paul Verlaine 1844 - 1896) Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant D'une femme inconnue et que j'aime, et qui m'aime Et qui n'est, chaque fois, ni tout à fait la même, Ni tout à fait une autre, qui m'aime et me comprend. Car elle me comprend et mon coeur, transparent Pour elle seule, hélas ! cesse d'être un problème Pour elle seul, et les moiteurs de mon front blême, Elle seule les sait rafraîchir, en pleurant. Est-elle